La divine Kahena face au Khalifat d'Eliane BONAFOS
Référence: L1645
18,00 €
TTC
En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…
Le Donator ? Nombre de plongeurs connaissent bien cette épave dans l’est de Porquerolles. Ce que l’on ne sait pas, c’est le mystère entourant une partie de sa cargaison...
En 1811, Flaugergues découvre une des comètes les plus spectaculaires de l’Histoire. Elle est désignée la “Comète impériale”. Son éclat et sa longévité durant son règne inspirent l’Empereur. L’Aiglon est né cinq jours avant sa découverte, et lui-même une semaine après la grande comète de 1769, coïncidence soulignée par un récent mémoire de Messier en 1808.
Son précédent passage remontant à Ramsès II, Napoléon y voit un trait d’union avec l’Egypte qui le fascine depuis son expédition, un passage de flambeau, voire un signal céleste pour lancer à l’été 1812 sa campagne de Russie...
Dans la série de Napoléon jour après jour, il y a eu l’Ascension de Bonaparte, puis le Consulat et ensuite l’Empire. Ce cinquième livre est la troisième partie de l’Empire, celle où l’étoile de l’Empereur semble ne plus briller. Cela commence bien, par l’accouchement de Marie-Louise, la naissance du roi de Rome au ravissement de tous les Français, Napoléon a enfin une descendance. Puis arrive la terrible campagne de Russie où l’on va voir la bataille de la Moskova, le stationnement dans Moscou et son incendie qui va obliger Napoléon de quitter cette ville avec ses troupes. Et enfin l’affreuse retraite. Cette retraite qui va décimer presque toute la Grande Armée. Beaucoup de soldats seront tués dans des combats mais la plupart mourront de froid ou encore de la faim.
Que ces quelques anecdotes parsemant une chronologie parfois rébarbative, aient le bonheur d’intéresser nos enfants. Qu’ils comprennent que leurs racines, leur identité se trouvent dans ce roman fleuve légué par nos Aïeux.
Signes est riche de son patrimoine : Fontaine aux sorcières, Cour d’Amour. Riche de ses traditions : Fête de la Saint Jean et de la Sainte Éloi. Riche de son air vivifiant connu entre autres des Évêques marseillais qui cherchaient à s’éloigner des épidémies de peste. Riche de sa plaine alluvionnaire et de ses collines, bien connues des excursionnistes varois et marseillais. Robert, le cartophile, est originaire du village. Il a su faire apprécier à son épouse Gisèle, toute la beauté de ce terroir. Aujourd’hui le village a une zone d’activités importante près du circuit Paul Ricard (celui-ci en fut le maire de 1972 à 1980). Beaucoup d’associations sont actives et bien soutenues par le maire Jean MICHEL et son conseil municipal.
À Alger, la mobilisation générale avait vu les hommes de toutes conditions et de tous horizons se regrouper dans la capitale pour être envoyés vers diverses destinations. Le Maroc, mais surtout la Tunisie et l’Algérie furent des terres de prédilection pour des hommes partis la fleur au fusil, le cœur plein d’espoir ou la peur au ventre.
Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel, les trois enfants du quartier de l'Esplanade se trouvèrent subitement confrontés à la réalité de la vie et non plus à la fiction cinématographique française ou américaine que présentaient les écrans des neuf cinémas de Bab El Oued.
L’auteur, Daniel Casemode (né le 6 octobre 1944 à Reims), pilote d’avions légers et d’hélicoptères, a découvert la montgolfière en 1985 au sein de l’association Aérostatique du Nord de la France et y a passé son brevet de pilote. À la retraite, après avoir volé dans de très nombreux pays à travers le monde, il décide de se poser un peu et, devant la richesse du patrimoine aérostatique local, entreprend des recherches dans le Nord et le Pas-de-Calais afin d’écrire l’histoire de l’aérostation de cette région, de ses débuts en 1783 jusqu’à nos jours.
Cet ouvrage parachève plusieurs années de travail sur une ville que l’auteur connaît bien. Il nous fait sortir des sentiers battus avec certains épisodes de la vie de la Cité pas toujours abordés dans d’autres ouvrages ou, parfois, insuffisamment traités, rectifiant au passage des erreurs ou des idées reçues.
Durant sa présence en Algérie, les apports de la France ont été multiples dans les domaines scientifiques, techniques, administratifs, culturels et linguistiques. Des générations de femmes et d’hommes de toutes conditions et de toutes religions, issues de ces territoires comme de toute l’Europe, y ont construit une communauté de destins et bâti un avenir. Grâce à leur courage, leur esprit d’entreprise et leurs sacrifices, ces pays ont pu se développer socialement et économiquement ; ils ont ainsi contribué fortement au rayonnement de la France dans le monde. Reconnaître l’œuvre positive de nos compatriotes sur ces territoires est un devoir pour l’État français.
Haut technicien du bâtiment, l’auteur passe quarante-cinq années en Afrique noire. À son retour en France en 1999, il a soixante-quinze ans. Passionné d’histoire, il s’intéresse particulièrement aux causes controversées ou injustes. Il fait la connaissance d’Anne de France, la fille aînée de Louis XI, au hasard de ses lectures. Fasciné par cette femme en tout point exceptionnelle, adulée par son peuple et oubliée par l’Histoire, il entreprend de longues et minutieuses études sur sa vie, sa personnalité, son action, son impact de l’époque.
Le banquet des châtaignes a-t-il eu lieu ? Le soir du dernier jour d’octobre 1501 Cesare Borgia aurait organisé un banquet dans ses appartements du Vatican avec une cinquantaine « d’honnêtes prostituées », appelées courtisanes.
Les ponts d’Arles ont à ce point ponctué la vie passée et présente de la cité qu’ils méritaient d’être associés à son histoire. C’est chose faite avec ce livre. Selon ses goûts, le lecteur le parcourra comme un récit pittoresque et coloré, ou s’informera du détail technique. Il permettra certainement d’apprécier toutes les difficultés de franchissement du Rhône et du Petit-Rhône depuis l’époque des bacs jusqu’aux ponts contemporains. Les caractéristiques des ouvrages construits y sont présentées successivement dans le contexte technique de leur époque.
En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…