C’était lui. Lui et personne d’autre. Il endossait d’un coup le costume de la première personnalité de France. Le numéro Un. Il allait être le chef de la nouvelle société qu’il voulait mettre en place. Son initiateur. Il allait essayer de changer le niveau de vie des Français. Les rendre heureux et réussir une fois pour toutes, là où tous ses prédécesseurs avaient échoué.
Sandra Monteforte Gardent est correspondante de presse à Grenoble où elle travaille pour Le Dauphiné Libéré, l’Essor et collabore à plusieurs autres publications. Après avoir remporté de nombreuses récompenses littéraires dans le domaine de la poésie, elle a publié La Blessure Intérieure en 2006 (éditions Thot), Kilomètre Sans en 2011 (éditions Kirographaires) et Calogero en Apesanteur en 2012 (éditions Grimal).
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C’était lui. Lui et personne d’autre. Il endossait d’un coup le costume de la première personnalité de France. Le numéro Un. Il allait être le chef de la nouvelle société qu’il voulait mettre en place. Son initiateur. Il allait essayer de changer le niveau de vie des Français. Les rendre heureux et réussir une fois pour toutes, là où tous ses prédécesseurs avaient échoué.
Sandra Monteforte Gardent est correspondante de presse à Grenoble où elle travaille pour Le Dauphiné Libéré, l’Essor et collabore à plusieurs autres publications. Après avoir remporté de nombreuses récompenses littéraires dans le domaine de la poésie, elle a publié La Blessure Intérieure en 2006 (éditions Thot), Kilomètre Sans en 2011 (éditions Kirographaires) et Calogero en Apesanteur en 2012 (éditions Grimal).
Sylvain a perdu celle qu’il aime mais ne peut s’y résoudre. Cloîtré dans la maison qu’ils avaient achetée ensemble, le jeune homme découvre une pièce cachée renfermant un lot de livres étranges. Ses rêves lui signalent une présence autour de lui. Quelqu’un est là, tout près. Quelqu’un qui n’arrive pas à passer de l’autre côté. Et s’il s’agissait de sa compagne disparue ? Avec l’aide d’un médium, il tente d’établir le contact. Mais lorsque à la question « esprit es-tu là ? » la défunte répond « non », la situation prend une toute nouvelle dimension...
La vie est loin d’être de la couleur d’un rosé de Provence dans cette prestigieuse propriété viticole du Var. Au sein de la famille propriétaire, l’homme à la couverture jaune constitue le fil rouge des divisions qui éclatent jour après jour. Un père égoïste et ambitieux, une maîtresse asseyant doucement son pouvoir et une épouse entourée d’une multitude de chats, délaissant ses trois enfants qui cherchent, selon leur sensibilité, à exister dans cet univers troublé. Une aide-soignante et une mystérieuse valise, ultime élément perturbant pour un dénouement où chacun des personnages jouera sa partition et connaîtra une destinée singulière.
Après Initiation à l’amour, j’ai écrit ce petit livret, disons que j’ai de nouveau osé. Par ce récit, j’ai suivi les traces de mon père Eric Losfeld qui a aussi écrit des livres érotiques sous le nom de Dellfos après avoir édité de nombreux ouvrages dont Barbarella et Emmanuelle.
Parce que Jérôme, récent retraité désœuvré, achète chez un bouquiniste des quais de Seine les Souvenirs retrouvés de Kiki de Montparnasse. Parce que son voisin handicapé affirme avoir connu l’artiste « morte ou presque ». Parce qu’un ami disparaît et qu’un tableau s’égare, Jérôme entame une déambulation dans Paris à la recherche des lieux de vie de Kiki, de ses amis ou de ses amants célèbres (Foujita, Kisling, Soutine, Man Ray, etc.) dans un quartier où elle régna sans partage, femme libre, personnage éblouissant des Années folles. Au bout de cette quête, Jérôme verra sa vie transformée par un dénouement inattendu tout autant que la destinée post mortem de la légendaire Kiki de Montparnasse…
Tous deux sont à la recherche d’une présence… Un retraité et une jeune fille vont, grâce à une véritable amitié, faire ensemble un bout de chemin, parfois semé d’embûches.
Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
Lundi…une journée comme les autres au collège du Fenouillet. Les élèves se tiennent mieux que les professeurs, ce qui n’est pas si compliqué… Moi, je ne pouvais pas ne rien écrire avant de partir.
Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.
Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.
Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.
Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.
Thomas Martel, ancien journaliste, décide de s’établir comme écrivain public au Brusc, petit port de Six-Fours face à l’archipel des Embiez. En 1973, il avait couvert pour Le Progrès un audacieux cambriolage dans les beaux quartiers lyonnais. Outre des bijoux, un tableau mystérieux, apparemment quelconque, a été dérobé. Toutefois une interrogation majeure a perduré au fil des ans. S’agissait-il d’une œuvre attribuée à un illustre peintre du xvie siècle dont la valeur serait alors inestimable ?
Dolorès, Mère Courage exemplaire, traverse le XXe siècle, subit trois guerres, doit quitter son pays natal et son pays d’adoption et faire face aux drames familiaux qui jalonnent sa vie. Elle connaît le bonheur avec son mari, ses enfants et petits-enfants, et de nombreux malheurs qu’elle affronte tête haute, en assumant jusqu’à son dernier souffle son si prémonitoire prénom : « Dolorès » (douleurs).
Fabien, jeune sapeur-pompier affecté à Avignon, n’a que deux rêves dans l’existence. À la fois retrouver sa Méditerranée natale et « bouffer de la fumée, les bottes au pied », c’est-à-dire lutter contre de grands incendies. Mais un destin capricieux va contrarier ses projets de vie.