L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Ouied. L’idylle sera brève mais intense…
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L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Oued. L’idylle sera brève mais intense…
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
« Comme mû par un sixième sens, il se tourna brutalement et aperçut la silhouette revêtue d’un ample imperméable sombre ; la tête recouverte d’un casque de moto intégral qui masquait ses traits. Horace sursauta et, subitement, prit peur. Des gouttes de sueur inondèrent son front et il ressentit des picotements désagréables le long de sa colonne vertébrale. Il sut à ce moment précis qu’il allait mourir ! »
Faisant office de jardinier aux fins d’approcher Elen, Nil, le magicien, est furieux que la fillette ait utilisé ses dons pour les êtres humains. Ils doivent lui servir à préparer l’avènement des siens (voir tome V : Le monde du miroir) et non sauver les hommes. Elle est l’enfant miracle qu’ils attendent (voir tome IV : L’enfant miracle). Entreprenant alors de l’éduquer selon les préceptes des Elfes, ce qu’il découvre va le laisser perplexe. L’étendue des pouvoirs d’Elen remet en question sa paternité. Et puis, il y a ce commissaire : Guillaume Delisle dont Nil ignore totalement le changement de nom. Pour lui, il est assurément l’oncle d’Elen.
Lors d’un hiver glacial du dix-neuvième siècle, Camille se retrouve orpheline en compagnie de Claude. Pour ne pas être séparée de son petit frère elle se fait passer pour un garçon. Mais les choses se compliqueront quand, alors qu’ils sont envoyés au bagne des enfants de l’Île du Levant, elle risquera d’être démasquée. Une seule solution : la fuite… Un roman poignant et passionnant dans l’enfer de la colonie agricole du Levant, la honte du Second Empire.
Jean-Jacques Rocca signe ici son onzième roman pour la jeunesse, peut-être le plus émouvant… Poète, romancier, professeur de français récemment retraité, il aime explorer le passé de notre région et utiliser ce cadre pour y faire évoluer ses jeunes héros.
Manhattan, printemps 1956. Matthew Olt meurt écrasé dans un parking souterrain de la ville. L’œuvre d’un chauffard selon la police du 13e precinct, meurtre délibéré selon un SDF qui squatte les lieux et a assisté à la scène, mais qui ne veut pas témoigner. D’ailleurs, avec son pedigree serait-il crédible ? Qui pouvait bien en vouloir à un ingénieur du service municipal des Eaux ?
Tout commence par la découverte du cadavre d’une jeune femme sur une plage au bord de la Méditerranée.
Banal, penserez-vous. C’est un polar ! Sauf que cette femme est nue, que son visage est méconnaissable, qu’aucun papier d’identité, ni aucun indice matériel ne sont retrouvés à proximité. Et que personne ne la connaît.
Nos auteurs, soucieux de s’écarter d’une tendance actuelle, celle orientée vers des récits où le crime le dispute à la perversion, ont, à contre-courant du genre apprécié par certains, pris le parti de l’émotion, de l’amour, de l’amitié et de l’aventure humaine. L’histoire fictionnelle qu’ils proposent à travers cet ouvrage pourrait être la leur, la vôtre, la nôtre.
Madame Bertrand, depuis qu’elle est veuve, se sent bien seule. Aussi occupe-t-elle ses journées à épier ses voisins. Et justement, il se passe de drôles de choses dans son lotissement.
Mendier, chiper, chaparder, vivre de petits larcins, de maraudages ou de grivèleries pour subvenir au quotidien, telle est l'étonnante histoire d'une fillette abandonnée, livrée à elle-même. Michel Parra nous entraîne avec humilité, voire compassion, sur les chemins tortueux et cahoteux de la misère. C'est avec une profonde émotion et une grande sensibilité qu'il nous plonge dans l'univers spirituel de la dévotion, de la béatitude et de la pauvreté.
Écrire pour exister aux yeux des autres. Lui qui avait toujours connu le succès. Lui qui était celui que l’on recherchait, que l’on écoutait, qui était brillant, qui plaisait aux femmes. Lui qui avait été, dans sa jeunesse, celui que l’on désirait dans son équipe de football, que l’on recherchait pour une belote ou simplement que l’on souhaitait pour ami, il était relégué au rang de pestiféré.
Trois personnes unies coûte que coûte, dans la joie ou la tristesse, dans la colère ou la peine. Pour traverser tous les dangers de la mort ou de la vie : « Flammes ou Cent Morts, peu importe, il faudra toujours leur résister ».
Nous n’avons tous que douze ans au moment où notre vie bascule, et la malédiction nous poursuivra jusqu'à notre mort… On nous connaît sous le nom de Cent Morts.
Rita, jeune artiste parisienne, voit sa vie s’effondrer quand elle perd soudain toute capacité à créer. Pour comprendre cette chute vertigineuse, elle entame un voyage en se laissant entraîner vers des lieux aussi différents que Jérusalem, Assise ou Brive-la-Gaillarde. Questionnements, résilience, culture, création artistique, religion, emprise familiale, amour inavouable. Autant de thèmes qui s’entremêlent dans ce roman au goût de voyage initiatique où le cocasse et le mystique se rencontrent. Il frôle volontiers la frontière du surnaturel tout comme celle de la transcendance de l’art.
Qui aurait dit que notre héros n’arriverait pas un jour à devenir l’autre. Celui dont il a toujours rêvé. Alors qu’il suffit parfois d’un rien d’une rencontre, d’un coup d’œil, d’une découverte, ou encore de suivre un film à la télévision et se prendre pour le héros. Quoi de plus agréable que de se laisser aller à rêver parfois même en restant éveillé les yeux grands ouverts. C’est le cas de Maurice Bellot 54 ans, célibataire magasinier au chômage. Il vit avec sa vieille maman. Il n’a jamais réussi grand-chose dans sa vie et a toujours rêvé d’être un autre. L’aventure extraordinaire de notre héros va nous conduire dans des pays lointains. Un univers paradisiaque mais aussi parfois inquiétant. De Paris à Kiev, puis en Roumanie, mais également en Jamaïque et les pays du Maghreb.
L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Ouied. L’idylle sera brève mais intense…