JEAN AURENCHE À TRAVERS SES SCÉNARIOS de Ken NICOLAS
Référence: L1801
23,00 €
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J’ai rencontré Jean Aurenche à l’occasion d’un film qui devait être adapté du roman de Walter Levino : FUCKING FERNAND. Il a demandé à voir une de mes oeuvres. Je lui ai montré L’ÉTRANGLEUR qu’il n’a pas aimée. Mais au lieu de “fermer la porte”, il a parlé avec moi au cours d’un déjeuner, étonné de ne pas me voir soucieux ou déçu. De ce fait, il a demandé à voir un autre film. Ce fut FEMMES FEMMES qu’il a adoré. Il s’est aussitôt engagé à travailler avec moi, ajoutant qu’il devait revoir cet autre film qui l’avait dérangé. Si je me permets de relater ces faits, c’est qu’ils donnent une image exacte de ce qu’étaient l’homme et l’artiste. Honnêteté, rigueur ouverture d’esprit.
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J’ai rencontré Jean Aurenche à l’occasion d’un film qui devait être adapté du roman de Walter Levino : FUCKING FERNAND. Il a demandé à voir une de mes oeuvres. Je lui ai montré L’ÉTRANGLEUR qu’il n’a pas aimée. Mais au lieu de “fermer la porte”, il a parlé avec moi au cours d’un déjeuner, étonné de ne pas me voir soucieux ou déçu. De ce fait, il a demandé à voir un autre film. Ce fut FEMMES FEMMES qu’il a adoré. Il s’est aussitôt engagé à travailler avec moi, ajoutant qu’il devait revoir cet autre film qui l’avait dérangé. Si je me permets de relater ces faits, c’est qu’ils donnent une image exacte de ce qu’étaient l’homme et l’artiste. Honnêteté, rigueur ouverture d’esprit. Nous nous sommes revus en dehors du travail. Je lui ai fait part de mon impression : pour moi, plus que Melville ou d’autres soi-disant précurseurs de la Nouvelle Vague, il en était totalement proche par son sens de l’autodérision qui n’handicapait jamais son professionnalisme. Peut-être est-ce ce mélange inédit qui est la cause du rejet diablement injuste dont il a été victime et dont il souffrait beaucoup. Avoir travaillé avec lui m’a confirmé dans ce sentiment. Ouvert aux remarques, étonné par les richesses de la vie, Jean Aurenche était certainement une des personnalités cinématographiques des plus fortes et, surtout des plus libres. Je suis fier et heureux d’avoir pu le voir au travail et dans la vie.
La liste de tous ces personnages attachants n’est évidemment pas exhaustive. J’ai connu la plupart d’entre eux dans mes jeunes années. Je les ai choisis en fonction d’une poignée de valeurs qui me touchent personnellement : l’amour, l’amitié, la famille, le travail, le respect et le souvenir. J’ai beaucoup d’admiration pour ces hommes et ces femmes, toutes époques confondues, qui s’investissent sans copter pour leur village natal ou d’adoption…
50 ans... Cela fait cinquante ans que Jacques Brachet est entré en journalisme comme on entre en religion : avec passion. Passion d'écrire, passion de découvrir les autres, passion du spectacle... des spectacles, passion des arts en général. De Var Matin à Nice Matin, de Radio la Seyne à Telex, de Figaro Méditerranée à Evasion Mag, jamais il n'a arrêté d'aller de loges en salles de spectacles, de festivals en événements. Et il continue ! Jamais rassasié de les rencontrer, de les découvrir, de les retrouver au fil du temps, il a tissé avec nombre d'entre eux des liens d'amitié.
Grâce à ce livre, vous aurez un choix disparate avec ces gastronomes de tous bords et des recettes variées, selon leur inspiration. Vous voyagerez au gré des recettes de l’Italie à l’Espagne et bien sûr vous visiterez certaines régions de France. Vous ressentirez une décharge émotionnelle, pleine de souvenirs en lisant le rapide survol de leur carrière respective. Cela vous remettra en mémoire la vie de ces personnalités et peut-être par la même occasion vous rappellera certains souvenirs personnels. Nous espérons que ce livre vous séduira.
James Dean, vingt-quatre ans entre dans la légende avec trois films au compteur : East of Eden – Rebel Without A Cause – Giant.
J’ai rencontré Jean Aurenche à l’occasion d’un film qui devait être adapté du roman de Walter Levino : FUCKING FERNAND. Il a demandé à voir une de mes oeuvres. Je lui ai montré L’ÉTRANGLEUR qu’il n’a pas aimée. Mais au lieu de “fermer la porte”, il a parlé avec moi au cours d’un déjeuner, étonné de ne pas me voir soucieux ou déçu. De ce fait, il a demandé à voir un autre film. Ce fut FEMMES FEMMES qu’il a adoré. Il s’est aussitôt engagé à travailler avec moi, ajoutant qu’il devait revoir cet autre film qui l’avait dérangé. Si je me permets de relater ces faits, c’est qu’ils donnent une image exacte de ce qu’étaient l’homme et l’artiste. Honnêteté, rigueur ouverture d’esprit.