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A la demande de mes petits-fils et de ceux de Bernadette, ma compagne, j’ai fait appel à mes souvenirs. En effet, je les ai écrits pour nos descendants. Après une enfance et une jeunesse bien remplie en Touraine, l’Afrique noire m’a accueilli à l’époque coloniale. C’est pourquoi certains passages qui maintenant peuvent choquer doivent être replacés dans le contexte de l’époque avant d’être jugés. Puis ma carrière au ministère des Affaires étrangères m’a amené à voyager à travers le monde, ce que j’ai continué à faire à la retraite. Le récit est émaillé d’anecdotes parfois drôles et souvent invraisemblables, mais toutes véridiques.
Au cours de son livre, rempli d’anecdotes, il nous explique en détails les raisons de son infarctus du myocarde et en particulier les erreurs qui ont entrainé sa maladie.
Petite-fille d’Alphonse Karr, Violette Bouyer a accès, dès l’enfance, au monde des lettres et des arts, côtoyant d’innombrables personnalités dans un Saint Raphaël qui se transforme fiévreusement en station balnéaire. Au décès de l’écrivain, la famille se retire dans un château austère à Claviers. Arrivée là à 16 ans, Violette Bouyer-Karr y restera 70 ans : une vie entière isolée dans ses bois, pendant laquelle elle sera pourtant femme de lettres, soutenue par des amis fidèles, dont Jean Aicard. « Femme forte » qui gère son domaine et traverse les deux guerres mondiales, femme démunie qui héberge des parents pauvres et aide ses proches, « humble Violette » qui aime la compagnie des enfants et tait obstinément les secrets de son cœur ...
Cet ouvrage retrace la vie de Léopold Ritondale, Maire de la ville d’Hyères durant quatre mandats. Jeune écolier, il étudiait très tard le soir à la lueur d’une bougie. Grand résistant, il fait front à l’ennemi ce qui lui vaudra de nombreuses distinctions honorifiques.
Pyte 19 ans, après avoir quitté le lycée 2 ans après la fin de seconde, obtient son premier Bac en 1961. Djo, le frère ainé, le surdoué en tout, meurt à 20 ans, Para, Major de Promo (avec un CAP de comptable) pour les Élèves Officiers de Cherchell. Génie du piano à 5 ans, il m'a appris à pianoter).
C'est alors que le mauvais génie décida que le mauvais sang accompagnerait chaque journée. Ma mère parlait toujours sous la protection de la sacro-sainte main de Fatma afin de prémunir les siens de malchance ou de fatalité. Il faut croire que cela ne suffisait pas. En ouvrant son magasin de la rue Bab Azoun, mon père nous faussa compagnie pour s'en aller errer au firmament des paradis célestes. Une crise cardiaque l'emporta avant qu'il ait pu dire adieu à son épouse, à son fils et à ses belles-sœurs.
J’ai rencontré Jean Aurenche à l’occasion d’un film qui devait être adapté du roman de Walter Levino : FUCKING FERNAND. Il a demandé à voir une de mes oeuvres. Je lui ai montré L’ÉTRANGLEUR qu’il n’a pas aimée. Mais au lieu de “fermer la porte”, il a parlé avec moi au cours d’un déjeuner, étonné de ne pas me voir soucieux ou déçu. De ce fait, il a demandé à voir un autre film. Ce fut FEMMES FEMMES qu’il a adoré. Il s’est aussitôt engagé à travailler avec moi, ajoutant qu’il devait revoir cet autre film qui l’avait dérangé. Si je me permets de relater ces faits, c’est qu’ils donnent une image exacte de ce qu’étaient l’homme et l’artiste. Honnêteté, rigueur ouverture d’esprit.
Après … Et le rêve se brisa, la biographie consacrée à Jean-Michel Caradec, Richard Stamper se dévoile, page après page, dans cet ouvrage intimiste non dénué de surprises.
Né au domicile de mes parents au pied de la Bonne Mère, j’ai voulu raconter sous forme d’histoire autobiographique, le déroulement de mon enfance et de mon adolescence dans mon quartier Vauban, dans ma ville Marseille. Je pars de l’année de ma naissance 1945 pour terminer à la fin de mon adolescence et au commencement de ma vie d’homme. Pourquoi « né à l’abri des bombes » ? L’explication est simple : Les bombes ont cessé de tomber sur Marseille le 8 Mai 1945, j’avais environ 7 mois dans le ventre de ma mère, enceinte protectrice. Ce livre parle le marseillais et de l’ambiance de l’époque dans un quartier pittoresque, le quartier Vauban. J’ai voulu qu’il soit humoristique en y incluant des galéjades.
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.