On ne badine pas avec la mort de Patrick BARBUSCIA
Référence: L1728
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Dans les quartiers nord de Marseille, en l’espace de quelques mois, trois personnes meurent en tombant du toit de tois tours d’immeubles. Lorsque le détective Siciliano apprend l’implication de son ami flic Bélandi et son arrestation, il décide de s’emparer de cette affaire en compagnie de ses deux fréres. Dans le déroulé de son enquête, le privé va apprendre que Bélandi partageait les bancs de l’école avec les trois victimes. Mais quel est donc le secret qui unissait cette classe de première? Un architecte connaît le fin mot de l’histoire, mais tout ingénieux qu’il soit, le malin meurt toujours de la main de l’idiot…
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Dans les quartiers nord de Marseille, en l’espace de quelques mois, trois personnes meurent en tombant du toit de tois tours d’immeubles. Lorsque le détective Siciliano apprend l’implication de son ami flic Bélandi et son arrestation, il décide de s’emparer de cette affaire en compagnie de ses deux frères. Dans le déroulé de son enquête, le privé va apprendre que Bélandi partageait les bancs de l’école avec les trois victimes. Mais quel est donc le secret qui unissait cette classe de première? Un architecte connaît le fin mot de l’histoire, mais tout ingénieux qu’il soit, le malin meurt toujours de la main de l’idiot…
Le Trinacrien assemble avec élégance l’humour sicilien et l’intrigue, une manière originale de restituer une intention éthique et sociale habilement camouflé. (« Le trinacrien » est un mot aujourd’hui désuet qui apparaît pour la dernière fois dans le dictionnaire du moyen-âge, il signifie le sicilien.)
Stella s'est tirée sans crier gare. Inconsolable, je décide alors de mettre en train une enquête sur la disparition d’un pasteur dans nos Cévennes méridionales. Je me dis, qu’après tout, des vacances du côté de Bédarieux ne me feront pas de mal. Lorsque j’apprends qu'un pope s’est volatilisé à deux pas de Joncels, je commence à penser que j'aurais mieux fait de rester sagement chez moi à attendre le retour de ma dulcinée. Mais le jour où l’on m’informe que le prêtre de Colombières sur Orb s’est aussi évanoui dans la nature, je finis par en perdre mon latin. Croyez-le ou non, je suis vraiment tombé sur une affaire pas très catholique... pas très orthodoxe… Normal, " dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche". * * Prévert.
Au bout de dix ans de bons et loyaux services, le commissaire Renda décide de quitter la police officielle pour pour mener des enquêtes privées. Dans une Sicile mystérieuse et contrastée, Renda doit résoudre plusieurs intrigues : la disparition d’un vieillard à Erice, celle d’un chat à Porto Empedocle, l’apparition d’un enfant au sanctuaire de Gibilmanna, la chronique d’une mort annoncée à Cefalù, le vol de tableaux dans des églises de Palerme, l’empoisonnement d’un homme à San vito lo capo, une tentative de meurtre à la gare de Termini Imerese et un étrange Père Noël près d’Agrigente. Ces huit nouvelles sont huit clins d’œil, huit sourires à Andréa Camilleri, originaire comme l’auteur de ce recueil, de Porto Empedocle.
Que c’est bien, bleu et beau Monaco ! Qu’il fait bon vieillir à l’ombre du Rocher. Dommage qu’aujourd’hui on y assassine des centenaires. On n’a pas tous les jours 100 ans mais on a chaque jour un géronte qui casse sa pipe. Au cours de son enquête Rocco est fait prisonnier sur un joli rafiot. Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Tout simplement découvrir qu’un jumeau peut en cacher un autre. Franchement quelquefois, il vaut mieux naître seul que mal accompagné.
Mon premier est une fratrie marseillaise qui cherche une mamie sicilienne et trouve un papyrus. Mon deuxième est un philosophe sicilien du Ve siècle Av. J.-C. dont la doctrine physique sur les quatre éléments va fonder sa croyance en la transmigration des âmes. Mon troisième est un cathare anonyme qui en 1209 écrit une lettre posthume codée dans un monastère pas très catholique. Mon quatrième est un ordre secret antique qui va révéler le mystère de la plupart des montres et horloges de notre continent qui arbore le chiffre IIII et non IV. Mon cinquième est une association clandestine et criminelle d'individus sans religion qui n'hésite pas à faire appel à un cardinal pour recourir au meurtre et à l'intimidation.
Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
Été 1994. Une série d’incendies de forêt inexpliqués inquiète la petite station balnéaire de La Londe-les-Maures dans le Var. Peu à peu, la psychose envahit tout le village, et, à l’incompréhension et à l’inquiétude succède vite l’exaspération.
16 années se sont écoulées. « IL » tente de se reconstruire. Alors que son quotidien de baqueux du 9-3 le plonge dans les ténèbres de l’humanité, une découverte inattendue va l’obliger à mener une enquête qui dérange, où la noirceur des âmes ne permet plus de discerner à qui se fier.
Pourtant, toute cette histoire semble bel et bien avoir commencé en l’an 41 après J.-C.
Quand l’envie de justice se retrouve anéantie par la quête du pouvoir absolu, l’impensable devient possible.
Foutaises ! C’est ce que vous diriez si on vous annonçait que les « démons » sont à l’affût et que les adorateurs du dieu Dagon font couler le sang pour hâter son retour du fond des océans. Foutaises ! C’est ce qu’aurait dit le commandant de police Chaval avant son enquête sur le triple meurtre de la rue de Gand à Lille.
Ils veulent faire échouer l’enquête, mais l’Anonyme d’Anvers va s’en mêler. À sa façon... Et ses investigations, en exhumant des vieilles affaires marseillaises liées aux mafias de la drogue et de la ferraille, vont faire remonter d’autres cadavres à la surface.
En province, il est de charmantes bourgades, paisiblement endormies au hasard d’un cours d’eau, qui peuvent parfois receler de terribles secrets, enfouis sous la poussière accumulée au fil du temps. Une petite étincelle, un petit fait parfois d’apparence insignifiante, peuvent faire rejaillir des passés que l’on croyait oubliés et profondément enterrés, des rancœurs que l’on pensait éteintes, de sombres histoires que l’on n’ose même pas murmurer du bout des lèvres dans l’obscurité d’un confessionnal. Quand les secrets ressurgissent, le meurtre deviendrait-il le seul moyen de régler à jamais, quelques comptes en souffrance ? En héritant à Saint-Aubin d’une vieille maison qu’elle voulait restaurer, Nathalie Forest ne savait pas où elle allait mettre les pieds.
Le capitaine de police, Robert Roussin, vient de se faire arrêter pour le meurtre d’un homme, un noir, abattu à bout portant d’une balle entre les deux yeux tirée par son arme de service.
Malgré son aversion pour son collègue, le commandant Vincent Alguazil, toujours affublé de ses inspecteurs : l’astucieux Nicolas Arcane et la dynamique Dany Limier, va devoir écourter ses vacances pour mener l’enquête. Mais cette équipe ne serait pas complète sans la clairvoyance de Chléo Faisceau. Ensemble arriveront-ils à démêler cet écheveau complexe ? Les policiers ont appris à se méfier du capitaine : il leur cache quelque chose, c’est certain ! Pourquoi trimbalait-il son arme de service la nuit ? Connaissait-il la victime ? Est-il l’assassin ? Tout porte à le croire.
On connaissait Michèle Torr pour ses chansons, aux accents de la Provence, dont elle est originaire. Qui mieux qu'elle pouvait faire chanter les produits de son terroir, l'huile d'olive, le thym, le basilic...
Un auteur se suicide. On lui a volé son roman, qui connait le succès signé par un autre. La police se désintéressant du dossier, le détective Georges Amer prend le relais. Il croyait à une affaire facile. Détective revenu de très loin, Georges Amer sera confronté à un jeu de dupes où manipulateurs et manipulés se confondent, où l’on disparait souvent de mort violente.
Venise : la ville d’art par excellence ! Comment s’étonner que tant de richesses accumulées au cours des siècles, dans les palais de cette ville, puissent donne des idées… La découverte de faux tableaux, de parfaite facture, va susciter l’émoi dans es milieux aristocratiques et feutrés de la ville. Mais Venise c’est aussi les brumes humides de novembre, l’odeur entêtante de ses canaux endormis et de l’Acqua Alta. Qui est l’assassin qui sévit sur ses quais à la tombée de la nuit ? Qui donc se cache derrière un masque lors d’un bal costumé, version Casanova, donné dans un palais, pour mieux tuer ?
Elsa est infirmière dans une unité médicale. Robin, son mari, lui, est un médecin affecté aux urgences. Les époux s’adonnent à soigner autrui tandis que leurs horaires antagoniques dérangent leur vie privée. Néanmoins, l’amour qui les unit est manifeste. Cependant, à cause d’une maladie dégénérative contractée par Elsa, l’harmonie du ménage s’en trouvera chamboulée. Une greffe pourrait redresser la santé d’Elsa. Toutefois, une affaire de meurtre, mêlée à l’action du don d’organes, contrariera l’équilibre du couple. S’ensuit la lutte d’un avocat épaulé par un détective privé. Un récit où la culpabilité a des accents distincts. Au vrai, un sujet sensible, documenté, captivant. Un duo d’enquêteurs retors parachève ce polar fuligineux.
Clémence, la belle cinquantaine, brillante, sportive, est victime d’un accident sur la route de Toulon à Saint-Tropez. Elle est grièvement blessée, mais ses jours ne sont pas en danger. Elle meurt pourtant dans des circonstances troublantes durant son transfert à l’hôpital de Toulon. Le capitaine de police Félicien Aubin et ses acolytes habituels sont confrontés à une étrange affaire de sosie au sein d’une secte bien mystérieuse sous la houlette d’un gourou envoutant et prêt à tout pour parvenir à ses fins. Les dernières pages de ce polar, inattendues et tragiques, laisseront le lecteur déboussolé.
« Chers concitoyens, à l'heure où je vous parle, nous sommes parvenus en matière d'insécurité à une situation ingérable. Malgré tous nos efforts, tant en biens d'équipements, qu'en personnels pénitentiaires, qu'en mesures de prévention, notre sécurité à tous n'est plus assurée. La montée de la violence urbaine, que rien n'a pu entraver, nous fait choisir aujourd'hui une solution à laquelle notre Comité d'éthique, élu au suffrage populaire, a donné son plein accord. Nous allons appliquer la peine V.A. Désormais, chacun doit bien être conscient du risque majeur auquel il s'expose en s'é carta nt de nos lois. Je suis certain que cette peine terrible sera suffisamment dissuasive pour rétablir rapidement l'ordre, la sécurité et la paix dans notre pays... »