Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
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Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
Stella s'est tirée sans crier gare. Inconsolable, je décide alors de mettre en train une enquête sur la disparition d’un pasteur dans nos Cévennes méridionales. Je me dis, qu’après tout, des vacances du côté de Bédarieux ne me feront pas de mal. Lorsque j’apprends qu'un pope s’est volatilisé à deux pas de Joncels, je commence à penser que j'aurais mieux fait de rester sagement chez moi à attendre le retour de ma dulcinée. Mais le jour où l’on m’informe que le prêtre de Colombières sur Orb s’est aussi évanoui dans la nature, je finis par en perdre mon latin. Croyez-le ou non, je suis vraiment tombé sur une affaire pas très catholique... pas très orthodoxe… Normal, " dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche". * * Prévert.
Au bout de dix ans de bons et loyaux services, le commissaire Renda décide de quitter la police officielle pour pour mener des enquêtes privées. Dans une Sicile mystérieuse et contrastée, Renda doit résoudre plusieurs intrigues : la disparition d’un vieillard à Erice, celle d’un chat à Porto Empedocle, l’apparition d’un enfant au sanctuaire de Gibilmanna, la chronique d’une mort annoncée à Cefalù, le vol de tableaux dans des églises de Palerme, l’empoisonnement d’un homme à San vito lo capo, une tentative de meurtre à la gare de Termini Imerese et un étrange Père Noël près d’Agrigente. Ces huit nouvelles sont huit clins d’œil, huit sourires à Andréa Camilleri, originaire comme l’auteur de ce recueil, de Porto Empedocle.
Que c’est bien, bleu et beau Monaco ! Qu’il fait bon vieillir à l’ombre du Rocher. Dommage qu’aujourd’hui on y assassine des centenaires. On n’a pas tous les jours 100 ans mais on a chaque jour un géronte qui casse sa pipe. Au cours de son enquête Rocco est fait prisonnier sur un joli rafiot. Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Tout simplement découvrir qu’un jumeau peut en cacher un autre. Franchement quelquefois, il vaut mieux naître seul que mal accompagné.
Mon premier est une fratrie marseillaise qui cherche une mamie sicilienne et trouve un papyrus. Mon deuxième est un philosophe sicilien du Ve siècle Av. J.-C. dont la doctrine physique sur les quatre éléments va fonder sa croyance en la transmigration des âmes. Mon troisième est un cathare anonyme qui en 1209 écrit une lettre posthume codée dans un monastère pas très catholique. Mon quatrième est un ordre secret antique qui va révéler le mystère de la plupart des montres et horloges de notre continent qui arbore le chiffre IIII et non IV. Mon cinquième est une association clandestine et criminelle d'individus sans religion qui n'hésite pas à faire appel à un cardinal pour recourir au meurtre et à l'intimidation.
Dans les quartiers nord de Marseille, en l’espace de quelques mois, trois personnes meurent en tombant du toit de tois tours d’immeubles. Lorsque le détective Siciliano apprend l’implication de son ami flic Bélandi et son arrestation, il décide de s’emparer de cette affaire en compagnie de ses deux fréres. Dans le déroulé de son enquête, le privé va apprendre que Bélandi partageait les bancs de l’école avec les trois victimes. Mais quel est donc le secret qui unissait cette classe de première? Un architecte connaît le fin mot de l’histoire, mais tout ingénieux qu’il soit, le malin meurt toujours de la main de l’idiot…
Maguy, lieutenant de police à Paris, mène depuis toujours une existence morne. Professionnellement, elle se sent de plus en plus inutile et transparente. Et sa vie privée n’est pas non plus d’un grand réconfort. En effet, sa liaison avec Patrick bat de l’aile. L’amour, s'il a un jour existé entre eux, les a fuis depuis des années. Toujours très proche de ses parents qui voyaient en elle une enquêtrice émérite, Maguy a pour seul ami Derrick, son labrador. Sa vie bascule lorsque le corps d'une jeune femme est découvert au pied des falaises d'Étretat et que la carte de visite de l’enquêtrice est retrouvée dans les affaires de la victime.
Alors que le suicide de l’un de ses collaborateurs, survenu la semaine précédente, ne fait aucun doute, l’un des avocats les plus médiatisés de Marseille demande aux policiers d’ouvrir une enquête préliminaire et de revoir les conclusions de leurs dernières investigations. Se basant sur une lettre anonyme qu’il a reçue à son domicile, il laisse supposer non seulement que son associé ne s’est pas suicidé, mais aussi qu’il est le prochain sur la liste. Malgré ses réticences, le commandant Vincent Alguazil, secondé par les lieutenants Dany Limier et Nic Arcane, va reprendre l’enquête.
Printemps 2020. Alors que nous sommes tous confinés comme de vulgaires volatiles de basse-cour, un colonel me délivre un laissez-passer pour enquêter sur la disparition de sa fille. Me voilà devenu le seigneur d’un désert marseillais envahi seulement de chats errants, de pigeons idiots et de rats ambitieux.
L’éminent chirurgien esthétique, Kamil Felhabel, est retrouvé mort à son domicile. Dépêchés sur les lieux, le commandant Vincent Alguazil et son équipe enquêtent. D’après les premiers indices relevés la thèse du suicide est la plus probable. Mais quelle n’est pas leur stupéfaction lorsqu’ils découvrent, sur le bureau du praticien, une vieille photo de Chléo Faisceau, la compagne de Vincent ! Les policiers ne sont pas au bout de leur surprise : des squelettes de femmes dans le jardin, une morte et une agonisante au grenier. Le chirurgien était-il tueur en série ou savant fou ? A-t-il réellement mis fin à ses jours ou a-t-on voulu lui faire cesser ses agissements sordides ?
Le suicide était évident. Tout du passé d’Isabelle Freund poussait tant le capitaine Sadelli que le procureur de la République à cette conclusion. Pourtant cette thèse allait être contestée par la famille d’Isabelle, ce qui conduisit à la désignation d’un juge d’instruction. Ainsi le capitaine de police Brou, dit Le Lézard, fut chargé des investigations. Son enquête mit rapidement en lumière le lourd contexte familial, avec un divorce en cours, des violences et du harcèlement. Voilà pourquoi, peu à peu, les différents témoignages, indices récoltés et constatations matérielles mirent en doute la conclusion initiale. Et une autre histoire vit le jour.
René Caplan renoue avec le profil psychologique de ses personnages et le suspens haletant de ses missions de police secours. Les histoires s’enchaînent. Une affaire de maltraitance sur mineur avec une mère désespérée mais… soupçonnée ! Un père prêt à tout pour obtenir la garde de ses enfants. Des violences conjugales qui aboutissent à une vendetta entre deux clans rivaux. Les règlements de comptes se succèdent. Les hommes de la nuit veillent.
Une résidente de maison de retraite confie avoir égaré des lingots. Ses propos déclenchent aussitôt une chasse au trésor mortelle dans cette préfecture aux confins du Velay et de l’Ardèche. Pour élucider l’énigme, le commissaire Jonas Malbec et la journaliste Claire Chenin font une incursion dans le milieu du grand banditisme à Lyon et finissent par découvrir une des clés du mystère dans la collégiale Saint-Paul, à Hyères dans le Var. Polar aux intrigues haletantes et à l’humour décalé, Le Bonjour d’Aloïs délivre un message empathique aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et à ceux qui les accompagnent ; il rend hommage à la « terre de Justes » que fut le plateau cévenol pendant l’occupation nazie.
Le cadavre mutilé d’une jeune femme, repêché dans les eaux verdâtres d’un petit canal de Venise, sera le prélude à une série de meurtres qui s’abattra sur le paisible quartier de San Marco. Au milieu des brumes et des frimas de mars, le commissaire Matarone et son équipe devront faire appel à toute leur énergie et leur perspicacité pour tenter de résoudre cette sombre affaire. Après un parcours professionnel dans le monde de la finance et la publication d’ouvrages sur la gestion de fortune, une incursion dans le monde de la BD au travers de scénarios, Robert AUDIFFREN se consacre désormais au thriller et au roman policier.
Ce 20 avril 1961, jour du putsch d’Alger, Paul Gébert boucle ses valises à l’Akwa-Palace de Douala au Cameroun. A quelques heures de l’embarquement pour Paris, ce compagnon de la Libération et riche colon est découvert sans vie sur son lit d’hôtel. Officiellement, il s’est suicidé. Sa femme n’y croit pas et décide, malgré la loi du silence, de rechercher la vérité. L’intrigue de ce récit romancé au cœur de la Françafrique s’appuie sur des personnages et des faits réels.
Un homme égorgé dans les toilettes du TGV Nice-Paris. Une polémique qui défraye la chronique en Provence : la ligne à grande vitesse doit traverser le beau pays varois et, pour certains, dénaturer ses paysages typiques. Un gros bonnet de la mafia russe qui tire d’étranges ficelles. Un tueur en série qui n’en est peut-être pas vraiment un. Enquête difficile pour le capitaine Félicien Aubin et ses adjoints de la PJ toulonnaise, marqués par un terrible drame lors d’une affaire précédente. Dans ce 5e opus de la série, on retrouve les personnages familiers, attachants. Ils évoluent dans des lieux bien réels (la côte varoise et l’arrière-pays) et dans un contexte sociétal d’actualité (le projet de ligne à grande vitesse entre Marseille et Nice).
Régis Fabre, artiste peintre, est retrouvé mort au pied d’une chapelle. Le commandant Michel Grand et la capitaine Caroline Andréani sont chargés de l’enquête. Les investigations les mènent sur les traces d’un gang de voleurs de cloches, qui sévit dans les églises du Var.