UNE BRÈVE APPROCHE DE L’HISTOIRE DE SAINT MAUR ET SON ICONOGRAPHIE de Lazare ROUX
Référence: L2063
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D’après la tradition, saint Maur (vers 512-584) est né dans une famille patricienne originaire de Rome, son père ayant été sénateur. Saint Maur entra au monastère du Mont-Cassin, dont l’abbé était alors saint Benoît de Nursie, le père du monachisme occidental ».
D’après la tradition, saint Maur (vers 512-584) est né dans une famille patricienne originaire de Rome, son père ayant été sénateur. Saint Maur entra au monastère du Mont-Cassin, dont l’abbé était alors saint Benoît de Nursie, le père du monachisme occidental ». Maur devint très vite le disciple le plus proche de Benoît. Après avoir terminé sa formation monastique, il fut envoyé par saint Benoît, à la demande de l’évêque du Mans, en mission en Gaule, afin d’y propager et diffuser la Règle et le monachisme bénédictins, dans un souci d’évangélisation et de poursuite de la christianisation, au VIe siècle.
Entre ceux « qui croient au ciel » et « ceux qui n’y croient pas », nombre de malentendus et de controverses pourraient bien provenir non seulement de l’ignorance ou de l’indifférence, mais bien davantage encore de l’écart entre ce que l’on croit et ce que l’on sait. Or, cet écart va croissant en raison de l’évolution des connaissances face à l’immutabilité relative des doctrines religieuses, pour la plupart fondées sur des paradigmes obsolètes. Avant d’envisager pourquoi et comment croire en Dieu, il conviendrait donc d’analyser de façon critique les présupposés scientifiques, anthropologiques, métaphysiques qui ont présidé à l’élaboration du christianisme notamment, et de les confronter aux connaissances actuelles.
Il y a 18 milliards d’année « La matière physique » n’existait pas encore. Seul le vide, infini et obscur était présent dans le Cosmos où en réalité d’innombrables champs d’énergies électriques se côtoyaient dans l’invisible. Un « jour » ces énergies cosmiques commencèrent à se rassembler peu à peu et formèrent en 1 siècle d’immenses piles électriques de 1 à 2 milliards de volts. Celles-ci se déchargèrent en cascade dans l’infini et engendrèrent les milliards d’étoiles du Cosmos. Une grande partie de ces étoiles se refroidirent pour devenir les planètes du Cosmos. Il existe actuellement dans le Cosmos 433 planètes qui possèdent une atmosphère et un écosystème à peu près identiques à la Terre.
La joie de vivre n’est pas un bonheur spontané qui viendrait de l’accumulation des biens divers. Elle nous est donnée avec la vie qui contient tous ses ingrédients.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Le développement actuel du catéchuménat des adultes nécessite de nouveaux accompagnateurs. Certaines personnes hésitent à se lancer dans l'aventure. Ce dossier a pour but de les aider en leur proposant des contenus pour un déroulement substantiel des rencontres de catéchèse préparant aux trois sacrements de l'initiation chrétienne. Il est adossé aux textes bibliques présentés dans "PARLE SEIGNEUR, ta Parole est un Trésor" (Éditions MAME-Tardy). Les accompagnateurs pourront suivre ces fiches de près, ou s'en inspirer en les adaptant aux besoins et possibilités de chacun.
Cette réédition de « La vie de Monseigneur Antoine Daveluy », écrite par Charles Salmon en 1883, paraît aujourd’hui sous le titre de « La vie de saint Antoine Daveluy » puisque ce Picard, évêque d’Acônes, martyr en Corée en 1866 aux côtés de 103 compagnons fut canonisé le 06 mai 1984 par le pape Jean-Paul II, avant que le pape François ne canonise en 2014 à Séoul 200 autres martyrs pour leur foi. Cet ouvrage, introuvable aujourd’hui, reste criant d’actualité : certes, il détaille la vie de saint Antoine mais il décrit aussi les difficultés d’ouverture de la Corée au monde occidental.
À la suite d’un premier volume visant à montrer en quoi l’évolution des connaissances scientifiques oblige à reconsidérer les fondements anthropologiques de la foi en Dieu, ce deuxième tome tente de préciser ce que l’on peut dire de Jésus-Christ à partir des données historiques, des écrits du Nouveau Testament et de l’enseignement de l’Église. Jésus, dont on connaît en définitive peu de choses, a été « mythifié » au cours des premiers siècles de notre ère, jusqu’à devenir le Christ, Fils unique de Dieu et Sauveur des hommes.
Cet ouvrage survole 10 000 ans d’histoire de cette terre que l’on nomme selon ses croyances Terre Promise ou Terre Sainte. Il veut montrer que les luttes sanglantes existent depuis la nuit des temps et que, préhistoire mise à part, la Palestine a changé 13 fois de carte d’identité.
Pourquoi cet Évangile est-il dit « provençal » ? Parce que, selon Anne-Catherine Emmerich, à partir de l’an 37 de notre Ère, Lazare et ses deux sœurs (Marthe et Marie-Madeleine), ainsi que Sidoine, Saint-Maximin et quelques autres sont effectivement venus évangéliser la Provence. Les trois premiers volumes de ces Récits sur les premiers temps de l’Ère chrétienne sont déjà « centrés » sur tous ceux qui, une dizaine d’années plus tard, se retrouveront en divers lieux de la Provence romaine. Ainsi, c’est seulement lorsqu’il aura atteint puis dépassé l’an 37 de notre ère que cet ouvrage méritera véritablement son titre, qu’il porte encore, pour l’instant, par anticipation.
D’après la tradition, saint Maur (vers 512-584) est né dans une famille patricienne originaire de Rome, son père ayant été sénateur. Saint Maur entra au monastère du Mont-Cassin, dont l’abbé était alors saint Benoît de Nursie, le père du monachisme occidental ».