L’Église catholique vit en ce moment une période de changement de Pape, avec François, porteur d’un peu d’espoir.
Saura-t-elle se demander pourquoi, depuis cinq siècles, elle a manqué toutes les étapes de la modernité, depuis la Renaissance jusqu’au débat sur « le mariage pour tous » ?
Reconnaîtra-t-elle enfin une part d’incertitude dans sa foi absolue ?
De quelle réaction lucide est-elle capable face à son effacement en cours en Occident et ailleurs ?
Admettra-t-elle enfin que le message de Jésus dans l’Evangile est celui d’une libération spirituelle ?
Les catholiques sauront-ils avec courage s’ouvrir à une évolution qui soit autre chose qu’une évangélisation rétrograde et illusoire ? (Voir annexe IV)
Le Pape François avait soutenu sur son continent d’Amérique du Sud la répression de la « théologie de la libération », saura-t-il accepter dans un vrai dialogue la liberté de conscience des chrétiens, à notre époque où par découragement il est devenu plus habituel de s’en aller sans bruit et sans chercher à se révolter ?
Telle est l’interpellation et l’anticipation auxquelles s’essaye l’auteur de ce modeste ouvrage.
Dans le premier Volume de L’Évangile provençal, du 5 juin au 5 décembre de l’an 26, nous avons pu, par exemple, assister au Baptême du Seigneur par Jean-le-Baptiste, puis aux quarante jours de Jeûne du Christ, tels qu’Anne-Catherine Emmerich nous les fait revivre. Avec le début de ce second Volume, nous serons assez vite aux Noces de Cana. Et nous suivrons le Seigneur et Ses proches (notamment celles et ceux qui viendront une dizaine d’années plus tard christianiser la Provence), du 6 décembre de l’an 26 au 24 août de l’an 27. En chemin, le lecteur pourra assister à l’émouvante rencontre entre le Seigneur et la Samaritaine, au Puits de Jacob.
À la suite d’un premier volume visant à montrer en quoi l’évolution des connaissances scientifiques oblige à reconsidérer les fondements anthropologiques de la foi en Dieu, ce deuxième tome tente de préciser ce que l’on peut dire de Jésus-Christ à partir des données historiques, des écrits du Nouveau Testament et de l’enseignement de l’Église. Jésus, dont on connaît en définitive peu de choses, a été « mythifié » au cours des premiers siècles de notre ère, jusqu’à devenir le Christ, Fils unique de Dieu et Sauveur des hommes.
Ce premier carnet doit répondre à toutes les interrogations concernant le tantrisme. Il doit démontrer que sans rien changer à votre vie, l’initiation en bouleversera cependant les principes.
Le désir de s’adresser à ceux qui vivent dans le monde de l’athéisme, qui a longtemps été le mien, sera présent dans le livre Le Temps de la Passion. C’est également pour eux que fut écrit Le Temps de Pentecôte.
Cet ouvrage survole 10 000 ans d’histoire de cette terre que l’on nomme selon ses croyances Terre Promise ou Terre Sainte. Il veut montrer que les luttes sanglantes existent depuis la nuit des temps et que, préhistoire mise à part, la Palestine a changé 13 fois de carte d’identité.
J’ai accepté bien volontiers d’entrer en dialogue avec Robert Pembélé, Sociologue et Prêtre, du diocèse de Fréjus-Toulon, en Provence Alpes Côte d’Azur (France). Il me fit l’honneur d’être son parrain d’ordination sacerdotale, le samedi 6 avril 1991, à Nkongsamba-Cameroun. En signe d’un témoignage d’amitié sacerdotale, mon filleul a bien voulu que je l’aide à rendre compte de l’Espérance qui l’anime dans sa vocation à suivre le Christ. Certaines de mes questions n’ont pas toujours plu à mon ami et fils spirituel mais vous constaterez, au fil des échanges, son effort louable d’apporter les solutions à certaines interrogations embarrassantes.
Ce livre est l’œuvre du père Pierre Bilard qui s’est mis au service des personnes détenues comme aumônier catholique à la maison d’arrêt de Dijon pendant 13 ans, jusqu’à ce qu’il soit atteint par la limite d’âge. Ses qualités d’homme de Dieu et d’homme de lettres l’ont conduit à entretenir un abondant courrier avec les prisonniers. C’est l’ensemble de ces témoignages écrits qu’il nous rapporte dans cet ouvrage avec beaucoup de simplicité, sans commentaires excessifs mais avec une grande vérité, laissant au lecteur la liberté de juger de la pertinence de ces témoignages. Ce livre confirme qu’en prison la quête spirituelle est très présente et suscite souvent l’admiration.
Le Tantrisme est un immense système d’une très forte cohérence, dont chaque point est relié étroitement avec tous les autres. Il est donc préférable d’en avoir dès le début une vision cavalière générale qui fera voir ensemble les points les plus saillants.
Herman Wijns, Belge de langue flamande né en 1931 a, dès son plus jeune âge, été gratifié d’une foi si solide qu’elle a rapidement dépassé celle de ses parents. « Prêtre ou rien », voilà ce qu’il voulait devenir dès sa sixième année. Excellent camarade, vif et généreux, courageux, héroïque même, doté d’une prescience étonnante, il a connu dans sa courte vie des épisodes dignes d’un destin exceptionnel. Aucun servant de messe n’a, sans doute, dans toute l’histoire de l’Eglise, été aussi dévoué et compétent. Il meurt à dix ans à la suite d’un accident. Sa Cause de béatification semble enfin sur le point d’être ouverte.
L’Église catholique vit en ce moment une période de changement de Pape, avec François, porteur d’un peu d’espoir.