Le cadavre mutilé d’une jeune femme, repêché dans les eaux verdâtres d’un petit canal de Venise, sera le prélude à une série de meurtres qui s’abattra sur le paisible quartier de San Marco. Au milieu des brumes et des frimas de mars, le commissaire Matarone et son équipe devront faire appel à toute leur énergie et leur perspicacité pour tenter de résoudre cette sombre affaire. Après un parcours professionnel dans le monde de la finance et la publication d’ouvrages sur la gestion de fortune, une incursion dans le monde de la BD au travers de scénarios, Robert AUDIFFREN se consacre désormais au thriller et au roman policier.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Le cadavre mutilé d’une jeune femme, repêché dans les eaux verdâtres d’un petit canal de Venise, sera le prélude à une série de meurtres qui s’abattra sur le paisible quartier de San Marco. Au milieu des brumes et des frimas de mars, le commissaire Matarone et son équipe devront faire appel à toute leur énergie et leur perspicacité pour tenter de résoudre cette sombre affaire. Après un parcours professionnel dans le monde de la finance et la publication d’ouvrages sur la gestion de fortune, une incursion dans le monde de la BD au travers de scénarios, Robert AUDIFFREN se consacre désormais au thriller et au roman policier.
Julien Martini, nouvellement nommé à la police de Carcassonne, est appelé à résoudre une enquête sur une série de meurtres liés à la construction d’une route traversant le pays cathare.
Les travaux du chantier mettent en évidence les restes du squelette d’un homme assassiné plusieurs centaines d’années plus tôt.
Valérie Konzielaski, membre de l’Institut d’Archéologie Préventive va travailler sur ce meurtre et découvrir que son enquête rejoint celle du capitaine Martini.
Le policier et l’archéologue devront coopérer pour résoudre ces deux affaires quand ils comprendront qu’elles ont le même mobile : « la réincarnation des Cathares exécutés dans l’Ariège, à Montségur le 16 mars 1244 ».
China Sulawezi. Âge estimé : entre 25 et 30 ans. Origine : inconnue. Ex-enfant-soldat d’une guerre oubliée d’Afrique, elle recherche son père en France avec un seul indice : une vidéo clandestine datant de la révolution libyenne. Mais elle ignore que cet homme est l’un des plus grands marchands d’armes de la planète et que cette vidéo met sa vie en danger. Car un arsenal terrifiant dort toujours là-bas, dans le désert. Des armes que trop de gens convoitent…
Commandant de police à la PJ, la vie est belle pour Max. À un mois d’une retraite bien méritée, alors qu’il est en train de déjeuner sur la digue du petit port de Saint-Elme, face aux Deux-Frères, deux coups de feu très rapprochés déchirent le silence de sa contemplation méditative. Devant lui, la vision effroyable d’un corps jeté à l’eau, par-dessus le bastingage d’une vedette qui prend aussitôt la fuite, transforme ce petit coin de paradis qu’il aime tant en enfer.
Alors que le suicide de l’un de ses collaborateurs, survenu la semaine précédente, ne fait aucun doute, l’un des avocats les plus médiatisés de Marseille demande aux policiers d’ouvrir une enquête préliminaire et de revoir les conclusions de leurs dernières investigations. Se basant sur une lettre anonyme qu’il a reçue à son domicile, il laisse supposer non seulement que son associé ne s’est pas suicidé, mais aussi qu’il est le prochain sur la liste. Malgré ses réticences, le commandant Vincent Alguazil, secondé par les lieutenants Dany Limier et Nic Arcane, va reprendre l’enquête.
Dans le précédent opus, le commandant Archibald était sur le point d'épouser Angèle, dans une commune varoise. Une seule invitée manquait à l'appel : Judith, sa fille unique.
Alors que tous l'attendaient sur le parvis de la mairie, le policier se voit remettre une enveloppe contenant une photo de l'adolescente séquestrée et une énigmatique lettre de Scrabble.
Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.
Dans le vieux village de Saint-Laurent-du-Var assoupi au lendemain de la fête du livre, la découverte d’un cadavre résonne lugubrement. Kevin a été égorgé et émasculé. Rien dans sa vie ou son entourage ne laissait présager cette fin atroce. L’énigme n’est pas facile à résoudre. Le commissaire Dupin et son équipe lèveront finalement le voile sur un drame ancien que l’on croyait oublié et qui ressurgit dans des conditions particulièrement horribles.
Qui est cette jeune femme ? D’où vient-elle ? Pourquoi est-elle morte à Cagnes-sur-Mer ? L’enquête démarre sur ces questions, sans pression des médias, ni de la hiérarchie qui classerait bien le dossier. Après tout, il s‘agit d’une inconnue que personne ne réclame ! Il ne reste plus que le travail de fourmi de toute une équipe pour tenter de résoudre cette affaire singulière. Et découvrir une vérité qui laissera le commissaire Dupin insatisfait.
Pour remercier Benjamin Lecomte d’avoir élucidé l’assassinat de son neveu, un magnat de l’industrie pétrolière propose au policier de quintupler son traitement mensuel s’il consent à quitter ses fonctions pour devenir le garde du corps de Léa, sa jeune femme. En acceptant cette offre, Benjamin Lecomte deviendra l’amant de la belle Léa avant d’être l’objet d’une machination diaboliquement combinée pour l’entraîner à sa perte. Incarcéré dans une prison camerounaise, il recevra dans sa cellule la visite d’une étrange créature. S’il la refuse, le commandant de police devra se lancer ès qualités à la poursuite des ravisseurs de Léa.
Depuis des siècles, les rixes entre dévorants et gavots, membres d’associations compagnonniques rivales, ensanglantent le pays. Un matin de septembre 1854, La Ferveur, dignitaire dévorant, est retrouvé par l’impératrice empalé sur le pique-cierge de l’église de Vic, en Berry. Le représentant des gavots, Agricol Perdiguier, n’a que quelques jours pour éviter une sévère répression de l’Empire en prouvant que le meurtre n’est pas la conséquence de cette adversité. Le charisme de son amie George Sand, la science de Gustave Flaubert, le génie de Delacroix, alliés à la sagesse traditionnelle du compagnon, ne seront pas de trop pour résoudre l’enquête et sauver le peuple de la tyrannie.
16 années se sont écoulées. « IL » tente de se reconstruire. Alors que son quotidien de baqueux du 9-3 le plonge dans les ténèbres de l’humanité, une découverte inattendue va l’obliger à mener une enquête qui dérange, où la noirceur des âmes ne permet plus de discerner à qui se fier.
Pourtant, toute cette histoire semble bel et bien avoir commencé en l’an 41 après J.-C.
Quand l’envie de justice se retrouve anéantie par la quête du pouvoir absolu, l’impensable devient possible.
Pendant que la bande à Bonnot sème la terreur sur la capitale en ce début d’année 1912, des corps d’enfants mutilés, semi-enterrés, sont découverts, alors que des adolescents sont portés disparus dans un orphelinat.
Le cadavre mutilé d’une jeune femme, repêché dans les eaux verdâtres d’un petit canal de Venise, sera le prélude à une série de meurtres qui s’abattra sur le paisible quartier de San Marco. Au milieu des brumes et des frimas de mars, le commissaire Matarone et son équipe devront faire appel à toute leur énergie et leur perspicacité pour tenter de résoudre cette sombre affaire. Après un parcours professionnel dans le monde de la finance et la publication d’ouvrages sur la gestion de fortune, une incursion dans le monde de la BD au travers de scénarios, Robert AUDIFFREN se consacre désormais au thriller et au roman policier.