Dans le premier Volume de L’Évangile provençal, du 5 juin au 5 décembre de l’an 26, nous avons pu, par exemple, assister au Baptême du Seigneur par Jean-le-Baptiste, puis aux quarante jours de Jeûne du Christ, tels qu’Anne-Catherine Emmerich nous les fait revivre. Avec le début de ce second Volume, nous serons assez vite aux Noces de Cana. Et nous suivrons le Seigneur et Ses proches (notamment celles et ceux qui viendront une dizaine d’années plus tard christianiser la Provence), du 6 décembre de l’an 26 au 24 août de l’an 27. En chemin, le lecteur pourra assister à l’émouvante rencontre entre le Seigneur et la Samaritaine, au Puits de Jacob. Et, en fin de volume, nous en arriverons au récit, selon Anne-Catherine Emmerich, de la guérison par le Sauveur de la belle-mère de l’Apôtre Pierre.
Lorsqu’elle parlait de ses Visions aux autres religieuses ou à ses supérieurs, Anne-Catherine Emmerich rencontrait le plus souvent de l’indifférence ou des moqueries ; lassée de cette hostilité, elle a prié Dieu de vouloir bien « lui retirer les Visions ». Alors son guide lui dit : " Tu ne peux pas calculer le nombre de gens qui liront cela un jour, et dont les âmes seront consolées, ranimées et portées au bien. Ce que tu pourras raconter sera mis en œuvre d'une façon suffisante et pourra faire beaucoup de bien dont tu n'as pas l'idée."
Espérons que ce travail de Jacques Atlan à partir de ce que nous ont laissé, sur plus de deux siècles, Anne-Catherine Emmerich, Clemens Brentano et Julien Maufrais, entrera dans la catégorie annoncée à l’ancienne petite bergère allemande : « Ce que tu pourras raconter sera mis en œuvre d’une façon suffisante et pourra faire beaucoup de bien » …
DU MÊME AUTEUR
JACQUES ATLAN