Au milieu des années 1900, en province, au moment où le Front Populaire émerge politiquement et socialement, Louis, ouvrier et paysan, usé par les duretés de la vie, aborde inexorablement sa vieillesse. Veuf depuis des années et abandonné par son fils, il trouvera refuge au « Café des Amis ». Il puisera sa force et son équilibre au travers de cette bande d'amis et de son chien, sa béquille de vie, qui l'aideront à supporter les coups durs de l'existence. Pour autant, mêlé à des situations vaudevillesques et des circonstances burlesques, il sera le prisonnier volontaire de l’amitié, de la bonne humeur et la complicité de cette bande de copains jusqu'à leur dernier souffle. Aura-t-il eu raison d'espérer, d'y croire ?
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Au milieu des années 1900, en province, au moment où le Front Populaire émerge politiquement et socialement, Louis, ouvrier et paysan, usé par les duretés de la vie, aborde inexorablement sa vieillesse. Veuf depuis des années et abandonné par son fils, il trouvera refuge au « Café des Amis ». Il puisera sa force et son équilibre au travers de cette bande d'amis et de son chien, sa béquille de vie, qui l'aideront à supporter les coups durs de l'existence. Pour autant, mêlé à des situations vaudevillesques et des circonstances burlesques, il sera le prisonnier volontaire de l’amitié, de la bonne humeur et la complicité de cette bande de copains jusqu'à leur dernier souffle. Aura-t-il eu raison d'espérer, d'y croire ?
« À quoi bon chercher comment a été préparé le crime si nous ne pouvons établir qu’il y en a eu un ? ». Lorsque le commissaire Dupin pose cette question, il résume la complexité de sa sixième enquête sur la côte d’Azur. Pour lui « il n’y a pas que le résultat qui compte ». Ne rien trouver, ce n’est pas échouer : c’est éliminer le doute et il faut donc toujours persévérer. Pourtant, lorsque d’autres affaires surgissent, il est inévitablement conduit à préconiser un « non-lieu ». Mais il ne renonce pas pour autant à son expression favorite selon laquelle « il n’y a pas de crime parfait, il n’y a que des enquêtes ratées ».
1961-1962, années fatidiques pour les pieds-noirs d’Oran ! Ils sont épouvantés par les exactions du FLN et cette guerre cruelle qui dure depuis si longtemps. Ils sont aussi pris en otages par l’OAS, dont l’emprise sur la ville se fait de plus en plus pesante. Et ils se demandent si les méthodes violentes utilisées par « l’armée secrète » ne vont pas les conduire à leur perte ?
C’est au cœur de cette ville effervescente, que débarque un jeune couple métropolitain, Anne et François. Ce dernier qui effectue un reliquat de service militaire, est affecté à la préfecture d’Oran. Tous deux ont des idées généreuses et ils vont tenter de se rendre utiles et de tracer leur chemin personnel au milieu de la folie générale.
Justine et Clara, deux sœurs au tempérament opposé, passent leur enfance dans un climat de rivalités permanentes, au grand désarroi de leurs parents. Pourtant, à l'adolescence, un fait majeur va les rapprocher et les rendre enfin complices. Que s'est-il passé de si important pour provoquer un tel bouleversement et pousser par la suite Justine à s'expatrier ? Malgré le déchirement éprouvé, celle-ci ne trouvera en effet que cette solution radicale pour parvenir à s'interroger sur le sens réel de sa vie et accomplir enfin ses rêves. Les douleurs que l’on croit enfouies remontent toujours à la surface à un moment ou à un autre. Et ce sont alors des vies qui basculent…
Sylvain a perdu celle qu’il aime mais ne peut s’y résoudre. Cloîtré dans la maison qu’ils avaient achetée ensemble, le jeune homme découvre une pièce cachée renfermant un lot de livres étranges. Ses rêves lui signalent une présence autour de lui. Quelqu’un est là, tout près. Quelqu’un qui n’arrive pas à passer de l’autre côté. Et s’il s’agissait de sa compagne disparue ? Avec l’aide d’un médium, il tente d’établir le contact. Mais lorsque à la question « esprit es-tu là ? » la défunte répond « non », la situation prend une toute nouvelle dimension...
Dans cet ouvrage, Jean-Michel Barra nous livre pêle-mêle un inventaire, formulé en un abécédaire particulier, ses réflexions sur le temps qui passe ou sur les sujets d’une actualité de plus en plus brûlante et affolante.
Fatima a vécu une effroyable et infernale épreuve, dont elle réchappe miraculeusement grâce à son amour pour Alain. Lui-même ressuscite aussi, en quelque sorte, mais nous ne pouvons en dire plus pour ne pas galvauder le dramatique suspense des premiers chapitres !
L’auteur, né en 1942 à Sète, nous emmène, pour son deuxième ouvrage, dans la ville de Chartres au 19ème siècle. Une nuit d’avril 1847, une ombre se hâte sous une pluie fine vers l’hospice de l’hôtel-Dieu. Elle vit un moment angoissant en se posant mille questions sur cet acte irréversible qu’elle s’apprête à accomplir, un acte qui va bouleverser de façon définitive l’orientation de plusieurs destins. Pourquoi en est-elle arrivée à une telle extrémité ? Pouvait-elle agir autrement ? Ce roman nous fait partager, de façon réaliste, les états d’âme d’une jeune fille complètement désarmée devant une grossesse non désirée, à une époque où la misère était omniprésente et les droits de la femme très restreints.
Les écoliers d’Avressieux, vont vivre au pied du château de Montfleury, une aventure inattendue. Hugo, dont la famille est issue de la vieille noblesse, éprouve des difficultés à s’intégrer à la jeunesse de ce village. L’esprit de l’épouvantail Avricia et celui de l’armure du Chevalier de Mareste vont s’allier pour redonner à la Tolérance ses lettres de noblesse. Leur action permettra-t-elle à Hugo d’apprécier enfin l’amitié et la compagnie des autres enfants de son âge ? La réponse vous attend dans ce livre.
Louis Noraz, un homme croyant, intégriste à l’excès, voit sa famille s’éloigner de lui sous l’effet de son intolérance religieuse. Ce ne sera qu’à la suite d’un accident dramatique qu’il découvrira le chemin d’une autre vérité. Dans un livre extrêmement documenté et élaboré avec soin – la narration de l’accident constitue un morceau d’anthologie – et profondément humain, l’auteur dénonce toutes les formes d’exaltation religieuse et leurs dérives. Au soutien du récit, il revisite des pages de l’Histoire et l’enrichit en faisant débattre les protagonistes sur quelques grandes questions de société, profanes et spirituelles.
Aujourd’hui j’ai sauvé un livre… il était là, sur le bord du container poubelle, oscillant avec le vent et penchant dangereusement vers l’abîme des ordures… Je me suis précipité et d’une main experte je l’ai arraché au broyage où même son âme aurait disparu… Je l’ai serré contre mon cœur, il vivait encore… mon beau livre, qui que tu sois d’où que tu viennes, je t’aime… et je t’aimerai toujours… je te lirai encore et encore afin que la vie continue à travers tes belles pages…
L’entrée dans un nouveau millénaire, souvent synonyme d’espoirs et de projections dans l’avenir, n’efface pas la présence obsédante du passé.
Ainsi, le temps d’une après-midi automnale en cette année 2000, quatre femmes évoquent leurs destins contrariés par les ravages de la guerre civile espagnole.
Au milieu des années 1900, en province, au moment où le Front Populaire émerge politiquement et socialement, Louis, ouvrier et paysan, usé par les duretés de la vie, aborde inexorablement sa vieillesse. Veuf depuis des années et abandonné par son fils, il trouvera refuge au « Café des Amis ». Il puisera sa force et son équilibre au travers de cette bande d'amis et de son chien, sa béquille de vie, qui l'aideront à supporter les coups durs de l'existence. Pour autant, mêlé à des situations vaudevillesques et des circonstances burlesques, il sera le prisonnier volontaire de l’amitié, de la bonne humeur et la complicité de cette bande de copains jusqu'à leur dernier souffle. Aura-t-il eu raison d'espérer, d'y croire ?