Un réveil en sursaut… Une chambre d’hôpital… La douleur, l’incompréhension, mais surtout… L’amnésie !!! Une ville trop grande pour lui, une famille qu’il doit accepter. La vérité est-elle bonne à chercher quand on ignore tout de son passé ?

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Que de stupidité entourait nos vies. Je pensai que seul un miracle pouvait sauver notre famille et le miracle se produisit…

Coincé dans l’antichambre de la mort, Jacques comprend le mécanisme de la vie. S’aidant de sa rencontre avec Mathilde, une fillette de 9 ans, le septuagénaire va s’enquérir de sa nouvelle condition d’existence pour gagner le droit de mourir.

Une histoire pleine d’amour et de douceur, de psychologie empreinte de malice, où l’auteur par une habile mise en scène ouvre de nouvelles perspectives à la mort.

Un tout petit claquement de doigts et une vie est passée. Imperceptiblement le temps qui passe est devenu le temps qu’il reste. 

À Paris où il a trouvé refuge, Tân devient un brillant architecte. Il s’invente une vie où tout est nouveau, où tout l’éloigne de Saigon et d’un passé douloureux. Mais il est vain d’édifier des murailles pour tenter de se protéger, rien ne résiste aux aléas de l’existence.

L’auteur nous entraîne avec sensibilité sur les pas d’un homme tourmenté en quête d’une identité qu’il a voulu effacer. L’amour, l’amitié, les joies et les peines et puis, un jour, un de ces moments de bascule qui bouleverse tout…

Le chemin vers la résilience est semé d’embûches mais le bonheur est à ce prix.

Rescapée du naufrage du Titanic en avril 1912, Berthe Leroy fut quelques jours enregistrée sous l’identité de Bertha Lavory. Elle devenait ainsi l’inconnue du Carpathia, navire qui recueillit les rescapés.

Inconnue, cette anonyme fille de mineur l’aura été pendant toute son existence, inattendue, pleine d’enchantements et de drames, de suspense et de rebondissements… Comme le temps remet toujours les pendules à l’heure, le moment était venu de jeter un autre regard sur ce qu’elle fut, d’ajouter des pièces inédites au dossier et de rétablir des vérités. Ce roman le fait sous forme d’enquête et en empruntant les voies du polar.

Madame Bertrand, depuis qu’elle est veuve, se sent bien seule. Aussi occupe-t-elle ses journées à épier ses voisins. Et justement, il se passe de drôles de choses dans son lotissement.

Ce livre offre un regard inédit sur les richesses et les défis de la solitude. Des citations illustrent les idées de l’auteure développées dans les préfaces sur les différents états de solitude, suivies dans la seconde partie, d’un recueil de larges extraits de textes de littérateurs prestigieux. 

Nourrie de littérature, Nicole Castaldi-Marin s’est fait remarquer par son talent de romancière. Elle s’exprime dans ses écrits dans une langue pure et élégante à l’instar des auteurs qu’elle a sélectionnés dans cette anthologie. 

La publication de trois romans Blessures avec ou sans imagination, Nuées vespérales et Au-delà du dernier horizon lui ont valu un beau succès. 

Ces Floraisons littéraires qui se lisent avec un indéniable plaisir, complètent son œuvre.

Marseille 2013, Capitale Européenne de la Culture… Cliché ô combien éblouissant ! Mais au-delà de celui-ci, demeure malheureusement une réalité douloureuse et plus sombre : celle d’une ville à l’image écornée par de nombreux faits divers sanglants, qui défraient trop souvent la chronique.

Julie, une jeune et jolie femme de trente-trois ans, se perd dans des relations sans lendemain. Pourquoi cette fuite en avant, sachant qu’elle exècre le fait de se réveiller aux côtés d’un inconnu ?

« Cela n’arrive pas qu’aux autres ». Éva vient d’apprendre qu’elle a un cancer. À 50 ans, la vie semble basculer, le quotidien se rétrécir en raison des traitements, de l’indifférence de Julien, galeriste dans le Marais, de celle de ses collègues universitaires. Prise dans une course effrénée contre la progression des métastases, elle livre un combat intérieur acharné, puise des forces insoupçonnées dans la lecture, la musique, l’art, la prière et dans l’affection que lui prodiguent Agnès, son amie historienne, et Martine, sa tante d’Antibes. Une autre thérapie !

Les années soixante, un village au cœur de la Provence, une institutrice adulée par ses élèves qui prend sa retraite…

Que c’est bien, bleu et beau Monaco ! Qu’il fait bon vieillir à l’ombre du Rocher. Dommage qu’aujourd’hui on y assassine des centenaires. On n’a pas tous les jours 100 ans mais on a chaque jour un géronte qui casse sa pipe. Au cours de son enquête Rocco est fait prisonnier sur un joli rafiot. Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Tout simplement découvrir qu’un jumeau peut en cacher un autre. Franchement quelquefois, il vaut mieux naître seul que mal accompagné.      

Le mystère de la naissance d’Elen Leroy (voir Tome 1 : La naissance d’une étoile) reste entier. Pour Guillaume Lefuret, il n’y a pas à tergiverser : rechercher les origines de la fillette revient à rechercher les siennes. Mais le seul personnage à pouvoir le renseigner, l’étrange pédiatre qui s’est occupé du bébé à sa naissance, est mort (voir Tome 2 : Le fils de la forêt). Tant pis, le jeune commissaire renonce à savoir et se jette à corps perdu dans son travail. Son amitié avec : Thierry Leroy, sa femme Morgane et ses beaux-parents, Maggy et Jules Delisle, lui permet de tourner la page. Pourtant Guillaume va devoir affronter d’autres mystères. Il y a d’abord Elen qui lui ressemble étrangement et qui s’est prise d’affection pour lui, au point de tout partager avec lui.