Que c’est bien, bleu et beau Monaco ! Qu’il fait bon vieillir à l’ombre du Rocher. Dommage qu’aujourd’hui on y assassine des centenaires. On n’a pas tous les jours 100 ans mais on a chaque jour un géronte qui casse sa pipe. Au cours de son enquête Rocco est fait prisonnier sur un joli rafiot. Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Tout simplement découvrir qu’un jumeau peut en cacher un autre. Franchement quelquefois, il vaut mieux naître seul que mal accompagné.
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Que c’est bien, bleu et beau Monaco ! Qu’il fait bon vieillir à l’ombre du Rocher. Dommage qu’aujourd’hui on y assassine des centenaires. On n’a pas tous les jours 100 ans mais on a chaque jour un géronte qui casse sa pipe. Au cours de son enquête Rocco est fait prisonnier sur un joli rafiot. Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Tout simplement découvrir qu’un jumeau peut en cacher un autre. Franchement quelquefois, il vaut mieux naître seul que mal accompagné.
Stella s'est tirée sans crier gare. Inconsolable, je décide alors de mettre en train une enquête sur la disparition d’un pasteur dans nos Cévennes méridionales. Je me dis, qu’après tout, des vacances du côté de Bédarieux ne me feront pas de mal. Lorsque j’apprends qu'un pope s’est volatilisé à deux pas de Joncels, je commence à penser que j'aurais mieux fait de rester sagement chez moi à attendre le retour de ma dulcinée. Mais le jour où l’on m’informe que le prêtre de Colombières sur Orb s’est aussi évanoui dans la nature, je finis par en perdre mon latin. Croyez-le ou non, je suis vraiment tombé sur une affaire pas très catholique... pas très orthodoxe… Normal, " dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche". * * Prévert.
Au bout de dix ans de bons et loyaux services, le commissaire Renda décide de quitter la police officielle pour pour mener des enquêtes privées. Dans une Sicile mystérieuse et contrastée, Renda doit résoudre plusieurs intrigues : la disparition d’un vieillard à Erice, celle d’un chat à Porto Empedocle, l’apparition d’un enfant au sanctuaire de Gibilmanna, la chronique d’une mort annoncée à Cefalù, le vol de tableaux dans des églises de Palerme, l’empoisonnement d’un homme à San vito lo capo, une tentative de meurtre à la gare de Termini Imerese et un étrange Père Noël près d’Agrigente. Ces huit nouvelles sont huit clins d’œil, huit sourires à Andréa Camilleri, originaire comme l’auteur de ce recueil, de Porto Empedocle.
Mon premier est une fratrie marseillaise qui cherche une mamie sicilienne et trouve un papyrus. Mon deuxième est un philosophe sicilien du Ve siècle Av. J.-C. dont la doctrine physique sur les quatre éléments va fonder sa croyance en la transmigration des âmes. Mon troisième est un cathare anonyme qui en 1209 écrit une lettre posthume codée dans un monastère pas très catholique. Mon quatrième est un ordre secret antique qui va révéler le mystère de la plupart des montres et horloges de notre continent qui arbore le chiffre IIII et non IV. Mon cinquième est une association clandestine et criminelle d'individus sans religion qui n'hésite pas à faire appel à un cardinal pour recourir au meurtre et à l'intimidation.
Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
16 années se sont écoulées. « IL » tente de se reconstruire. Alors que son quotidien de baqueux du 9-3 le plonge dans les ténèbres de l’humanité, une découverte inattendue va l’obliger à mener une enquête qui dérange, où la noirceur des âmes ne permet plus de discerner à qui se fier.
Pourtant, toute cette histoire semble bel et bien avoir commencé en l’an 41 après J.-C.
Quand l’envie de justice se retrouve anéantie par la quête du pouvoir absolu, l’impensable devient possible.
Venise et son carnaval ! Un moment de rêve pour les touristes et les assassins qui peuvent évoluer et opérer à leur guise, au vu et au su de tous, derrière leur masque. L’étrange découverte de Gustavo Sabatino sur la tombe familiale sera le prélude à une série de drames. Lourde tâche pour le commissaire Matarone et son équipe que celle de « démasquer » l’assassin qui ourdit ses méfaits à l’ombre du carnaval.
Foutaises ! C’est ce que vous diriez si on vous annonçait que les « démons » sont à l’affût et que les adorateurs du dieu Dagon font couler le sang pour hâter son retour du fond des océans. Foutaises ! C’est ce qu’aurait dit le commandant de police Chaval avant son enquête sur le triple meurtre de la rue de Gand à Lille.
Ils veulent faire échouer l’enquête, mais l’Anonyme d’Anvers va s’en mêler. À sa façon... Et ses investigations, en exhumant des vieilles affaires marseillaises liées aux mafias de la drogue et de la ferraille, vont faire remonter d’autres cadavres à la surface.
Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.
Commandant de police à la PJ, la vie est belle pour Max. À un mois d’une retraite bien méritée, alors qu’il est en train de déjeuner sur la digue du petit port de Saint-Elme, face aux Deux-Frères, deux coups de feu très rapprochés déchirent le silence de sa contemplation méditative. Devant lui, la vision effroyable d’un corps jeté à l’eau, par-dessus le bastingage d’une vedette qui prend aussitôt la fuite, transforme ce petit coin de paradis qu’il aime tant en enfer.
Elsa est infirmière dans une unité médicale. Robin, son mari, lui, est un médecin affecté aux urgences. Les époux s’adonnent à soigner autrui tandis que leurs horaires antagoniques dérangent leur vie privée. Néanmoins, l’amour qui les unit est manifeste. Cependant, à cause d’une maladie dégénérative contractée par Elsa, l’harmonie du ménage s’en trouvera chamboulée. Une greffe pourrait redresser la santé d’Elsa. Toutefois, une affaire de meurtre, mêlée à l’action du don d’organes, contrariera l’équilibre du couple. S’ensuit la lutte d’un avocat épaulé par un détective privé. Un récit où la culpabilité a des accents distincts. Au vrai, un sujet sensible, documenté, captivant. Un duo d’enquêteurs retors parachève ce polar fuligineux.
Le suicide était évident. Tout du passé d’Isabelle Freund poussait tant le capitaine Sadelli que le procureur de la République à cette conclusion. Pourtant cette thèse allait être contestée par la famille d’Isabelle, ce qui conduisit à la désignation d’un juge d’instruction. Ainsi le capitaine de police Brou, dit Le Lézard, fut chargé des investigations. Son enquête mit rapidement en lumière le lourd contexte familial, avec un divorce en cours, des violences et du harcèlement. Voilà pourquoi, peu à peu, les différents témoignages, indices récoltés et constatations matérielles mirent en doute la conclusion initiale. Et une autre histoire vit le jour.
Pourquoi la maîtresse de cette école trouve-t-elle chaque matin son tableau souillé de messages menaçants et sa salle vandalisée ? Qui peut lui en vouloir à ce point et surtout comment le malfaiteur fait-il pour pénétrer dans une salle fermée à double tour ? L’humour et le suspense haletant de cette enquête ont de quoi satisfaire le plus exigeant des jeunes lecteurs. Le tout agrémenté d’anecdotes scolaires désopilantes ou affligeantes.
« Alors que je m’avançais vers la rubalise… je découvris un corps laiteux aux longs cheveux clairs qui s’étalaient sur l’herbe rase et mouillée par l’humidité de la nuit. Pourquoi cette jeune vie fut-elle brutalement interrompue en cette nuit fraîche de début mars ? » Quittant le quai des Orfèvres avec une affaire non élucidée, le commissaire Gouvier débarque à Marseille, la ville de son enfance, marquée par diverses formes de violence. Au milieu de ses souvenirs, son esprit est tendu sur la traque, entre la cité phocéenne et Toulon, d’un tueur en série qui signe ses crimes avec une carte de tarot.
Que c’est bien, bleu et beau Monaco ! Qu’il fait bon vieillir à l’ombre du Rocher. Dommage qu’aujourd’hui on y assassine des centenaires. On n’a pas tous les jours 100 ans mais on a chaque jour un géronte qui casse sa pipe. Au cours de son enquête Rocco est fait prisonnier sur un joli rafiot. Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Tout simplement découvrir qu’un jumeau peut en cacher un autre. Franchement quelquefois, il vaut mieux naître seul que mal accompagné.