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A la demande de mes petits-fils et de ceux de Bernadette, ma compagne, j’ai fait appel à mes souvenirs. En effet, je les ai écrits pour nos descendants. Après une enfance et une jeunesse bien remplie en Touraine, l’Afrique noire m’a accueilli à l’époque coloniale. C’est pourquoi certains passages qui maintenant peuvent choquer doivent être replacés dans le contexte de l’époque avant d’être jugés. Puis ma carrière au ministère des Affaires étrangères m’a amené à voyager à travers le monde, ce que j’ai continué à faire à la retraite. Le récit est émaillé d’anecdotes parfois drôles et souvent invraisemblables, mais toutes véridiques.
En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Set in the heart of Provence during the 1990s, resonant with the sound of the cicadas and the distinctive metallic clunk of petanque boules, the author tells the captivating story of a young petanque prodigy from the town of La Farlède.
L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…
Si j’ai choisi de vous parler humblement de Jacques Brel et de son œuvre, c’est qu’ils sont indissociables et qu’ils s’inscrivent dans « l’intemporalité des mondes visibles et invisibles » et de l’impermanence. Ecouter Brel c’est forcément le connaître un peu, le sentir… Cet être au grand cœur m’a séduit, que je devinais tendu comme un nerf vers le ciel, si « espérant » qu’il quittait déjà ce monde de son vivant. Je me demande encore s’il n’a pas refusé inconsciemment de grandir, tout simplement pour garder l’enfance qu’on lui avait dérobée.
Au siècle dernier, on parlait de progrès pourtant peu de gens en profitait. Ils ne quittaient pas leur village, leur région et vivaient en vase clos. Puis il y eut la guerre, et la vie a changé. Notre génération fut la première à bouger : le train, l’avion, etc. L’empire colonial existait encore, la recherche du travail favorisait les déplacements.
« Si je pouvais dire et bien redire tout ce qu'il y avait de délicatesse, de sentiments, de noblesse de cœur, d'élévation morale, de haute compréhension de la vie, de sérénité conquise au prix des plus cruelles écoles, des plus douloureuses épreuves en George Sand ! Ma noble, ma grande, ma tant aimée amie, je donnerais le meilleur de la vie qui me reste pour que mon témoignage vous apporte ce respect qu'on vous dispute et qu'aucun de ceux qui vous jugent ne mérite plus que vous ».
Pyte 19 ans, après avoir quitté le lycée 2 ans après la fin de seconde, obtient son premier Bac en 1961. Djo, le frère ainé, le surdoué en tout, meurt à 20 ans, Para, Major de Promo (avec un CAP de comptable) pour les Élèves Officiers de Cherchell. Génie du piano à 5 ans, il m'a appris à pianoter).
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
J’ai eu l’honneur d’écrire la biographie de Jean-Noël Coghe que rien ne prédisposait à ce destin hors cadre qui est le sien. Pourtant, on m’avait mise en garde : écrire la bio d’un Ami, c’est souvent perdre cet Ami. J’espère que vous passerez un bon moment en lisant ce livre de souvenirs, d’anecdotes et d’emmerdes. On se rappellera l’insouciance des jeunes, la liberté et les débuts de cette révolution musicale.