LÉOPOLD RITONDALE « MA VILLE, C’EST MA VIE » de Claude PISANO
Référence: L2062
20,00 €
TTC
Cet ouvrage retrace la vie de Léopold Ritondale, Maire de la ville d’Hyères durant quatre mandats. Jeune écolier, il étudiait très tard le soir à la lueur d’une bougie. Grand résistant, il fait front à l’ennemi ce qui lui vaudra de nombreuses distinctions honorifiques.
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Cet ouvrage retrace la vie de Léopold Ritondale, Maire de la ville d’Hyères durant quatre mandats. Jeune écolier, il étudiait très tard le soir à la lueur d’une bougie. Grand résistant, il fait front à l’ennemi ce qui lui vaudra de nombreuses distinctions honorifiques.
Mi chiamo Peppe Russo. Sono nato a Tunisi, il 1° giugno del 1931, da una famiglia siciliana povera in canna. Un giorno, eccomi a Marsiglia, spinto dal desiderio di avventura e di libertà. Ho fatto tante di quelle sciocchezze che un giorno mi sono ritrovato nel carcere minorile delle Baumettes. Qui mi sono creato un bel giro di amicizie tra i marsigliesi, che hanno finito per chiamarmi Peppe il Marsigliese poiché, nel frattempo, ero diventato una specie di idolo per loro.
A la demande de mes petits-fils et de ceux de Bernadette, ma compagne, j’ai fait appel à mes souvenirs. En effet, je les ai écrits pour nos descendants.
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
Alexandre (Sándor) Kisfaludy est un jeune aristocrate hongrois, lieutenant de la Garde impériale à Vienne. À la suite d’une intrigue amoureuse qui tourne mal, il est muté à Milan, puis fait prisonnier par Bonaparte et l’Armée d’Italie. Il est déporté avec d’autres officiers dans une petite ville de Provence, Draguignan.
En octobre 1860, George Sand (1804 – 1876) tombe gravement malade. Après s’être rétablie de la fièvre typhoïde, la plus célèbre des femmes de Lettres du XIX° siècle décide de quitter son cher Nohant dans le Berry pour s’établir quelques semaines au bord de la Méditerranée, plus précisément à Tamaris dans le Var.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
A toutes celles qui un jour découvrent qu’elles ne sont pas la fille, la petite-fille, la sœur, la tante, la nièce, la cousine et doivent reconstruire leur vie sur les mensonges d’un secret de famille.
Une voie lactée ; celle de Robert Bedot un « maître fromager » au sens le plus exigeant du terme. Sa notoriété planétaire est la conséquence de cette exigence sans aucune compromission avec le milieu de l’industrie laitière car ses buts et ses combats n’ont pas les mêmes priorités. Il est porteur d’un idéal fromager qui intègre en priorité l’histoire, la tradition et le savoir-faire des hommes à mille lieux des préoccupations des prestataires de la mal bouffe hélas très largement majoritaires sur les étals de la grande distribution. Ce livre relate un parcours unique, divers, inattendu, fait de mille et une rencontres qui ont enrichi son auteur par leur qualité et leur diversité.
Mon rêve de devenir maman m’a poussée à adopter. En effet je savais dorénavant que je ne porterais jamais mon enfant dans mon ventre ; en revanche je le porterais dans mon cœur. Ce long combat, je l’ai mené seule en tant que célibataire. Il faut savoir que pour adopter, un agrément est nécessaire et obligatoire. Une fois ce sésame obtenu, j’ai su que mon enfant arriverait d’Haïti. Une petite fille de trois ans et demi, au joli prénom d’Angeline m’attendait. Ce furent des photos échangées, des appels téléphoniques… jusqu’au jour où l’impensable se produisit…le 12 Janvier 2010, ce terrible séisme. Angeline est une petite fille miraculée. Elle est restée sous les décombres pendant quatre longues journées et quatre longues nuits et a dû, à sa « sortie », être amputée d’une partie d’elle-même.
Né au domicile de mes parents au pied de la Bonne Mère, j’ai voulu raconter sous forme d’histoire autobiographique, le déroulement de mon enfance et de mon adolescence dans mon quartier Vauban, dans ma ville Marseille. Je pars de l’année de ma naissance 1945 pour terminer à la fin de mon adolescence et au commencement de ma vie d’homme. Pourquoi « né à l’abri des bombes » ? L’explication est simple : Les bombes ont cessé de tomber sur Marseille le 8 Mai 1945, j’avais environ 7 mois dans le ventre de ma mère, enceinte protectrice. Ce livre parle le marseillais et de l’ambiance de l’époque dans un quartier pittoresque, le quartier Vauban. J’ai voulu qu’il soit humoristique en y incluant des galéjades.
La solitude, confine un être dans une prison virtuelle, engendre un mutisme éloquent parce que les journées vont défiler sans qu’aucune visite fasse ouvrir la porte d’un appartement ou d’une maison. Les appels téléphoniques, le temps d’entendre :
― Oui, je vais bien remplacent-ils la chaleur humaine ?
Cet ouvrage retrace la vie de Léopold Ritondale, Maire de la ville d’Hyères durant quatre mandats. Jeune écolier, il étudiait très tard le soir à la lueur d’une bougie. Grand résistant, il fait front à l’ennemi ce qui lui vaudra de nombreuses distinctions honorifiques.