L’Église catholique vit en ce moment une période de changement de Pape, avec François, porteur d’un peu d’espoir.
Saura-t-elle se demander pourquoi, depuis cinq siècles, elle a manqué toutes les étapes de la modernité, depuis la Renaissance jusqu’au débat sur « le mariage pour tous » ?
Reconnaîtra-t-elle enfin une part d’incertitude dans sa foi absolue ?
De quelle réaction lucide est-elle capable face à son effacement en cours en Occident et ailleurs ?
Admettra-t-elle enfin que le message de Jésus dans l’Evangile est celui d’une libération spirituelle ?
Les catholiques sauront-ils avec courage s’ouvrir à une évolution qui soit autre chose qu’une évangélisation rétrograde et illusoire ? (Voir annexe IV)
Le Pape François avait soutenu sur son continent d’Amérique du Sud la répression de la « théologie de la libération », saura-t-il accepter dans un vrai dialogue la liberté de conscience des chrétiens, à notre époque où par découragement il est devenu plus habituel de s’en aller sans bruit et sans chercher à se révolter ?
Telle est l’interpellation et l’anticipation auxquelles s’essaye l’auteur de ce modeste ouvrage.
À la suite d’un premier volume visant à montrer en quoi l’évolution des connaissances scientifiques oblige à reconsidérer les fondements anthropologiques de la foi en Dieu, ce deuxième tome tente de préciser ce que l’on peut dire de Jésus-Christ à partir des données historiques, des écrits du Nouveau Testament et de l’enseignement de l’Église. Jésus, dont on connaît en définitive peu de choses, a été « mythifié » au cours des premiers siècles de notre ère, jusqu’à devenir le Christ, Fils unique de Dieu et Sauveur des hommes.
Pourquoi cet Évangile est-il dit « provençal » ? Parce que, selon Anne-Catherine Emmerich, à partir de l’an 37 de notre Ère, Lazare et ses deux sœurs (Marthe et Marie-Madeleine), ainsi que Sidoine, Saint-Maximin et quelques autres sont effectivement venus évangéliser la Provence. Les trois premiers volumes de ces Récits sur les premiers temps de l’Ère chrétienne sont déjà « centrés » sur tous ceux qui, une dizaine d’années plus tard, se retrouveront en divers lieux de la Provence romaine. Ainsi, c’est seulement lorsqu’il aura atteint puis dépassé l’an 37 de notre ère que cet ouvrage méritera véritablement son titre, qu’il porte encore, pour l’instant, par anticipation.
Voici un recueil de prières et de méditations spirituelles à mettre à portée de main sur sa table de chevet. Le besoin de prier et de se raffermir dans sa foi catholique trouvera bonheur parmi tous ces textes religieux écrits avec ferveur par une dame au grand cœur, éprise d’amour pour son prochain et de vénération pour la Sainte-Trinité. L’auteure nous livre, avec une grande sincérité, ses prières et ses méditations chargées d’énergies communicatives. Elle encourage à prier dans la persévérance jusqu’à obtenir le miracle espéré. Ce recueil témoigne d’une foi ardente alimentée d’un regard bienveillant et réaliste sur le monde qui l’entoure.
Cet ouvrage revient sur les fondements du judaïsme ainsi que sur ses différents aspects identitaires. Les mille et une facettes du christianisme ainsi que les visages si contrastés de lislam sont aussi des paramètres largement évoqués. En clair lauteur effectue une mise au point des connaissances en termes de religions depuis les temps les plus reculés jusquà nos jours. Le livre sachève par un essai de synthèse montrant ce qui unit les trois religions, ce qui les sépare et ce qui les oppose.
Paul Ricoeur disait profondément Écrire, c’est réécrire. Dans le présent travail de réécriture des livres de Clément Brentano publiés au dix-neuvième siècle, j’ai souvent mis un bémol à ce qu’Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) lui avait dit à partir de sa foi de religieuse augustinienne.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Du 5 juin au 5 décembre de l’an 26 de notre Ère, le lecteur trouvera ici, d’après Anne-Catherine Emmerich (1774-1824), dont on dit souvent qu’elle fut la plus grande visionnaire de tous les temps, six mois de la vie du Christ et de ses proches, jusqu’à la fin des quarante jours de jeûne au désert. Il y a ici quatre auteurs qui ont travaillé avec persévérance le même sujet sur une période de 240 ans : au départ, Anne-Catherine Emmerich ; puis l’écrivain allemand, ami de Goethe, Clément Brentano (1778-1842), qui voulait consacrer une quinzaine de jours pour réaliser un reportage sur Anne-Catherine, mais qui est resté six ans pour consigner les récits extraordinaires qu’elle lui faisait et qui élabora ensuite, à partir de là, plusieurs livres à grand succès...
Aristote, le fondateur du Lycée, est l’un des philosophes qui, au long de l’histoire, a eu le plus d’influence sur la pensée des autres êtres humains. Sa philosophie, reprise, intégrée et discutée par saint Thomas d’Aquin (1224-1274) reste aujourd’hui encore une référence pour la pensée chrétienne.
J’ai accepté bien volontiers d’entrer en dialogue avec Robert Pembélé, Sociologue et Prêtre, du diocèse de Fréjus-Toulon, en Provence Alpes Côte d’Azur (France). Il me fit l’honneur d’être son parrain d’ordination sacerdotale, le samedi 6 avril 1991, à Nkongsamba-Cameroun. En signe d’un témoignage d’amitié sacerdotale, mon filleul a bien voulu que je l’aide à rendre compte de l’Espérance qui l’anime dans sa vocation à suivre le Christ. Certaines de mes questions n’ont pas toujours plu à mon ami et fils spirituel mais vous constaterez, au fil des échanges, son effort louable d’apporter les solutions à certaines interrogations embarrassantes.