Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
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Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! » Après maintes péripéties, en 1874 il prendra la robe blanche de l’ordre de Prémontré et sera ordonné prêtre en décembre 1878. Joseph Rieu alors devenu le Révérend père Xavier de Fourviére s’attachera toute sa vie à prêcher et à défendre sa langue maternelle. Les actes du colloque permettent de mieux appréhender l’homme, le religieux et le littéraire que fut Joseph Rieu.
Un bel hommage à ce groupe original qui n'a jamais suivi la mode musicale, mais qui a su s'imposer tout au long de sa carrière, en enregistrant des chansons oubliées du répertoire français pour en faire des succès.
À propos de cette biographie, l’auteur déclare : tout à leur écoute, je compris rapidement que j’étais le témoin privilégié d’une histoire exceptionnelle. Rien de ce que vous allez lire n’est exagéré, tout est rigoureusement exact. Je me suis attelé à ce projet uniquement parce que j’affectionne Catherine et Alain Jamet, des êtres fascinants s’il en est.
ANGE fête ses cinquante ans. Christian Décamps, à la barre depuis le premier jour, confie sa vie d’Ange à Jean-Noël Coghe, soit un demi-siècle de rock progressif…
Cet ouvrage nous permet, dans un premier temps, de découvrir un homme exceptionnel, d'une grande humilité, un véritable ami de longue date ; il se nomme Laurent Esquier.
En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
Six conférences données à plusieurs reprises entre 2018 et 2023 et une pièce de théâtre composent l’ensemble de ce recueil. Les célébrités abordées ont pour point commun le xixe siècle français, ce siècle oscillant entre républiques, monarchies constitutionnelles et empires. Il fut celui des idées, des progrès, des révoltes, des révolutions, mais également celui des mouvements littéraires et artistiques d’une rare richesse. Victor Hugo, George Sand, Jules Verne, Juliette Adam, Maurice Sand et Sarah Bernhardt invitent le lecteur à remonter le temps sur les sentiers d’un siècle foisonnant aux origines de la France contemporaine.
Pour l’empire romain, le Ve siècle fut particulièrement tragique. Lorsque nous pouvons mesurer l’impact des invasions barbares à travers des écrits de cette époque, il nous semble que la disparition de l’empire fut relativement lente, mais aussi brutale et violente. Ce siècle, transition entre l’Antiquité et le Moyen-Âge, n’a pas été sans heurts. Dès 406, les Barbares franchissent le Rhin, inaugurent le dramatique phénomène des grandes invasions du Ve siècle. À partir de cette date, l’histoire de l’empire romain d’Occident en général et de la Gaule romaine en particulier réside en quelque sorte dans une continuité de ruptures, dans une suite de morcellements, d’éclatements, de fragmentations et de désagrégations progressives.
A toutes celles qui un jour découvrent qu’elles ne sont pas la fille, la petite-fille, la sœur, la tante, la nièce, la cousine et doivent reconstruire leur vie sur les mensonges d’un secret de famille.
Petite-fille d’Alphonse Karr, Violette Bouyer a accès, dès l’enfance, au monde des lettres et des arts, côtoyant d’innombrables personnalités dans un Saint Raphaël qui se transforme fiévreusement en station balnéaire. Au décès de l’écrivain, la famille se retire dans un château austère à Claviers. Arrivée là à 16 ans, Violette Bouyer-Karr y restera 70 ans : une vie entière isolée dans ses bois, pendant laquelle elle sera pourtant femme de lettres, soutenue par des amis fidèles, dont Jean Aicard. « Femme forte » qui gère son domaine et traverse les deux guerres mondiales, femme démunie qui héberge des parents pauvres et aide ses proches, « humble Violette » qui aime la compagnie des enfants et tait obstinément les secrets de son cœur ...
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »