Jean-Noël Coghe, l'instinct reporter de Chantal LOSFELD
Référence: L2331
29,00 €
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J’ai eu l’honneur d’écrire la biographie de Jean-Noël Coghe que rien ne prédisposait à ce destin hors cadre qui est le sien. Pourtant, on m’avait mise en garde : écrire la bio d’un Ami, c’est souvent perdre cet Ami. J’espère que vous passerez un bon moment en lisant ce livre de souvenirs, d’anecdotes et d’emmerdes. On se rappellera l’insouciance des jeunes, la liberté et les débuts de cette révolution musicale.
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J’ai eu l’honneur d’écrire la biographie de Jean-Noël Coghe que rien ne prédisposait à ce destin hors cadre qui est le sien. Pourtant, on m’avait mise en garde : écrire la bio d’un Ami, c’est souvent perdre cet Ami. J’espère que vous passerez un bon moment en lisant ce livre de souvenirs, d’anecdotes et d’emmerdes. On se rappellera l’insouciance des jeunes, la liberté et les débuts de cette révolution musicale.
Cette histoire romancée raconte l’exode de nombreux Russes blancs qui ont souffert pendant des décennies de la faim et des représailles. Face à un gouvernement impitoyable, ces apatrides ont essayé de refaire leur vie dans des pays qui les ont accueillis avec complaisance.
Grâce à ce livre, vous aurez un choix disparate avec ces gastronomes de tous bords et des recettes variées, selon leur inspiration. Vous voyagerez au gré des recettes de l’Italie à l’Espagne et bien sûr vous visiterez certaines régions de France. Vous ressentirez une décharge émotionnelle, pleine de souvenirs en lisant le rapide survol de leur carrière respective. Cela vous remettra en mémoire la vie de ces personnalités et peut-être par la même occasion vous rappellera certains souvenirs personnels. Nous espérons que ce livre vous séduira.
Chantal Losfeld, originaire du Nord de la France a commencé à écrire en faisant deux biographies sur les Sunlights, groupe mythique des années 70. Elle a toujours baigné dans les livres avec des parents libraires. Plus tard, son père devint l’éditeur des Surréalistes. Son huitième récit, qui relate la perspicacité d’un inspecteur de police pour trouver l’assassin de personnes innocentes, vient étayer une collection de petits romans variés et faciles à lire.
Tous deux sont à la recherche d’une présence… Un retraité et une jeune fille vont, grâce à une véritable amitié, faire ensemble un bout de chemin, parfois semé d’embûches.
Après son rapt, Carla voit toute sa vie défiler devant elle. De ses mensonges s’en suit une série de rencontres. Au fil des ans et avec beaucoup d’amour, la quiétude s’installe pour tous les antagonistes de ce récit.
Un bel hommage à ce groupe original qui n'a jamais suivi la mode musicale, mais qui a su s'imposer tout au long de sa carrière, en enregistrant des chansons oubliées du répertoire français pour en faire des succès.
Aujourd’hui nous savons que nous ne sommes pas à l’abri d’un chamboulement terrestre et que dans l’avenir, un simple fait peut devenir une catastrophe.
Chantal Cogoni-Losfeld raconte la vie d’un babouin qu’elle et son mari ont eu pendant des années. L’histoire est narrée comme si c’était le singe qui dévoilait ses propres aventures, pleines de joies et d’espiègleries. Un témoin particulier et privilégié de la fabuleuse ascension des Sunlights, groupe mythique des années 1960 et 1970. D’où les nombreuses situations exceptionnelles traversées par ce singe devenu au fil des ans un véritable compagnon de route.
Fille du célèbre éditeur des surréalistes Eric Losfeld, l’auteur fait aussi partie de la famille Cogoni depuis de nombreuses années. Qui mieux qu’elle pouvait raconter la vie de ces trois frères, émigrés italiens dans les brumes du Nord de la France ? Cet ouvrage retrace leur parcours avec la plus grande sincérité. Par leur travail et leur ambition, ils ont gravi les marches du succès pour devenir premiers dans les hits parades.
Sandra Gardent revient sur la carrière exceptionnelle de Calogero d’abord avec son groupe initial Les Charts puis en solo. Le natif d’Echirolles a fait du chemin pour devenir progressivement l’un des emblèmes de la chanson française. Des textes forts associés à des mélodies magnifiques sont les caractéristiques d’un artiste populaire. A redécouvrir ici…
Né au domicile de mes parents au pied de la Bonne Mère, j’ai voulu raconter sous forme d’histoire autobiographique, le déroulement de mon enfance et de mon adolescence dans mon quartier Vauban, dans ma ville Marseille. Je pars de l’année de ma naissance 1945 pour terminer à la fin de mon adolescence et au commencement de ma vie d’homme. Pourquoi « né à l’abri des bombes » ? L’explication est simple : Les bombes ont cessé de tomber sur Marseille le 8 Mai 1945, j’avais environ 7 mois dans le ventre de ma mère, enceinte protectrice. Ce livre parle le marseillais et de l’ambiance de l’époque dans un quartier pittoresque, le quartier Vauban. J’ai voulu qu’il soit humoristique en y incluant des galéjades.
Au siècle dernier, on parlait de progrès pourtant peu de gens en profitait. Ils ne quittaient pas leur village, leur région et vivaient en vase clos. Puis il y eut la guerre, et la vie a changé. Notre génération fut la première à bouger : le train, l’avion, etc. L’empire colonial existait encore, la recherche du travail favorisait les déplacements.
Pyte 19 ans, après avoir quitté le lycée 2 ans après la fin de seconde, obtient son premier Bac en 1961. Djo, le frère ainé, le surdoué en tout, meurt à 20 ans, Para, Major de Promo (avec un CAP de comptable) pour les Élèves Officiers de Cherchell. Génie du piano à 5 ans, il m'a appris à pianoter).
Année dite érotique 1969 est devenue mythique. Peace and Love ! Dans l’ère des grands chambardements, elle est l’année des festivals « pop » : Woodstock (États-Unis), Wight (Grande-Bretagne) et Amougies (Belgique). Rassemblement de hippies pour les uns, phénomène sociologique pour les autres.
Une voie lactée ; celle de Robert Bedot un « maître fromager » au sens le plus exigeant du terme. Sa notoriété planétaire est la conséquence de cette exigence sans aucune compromission avec le milieu de l’industrie laitière car ses buts et ses combats n’ont pas les mêmes priorités. Il est porteur d’un idéal fromager qui intègre en priorité l’histoire, la tradition et le savoir-faire des hommes à mille lieux des préoccupations des prestataires de la mal bouffe hélas très largement majoritaires sur les étals de la grande distribution. Ce livre relate un parcours unique, divers, inattendu, fait de mille et une rencontres qui ont enrichi son auteur par leur qualité et leur diversité.
Au cours de son livre, rempli d’anecdotes, il nous explique en détails les raisons de son infarctus du myocarde et en particulier les erreurs qui ont entrainé sa maladie.
A toutes celles qui un jour découvrent qu’elles ne sont pas la fille, la petite-fille, la sœur, la tante, la nièce, la cousine et doivent reconstruire leur vie sur les mensonges d’un secret de famille.
La solitude, confine un être dans une prison virtuelle, engendre un mutisme éloquent parce que les journées vont défiler sans qu’aucune visite fasse ouvrir la porte d’un appartement ou d’une maison. Les appels téléphoniques, le temps d’entendre :
― Oui, je vais bien remplacent-ils la chaleur humaine ?
Mi chiamo Peppe Russo. Sono nato a Tunisi, il 1° giugno del 1931, da una famiglia siciliana povera in canna. Un giorno, eccomi a Marsiglia, spinto dal desiderio di avventura e di libertà. Ho fatto tante di quelle sciocchezze che un giorno mi sono ritrovato nel carcere minorile delle Baumettes. Qui mi sono creato un bel giro di amicizie tra i marsigliesi, che hanno finito per chiamarmi Peppe il Marsigliese poiché, nel frattempo, ero diventato una specie di idolo per loro.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »