Dans le monde actuel, il n’y a pas de place pour le rêve. Le seul moyen d’y parvenir c’est d’oublier parfois l’instant présent, de fermer les yeux, d’inspirer profondément… Alors à ce moment-là, dans le coin de votre mémoire, à l’aide d’une clef que vous glisserez dans la serrure, vous ouvrirez une vieille porte en bois usée par le temps et vous pénètrerez dans le monde du souvenir.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Dans le monde actuel, il n’y a pas de place pour le rêve. Le seul moyen d’y parvenir c’est d’oublier parfois l’instant présent, de fermer les yeux, d’inspirer profondément… Alors à ce moment-là, dans le coin de votre mémoire, à l’aide d’une clef que vous glisserez dans la serrure, vous ouvrirez une vieille porte en bois usée par le temps et vous pénètrerez dans le monde du souvenir.
Un bel hommage à ce groupe original qui n'a jamais suivi la mode musicale, mais qui a su s'imposer tout au long de sa carrière, en enregistrant des chansons oubliées du répertoire français pour en faire des succès.
Chez moi, c'était la maison du bon Dieu. Du bon Dieu et de ma mère ! Ma mère la pauvre ! La pauvre ou raïbah dans le langage judéo-arabe de la casbah d'Alger et de toutes les femmes de la famille.
Depuis sa petite enfance, Stephan Regottaz n’a que la musique pour s’exprimer, coincé, dans son carcan ; entre son génie créateur et sa virtuosité au piano et autres claviers.
Ce livre, le dernier de la série Napoléon jour après jour, va nous emmener à l’île de Sainte-Hélène. Après soixante-neuf jours de traversée, Napoléon pose le pied sur cette île qui va être son carcan. Là, il va découvrir une terre peu accueillante, perdue dans l’atlantique sud, loin de tout continent. Il va devoir subir un climat qui lui sera néfaste, et vivre dans une maison rongée par l’humidité et infestée de rats. Depuis son départ de France, il est entouré de trois généraux avec leur famille, de Las Cases qui va écrire « Le mémorial » ainsi que des domestiques fidèles qui vont l’accompagner dans sa longue agonie.
Si j’ai choisi de vous parler humblement de Jacques Brel et de son œuvre, c’est qu’ils sont indissociables et qu’ils s’inscrivent dans « l’intemporalité des mondes visibles et invisibles » et de l’impermanence. Ecouter Brel c’est forcément le connaître un peu, le sentir… Cet être au grand cœur m’a séduit, que je devinais tendu comme un nerf vers le ciel, si « espérant » qu’il quittait déjà ce monde de son vivant. Je me demande encore s’il n’a pas refusé inconsciemment de grandir, tout simplement pour garder l’enfance qu’on lui avait dérobée.
Une voie lactée ; celle de Robert Bedot un « maître fromager » au sens le plus exigeant du terme. Sa notoriété planétaire est la conséquence de cette exigence sans aucune compromission avec le milieu de l’industrie laitière car ses buts et ses combats n’ont pas les mêmes priorités. Il est porteur d’un idéal fromager qui intègre en priorité l’histoire, la tradition et le savoir-faire des hommes à mille lieux des préoccupations des prestataires de la mal bouffe hélas très largement majoritaires sur les étals de la grande distribution. Ce livre relate un parcours unique, divers, inattendu, fait de mille et une rencontres qui ont enrichi son auteur par leur qualité et leur diversité.
Au cœur de la Provence des années 90, bercée par le chant des cigales et le choc métallique des boules de pétanque, l’auteur nous fait vivre les premiers pas sur les terrains d’un minot de la Farlède qui deviendra année après année, le meilleur joueur du monde.
A l’heure où les cigales chantent dans les grands pins parfumés, deux jeunes amants inconscients et heureux sont étendus sur un tapis d’aiguilles sèches. Inlassablement leurs corps ondulent au rythme des pointus colorés qui dansent, sur les vaguelettes en contrebas des roches blanches, dans le petit port de la calanque de Sormiou. Puis lentement l’été fait place à l’automne cachant jalousement ses fruits sous le feuillage pourpre duveteux. A présent, sur la place de l’église de Mazargues, ils s’assoient sur un banc pour parler de projets, tout en observant le mistral arracher une à une les feuilles des platanes qui tourbillonnent et balaient par la même, la vie toute tracée de Clémence.
Si ce vieux Hyèrois, âgé maintenant de plus de 91 ans ne s’était pas obstiné, bizarrement, à “rouler” exclusivement en 2 CV, il passerait totalement inaperçu parmi les 56 799 habitants de notre ville. En 2007, devenu octogénaire, il a entrepris d’écrire sur un cahier d’écolier la quantité de souvenirs engrangés dans sa mémoire… avant que tout s’envole. En 2018 c’était enfin terminé.
Mi chiamo Peppe Russo. Sono nato a Tunisi, il 1° giugno del 1931, da una famiglia siciliana povera in canna. Un giorno, eccomi a Marsiglia, spinto dal desiderio di avventura e di libertà. Ho fatto tante di quelle sciocchezze che un giorno mi sono ritrovato nel carcere minorile delle Baumettes. Qui mi sono creato un bel giro di amicizie tra i marsigliesi, che hanno finito per chiamarmi Peppe il Marsigliese poiché, nel frattempo, ero diventato una specie di idolo per loro.
Des mots pour exorciser les maux... les blessures, les douleurs, les traumatismes. Ceux d'une petite fille abusée sexuellement par son frère aîné.
Dans le monde actuel, il n’y a pas de place pour le rêve. Le seul moyen d’y parvenir c’est d’oublier parfois l’instant présent, de fermer les yeux, d’inspirer profondément… Alors à ce moment-là, dans le coin de votre mémoire, à l’aide d’une clef que vous glisserez dans la serrure, vous ouvrirez une vieille porte en bois usée par le temps et vous pénètrerez dans le monde du souvenir.