2008. Agathe est journaliste pour un magazine mensuel qui met à l’honneur des femmes contemporaines et novatrices. C’est pourtant Margaux Bayol – cent onze ans et dernière infirmière encore en vie ayant exercé pendant la Première Guerre mondiale – qu’Agathe rencontre pour partager son histoire exceptionnelle. 1916. Margaux est mariée à Léon dont elle est sans nouvelles depuis plusieurs mois. Ne supportant plus la passivité que lui impose sa condition de femme bourgeoise dans le conflit international, elle décide de devenir infirmière et de partir à la recherche de son mari au plus près des combats.
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2008. Agathe est journaliste pour un magazine mensuel qui met à l’honneur des femmes contemporaines et novatrices. C’est pourtant Margaux Bayol – cent onze ans et dernière infirmière encore en vie ayant exercé pendant la Première Guerre mondiale – qu’Agathe rencontre pour partager son histoire exceptionnelle. 1916. Margaux est mariée à Léon dont elle est sans nouvelles depuis plusieurs mois. Ne supportant plus la passivité que lui impose sa condition de femme bourgeoise dans le conflit international, elle décide de devenir infirmière et de partir à la recherche de son mari au plus près des combats.
De sa formation d’infirmière à Nice aux tranchées de Verdun, Margaux fera des rencontres déterminantes pour tenter de retrouver Léon. Une quête périlleuse forgée de sororité et de passions. Dans une guerre réservée aux hommes, elle est résolue à prendre son destin en main. Comment Margaux va-t-elle s’imposer sur le front interdit aux femmes ? Un siècle plus tard, quel lien unit Agathe et Margaux ?
Au crépuscule de son existence, Philippe n’a plus rien à perdre. Nabil, lui, a tout perdu, mais a la vie devant lui. Tout oppose les deux hommes, hormis la mécanique et surtout l’Algérie. Le premier est résolu à y retourner pour chasser les démons qui le hantent depuis la guerre. Le second y voit l’occasion d’enfin découvrir ses racines.
Professeur belge de droit international, Jérôme Lahousse a choisi de passer sa retraite à Hyères (Var), anticipant ainsi un scénario qu’il juge inéluctable : la Flandre finira par s’ériger en État, et seule une intégration à la France pourra garantir l’avenir de la Wallonie. La découverte, chez un bouquiniste, de Mon suicide du Suisse Henri Roorda l’amène à rencontrer Isabelle Duval, avec laquelle il va connaître la passion amoureuse. Très vite cependant, il a l’intuition que cette jeune femme de trente-cinq ans, veuve d’un diplomate français honoraire qui s’est récemment suicidé dans son mas de l’île de Porquerolles, recèle un mystère dont la clé se trouve à Genève.
« Le temps des explications viendra plus tard. » C’est sur cette affirmation que Denis Fournier termine cette histoire. Un état des lieux de sa ville, source d’inspiration inépuisable, devait être la trame de son nouveau roman. « Venue d’ailleurs », une femme va débouler dans sa vie, l’entraîner dans des évènements qu’il ne pouvait imaginer et dans un état sentimental… particulier. La recherche d’une enfant l’emmènera de Toulon à Marseille, de La Seyne à Aix en Provence et bien au-delà dans les Alpes du sud.
À cette époque, nous collions des décalcomanies sur nos cartables quand nous ne jouions pas aux osselets. À cette époque, nous portions des cols roulés en acrylique, les cheveux hérissés par l’électricité statique. À cette époque, nous nous endormions devant Nounours et le Marchand de sable. À cette époque, pourtant pas si lointaine, être Asperger ne voulait rien dire.
Au bout de dix ans de bons et loyaux services, le commissaire Renda décide de quitter la police officielle pour pour mener des enquêtes privées. Dans une Sicile mystérieuse et contrastée, Renda doit résoudre plusieurs intrigues : la disparition d’un vieillard à Erice, celle d’un chat à Porto Empedocle, l’apparition d’un enfant au sanctuaire de Gibilmanna, la chronique d’une mort annoncée à Cefalù, le vol de tableaux dans des églises de Palerme, l’empoisonnement d’un homme à San vito lo capo, une tentative de meurtre à la gare de Termini Imerese et un étrange Père Noël près d’Agrigente. Ces huit nouvelles sont huit clins d’œil, huit sourires à Andréa Camilleri, originaire comme l’auteur de ce recueil, de Porto Empedocle.
Contraint par son mystérieux interlocuteur d’expliquer les évènements qui ont « fait basculer son existence », Guillaume Einaudi doit se mettre à table. Il voit défiler devant ses yeux le film de sa vie, dans un suspense qui tiendra le lecteur en haleine jusqu’au dernier coup de théâtre.
Parce que Jérôme, récent retraité désœuvré, achète chez un bouquiniste des quais de Seine les Souvenirs retrouvés de Kiki de Montparnasse. Parce que son voisin handicapé affirme avoir connu l’artiste « morte ou presque ». Parce qu’un ami disparaît et qu’un tableau s’égare, Jérôme entame une déambulation dans Paris à la recherche des lieux de vie de Kiki, de ses amis ou de ses amants célèbres (Foujita, Kisling, Soutine, Man Ray, etc.) dans un quartier où elle régna sans partage, femme libre, personnage éblouissant des Années folles. Au bout de cette quête, Jérôme verra sa vie transformée par un dénouement inattendu tout autant que la destinée post mortem de la légendaire Kiki de Montparnasse…
« On se retrouve demain… Salut ! ». C’est par ces mots que l’auteur terminait ses matinales lorsqu’il travaillait dans les « locales » de Radio France. Avant cela, il était passé par le music-hall, le cabaret, la télé, les radios commerciales.
L'amour de la musique pour surmonter la mort de l'amour, la rencontre de deux femmes que tout oppose mais que réunit la volonté de retrouver leur liberté, le réconfort d'un refuge au coeur d'une nature splendide et isolée, la découverte de l'univers d'un musicien baroque oublié... Voici ce qui va permettre à Martha, une violoncelliste sous l'emprise d'un mari violent et dominateur, de reconstruire sa vie. Dans ce troisième roman contemporain, Sophie Rollet trace au coeur des paysages sauvages de la campagne ardéchois le portrait de deux femmes, l'une fragile, hypersensible, en quête de la perfection de son art, l'autre intuitive et déterminée.
Un centre de triage, nom tristement évocateur ! Dans les vignobles de Rio Salado se dressent des murs coiffés de barbelés. Ici vivent des prisonnières qui ont collaboré avec le FLN. La France veut les récupérer. La mission est confiée à Anne, jeune directrice de 21 ans. Dans ce camp unique en son genre, se croisent des personnages acteurs ou victimes de la guerre d’Algérie. Chacun porte son fardeau : la rebelle Halima, le commandant de l’action psychologique, celui du renseignement, l’appelé du contingent, le reporter de l’Echo d’Oran… Dans cet univers carcéral, l’amour interdit parviendra-t-il à trouver sa place ? Un roman qui s’appuie sur des faits réels.
Depuis trente ans déjà, Bénédicte porte en elle un grand secret. À la suite de l’agression de sa fille Manoro, elle se voit obligée de dévoiler ce qui l’oppresse depuis longtemps. Cet aveu foudroyant menace de détruire à jamais la relation quasi fusionnelle entre la mère et la fille. Le destin leur permettra-t-il de se retrouver ?