La divine Kahena face au Khalifat d'Eliane BONAFOS
Référence: L1645
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En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…
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En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…
Barthélémy Faujas de Saint-Fond est né en 1741. Il était géologue et vulcanologue de formation, mais comme beaucoup de grands esprits de son époque, il se passionna immédiatement pour l'aérostation. Il en soutint les débuts, notamment en lançant avec le succès que l'on sait, la souscription qui servit à financer la fabrication du ballon et à réaliser la première expérience du physicien Jacques Charles à Paris, depuis le Champ de Mars, le 27 août 1783.
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
Barthélémy Faujas de Saint-Fond est né en 1741. Il était géologue et vulcanologue de formation, mais comme beaucoup de grands esprits de son époque, il se passionna immédiatement pour l'aérostation. Il en soutint les débuts, notamment en lançant avec le succès que l'on sait, la souscription qui servit à financer la fabrication du ballon et à réaliser la première expérience du physicien Jacques Charles à Paris, depuis le Champ de Mars, le 27 août 1783.
C’est en travaillant au thème de l’eau sur le territoire du Tholonet que Philippe F. Bernascolle découvre dans Le Mémorial d’Aix, les articles de Paulin Cheilan relatant l’histoire mouvementée de ce petit village de Provence. S’étendant de la préhistoire aux temps modernes ils fourmillent d’informations précieuses et souvent inédites. Au delà de ce qui ne fut à l’origine qu’un octroi sur la voie aurélienne, dont sans doute il a tiré son nom, Teloneum désignait le bureau de perception, c’est toute l’histoire de la Provence que nous sommes invités à parcourir. Nous y pénétrons par la célèbre Route Cézanne, véritable lien culturel et longtemps économique entre Aix et Sainte Victoire et sur laquelle se trouve le village du Tholonet dont Paulin Cheilan disait « qu’il lui devait la vie ».
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
Il est des événements de part le monde et de tout temps, qui ont marqué à jamais la vie de l’humanité. Chacun d’entre eux apportant son lot de modifications fondamentales que nous appelons évolution, sans que l’on puisse toujours en faire ressortir les impacts bénéfiques ! Notre beau et doux pays de France ne fut pas en reste, loin de là, pour lancer des processus de bouleversements et mettre en place les conditions de ces changements. Celui qui nous préoccupe présentement est cette fameuse transformation de régime politique de l’année 1789 qui va porter le nom de Révolution française. L’Histoire, la Grande avec un grand H, a mémorisé l’ensemble des faits qui marquèrent cette période.
À Wattrelos, dans la châtellenie de Lille, les copés in deux (les Wattrelosiens) célèbrent Berlouffes. Aux Amis, bistrot de la place, le Zot, un étrange bonhomme, raconte ce village du comté de Flandre lié à l’abbaye de St Bavon de Gand. Les comtes de Flandre tiennent alors tête à leurs suzerains, les rois de France. Tel Ferrand de Portugal, l’un des Géants de la ville ! Autrefois Aux Amis s’appelait Au Cheval volant. Tel celui d’Adenet le Roi (Cléomadès, 1280), ménestrel du comte Gui de Dampierre qui impose le Lion sur ses armoiries. Telle cette maison d’édition du Cheval-Volant, point de chute à Paris des Réformés. Avec l’émergence de l’imprimerie, les satires d’Érasme, les thèses de Luther (1517) et la doctrine de Calvin se répandent dans une population lasse du système.
Après Les Illusionnistes, Les Passeurs de Vie et Les Chemineaux de la Sauvegarde, l’auteur s’attache à une période oubliée, le Coup d’État du 2 décembre 1851
Le général de Gaulle est sans contestation possible l’un des hommes politiques les plus populaires de l’histoire de France. Mais c’était à une époque où les réseaux sociaux et les chaines d’information en continu n’existaient pas. De plus les médias se voulaient bienveillants à l’égard du pouvoir. L’auteur Pierre Vedel remonte le temps via cet ouvrage au titre évocateur et symbolique « Deux Gaulle » et dévoile les différentes facettes de l’ancien président de la République. Références historiques à l’appui, l’écrivain révèle que derrière l’homme adulé se cache aussi un être manipulateur qui n’a jamais lésiné sur les moyens pour arriver à ses fins notamment lors de la Seconde Guerre mondiale puis la guerre d’Algérie.
En novembre 1930, Georges Bernanos, tout auréolé d’une récente et tonitruante renommée littéraire, arrive dans le Var avec sa nombreuse tribu. Il le quittera définitivement en septembre 1946, après trois séjours alternés dans son « cher Toulon », puis à Hyères et Bandol, totalisant près de six années. Séjours entrecoupés de deux expériences majeures qui éprouveront l’homme et sa pensée : aux Baléares au cœur de la guerre civile espagnole qui le révolte, au Brésil lors de la deuxième guerre mondiale, où il devient depuis l’étranger une grande voix de la France résistante.
Signes est riche de son patrimoine : Fontaine aux sorcières, Cour d’Amour. Riche de ses traditions : Fête de la Saint Jean et de la Sainte Éloi. Riche de son air vivifiant connu entre autres des Évêques marseillais qui cherchaient à s’éloigner des épidémies de peste. Riche de sa plaine alluvionnaire et de ses collines, bien connues des excursionnistes varois et marseillais. Robert, le cartophile, est originaire du village. Il a su faire apprécier à son épouse Gisèle, toute la beauté de ce terroir. Aujourd’hui le village a une zone d’activités importante près du circuit Paul Ricard (celui-ci en fut le maire de 1972 à 1980). Beaucoup d’associations sont actives et bien soutenues par le maire Jean MICHEL et son conseil municipal.
En faisant des recherches pour écrire l’histoire de l’Aérostation dans le Nord de la France, j’ai eu l’opportunité d’avoir accès à la collection du Journal de Paris et, en feuilletant ce quotidien, je me suis aperçu qu’il rendait compte au jour le jour des débuts de l’aérostation.
L’idée m’est donc venue de faire une compilation de tous les articles traitant de cette activité aéronautique naissante, articles parus dans ce journal depuis le 27 juillet 1783 relatant l’expérience des frères Montgolfier à Annonay en Vivarais le
5 juin 1783 (en réalité le 4 juin), jusqu’au 7 septembre 1785 et la XIVe expérience de Blanchard et du Chevalier Lespinard à Lille le 26 août 1785.
En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…