Au bout de dix ans de bons et loyaux services, le commissaire Renda décide de quitter la police officielle pour pour mener des enquêtes privées. Dans une Sicile mystérieuse et contrastée, Renda doit résoudre plusieurs intrigues : la disparition d’un vieillard à Erice, celle d’un chat à Porto Empedocle, l’apparition d’un enfant au sanctuaire de Gibilmanna, la chronique d’une mort annoncée à Cefalù, le vol de tableaux dans des églises de Palerme, l’empoisonnement d’un homme à San vito lo capo, une tentative de meurtre à la gare de Termini Imerese et un étrange Père Noël près d’Agrigente. Ces huit nouvelles sont huit clins d’œil, huit sourires à Andréa Camilleri, originaire comme l’auteur de ce recueil, de Porto Empedocle.
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Au bout de dix ans de bons et loyaux services, le commissaire Renda décide de quitter la police officielle pour pour mener des enquêtes privées. Dans une Sicile mystérieuse et contrastée, Renda doit résoudre plusieurs intrigues : la disparition d’un vieillard à Erice, celle d’un chat à Porto Empedocle, l’apparition d’un enfant au sanctuaire de Gibilmanna, la chronique d’une mort annoncée à Cefalù, le vol de tableaux dans des églises de Palerme, l’empoisonnement d’un homme à San vito lo capo, une tentative de meurtre à la gare de Termini Imerese et un étrange Père Noël près d’Agrigente. Ces huit nouvelles sont huit clins d’œil, huit sourires à Andréa Camilleri, originaire comme l’auteur de ce recueil, de Porto Empedocle. Des proverbes et des recettes siciliennes parsèment ce livre. L’ alternance du tragique et du comique camoufle habilement la nostalgie qui se terre dans l’âme de chaque trinacrien.
Stella s'est tirée sans crier gare. Inconsolable, je décide alors de mettre en train une enquête sur la disparition d’un pasteur dans nos Cévennes méridionales. Je me dis, qu’après tout, des vacances du côté de Bédarieux ne me feront pas de mal. Lorsque j’apprends qu'un pope s’est volatilisé à deux pas de Joncels, je commence à penser que j'aurais mieux fait de rester sagement chez moi à attendre le retour de ma dulcinée. Mais le jour où l’on m’informe que le prêtre de Colombières sur Orb s’est aussi évanoui dans la nature, je finis par en perdre mon latin. Croyez-le ou non, je suis vraiment tombé sur une affaire pas très catholique... pas très orthodoxe… Normal, " dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche". * * Prévert.
Que c’est bien, bleu et beau Monaco ! Qu’il fait bon vieillir à l’ombre du Rocher. Dommage qu’aujourd’hui on y assassine des centenaires. On n’a pas tous les jours 100 ans mais on a chaque jour un géronte qui casse sa pipe. Au cours de son enquête Rocco est fait prisonnier sur un joli rafiot. Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Tout simplement découvrir qu’un jumeau peut en cacher un autre. Franchement quelquefois, il vaut mieux naître seul que mal accompagné.
Mon premier est une fratrie marseillaise qui cherche une mamie sicilienne et trouve un papyrus. Mon deuxième est un philosophe sicilien du Ve siècle Av. J.-C. dont la doctrine physique sur les quatre éléments va fonder sa croyance en la transmigration des âmes. Mon troisième est un cathare anonyme qui en 1209 écrit une lettre posthume codée dans un monastère pas très catholique. Mon quatrième est un ordre secret antique qui va révéler le mystère de la plupart des montres et horloges de notre continent qui arbore le chiffre IIII et non IV. Mon cinquième est une association clandestine et criminelle d'individus sans religion qui n'hésite pas à faire appel à un cardinal pour recourir au meurtre et à l'intimidation.
Dans la petite station balnéaire de Bandol, un homme est retrouvé mort dans une chambre d’hôtel. Assassiné d’une bien étrange façon. Dans le même temps, une lettre trouvée par hasard dans un tiroir à double fond d’un meuble ancien, révèle un crime commis il y a longtemps dans cette même ville. Ne s’agit-il que d’une coïncidence ? Le lieutenant de police Félicien Aubin mène cette double enquête. Il n’a rien d’un héros. Écorché vif, révolté, sensible à la misère humaine, il est bouleversé par les basculements tragiques de plusieurs vies innocentes à la suite du coup de folie totalement imprévisible d’un être raisonnable.
« Je prenais conscience soudainement que je n’étais rien. Tout ce que j’avais pu faire dans l’entreprise n’avait servi à rien. Je m’y étais consacré avec tant d’entrain, j’avais fait tant d’heures supplémentaires non rétribuées que ce résultat me dégoûtait. J’avais volé tant de quarts d’heure à mes enfants que j’en éprouvais maintenant un vif regret. »
En ce début de troisième millénaire, le fossé entre science et spiritualité se réduit constamment et il n’est plus absurde de penser qu’un jour prochain on puisse établir une possibilité de connexion entre l’homme et une autre dimension. Pour son deuxième roman, Alexis Ferrari se penche sur une exploration à la frontière entre le concret lié à l’actualité et l’irrationnel le plus étonnant. L’œuvre de René Magritte nous incite à nous méfier de nos perceptions et donc à nous demander : Qu’est-ce que la réalité ? Nous suivons l’aventure romanesque de Jeanne et c’est l’occasion pour nous de faire une incursion dans ce domaine. La proposition faite ici consiste à oser s’aventurer vers la découverte de nos autres sens en nous débarrassant des filtres obscurs.
La Voix de l’âme est un témoignage inédit, véhiculant un double message. Il propose une nouvelle vision de la relation père-fille grâce à une dimension empreinte de spiritualité, tout en ébauchant les étapes d’un cheminement vers la confiance en soi et la découverte de son moi profond...
Après une dure journée de travail, Jonas Atlan rangea ses outils de petite menuiserie, jeta un dernier coup d’œil pour voir si tout était en ordre puis ferma son atelier où il entreposait les matelas à garnir de laine.
Jonas était le matelassier-ébéniste de la casbah d’Alger, cumulant ses deux métiers avec un égal bonheur. Tantôt, il remplaçait et aérait la laine, tantôt il changeait la toile, piquait sa grande aiguille recourbée pour réaliser la bordure faite de gros bourrelets, tantôt il recollait le bois d'une chaise ou d'un lit. Son travail toujours impeccable lui valait une belle réputation au sein de la vieille ville, casbah judéo-arabe où il avait ouvert les yeux et qui était fréquentée essentiellement par les descendants des juifs d’Espagne après les inquisitions de 1391 et 1492.
Sur une colline où règne en maître l’œillet symbolisant Nice vivent ici, la fille du maître d’école et là, un besogneux jeune floriculteur au service d’un âpre patron. Si l’un et l’autre éprouvent une même inclination, lui se retient de la lui manifester n’ayant que la misère à offrir. Obstinée la demoiselle, ne supportant pas qu’il soit exploité et logé dans un taudis, parvient à l’arracher à sa déplorable condition, deux cœurs s’unissant alors en un clair logis bordé d’un tapis de pourpres œillets.
Une babacool baroudeuse rasta, fumeuse, à la voix rauque, rencontre en salle d’embarquement à Roissy-CDG une rêveuse, mère de famille bobo, facilement exaltée mais les pieds sur terre… Premier récit de voyage autobiographique de l‘auteur. Première fois en Inde. Mars 2017. J’ai raté mon avion, j’ai raté mon groupe. Vais-je rentrer chez moi ? Un voyage extraordinaire, une aventure belle et émouvante comme vous en rêveriez, entre New Delhi et l’Himalaya avec deux amies venues me rejoindre, en bordure du Népal et du Cachemire.
L’Empire Romain a illuminé le monde méditerranéen. Les Républiques italiennes ont transcendé le commerce en art. Les musiques d’Italie ont enchanté l’Europe.
Qui est cette jeune femme ? D’où vient-elle ? Pourquoi est-elle morte à Cagnes-sur-Mer ? L’enquête démarre sur ces questions, sans pression des médias, ni de la hiérarchie qui classerait bien le dossier. Après tout, il s‘agit d’une inconnue que personne ne réclame ! Il ne reste plus que le travail de fourmi de toute une équipe pour tenter de résoudre cette affaire singulière. Et découvrir une vérité qui laissera le commissaire Dupin insatisfait.
René Caplan renoue avec le profil psychologique de ses personnages et le suspens haletant de ses missions de police secours. Les histoires s’enchaînent. Une affaire de maltraitance sur mineur avec une mère désespérée mais… soupçonnée ! Un père prêt à tout pour obtenir la garde de ses enfants. Des violences conjugales qui aboutissent à une vendetta entre deux clans rivaux. Les règlements de comptes se succèdent. Les hommes de la nuit veillent.