Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible.
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Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible. Dans les deux cas, la lecture de « L'âme à la trace » peut lui inspirer une confiance inédite en l'ordre des choses, tirée de la conclusion presque rationnelle que ce qui est prêté de plus élevé aux fugaces mortels a toutes les chances de leur survivre, aussi longtemps que le temps conservera une matérialité à l'Univers. Les sinistres dérives de la condition humaine engagent plus que jamais à méditer sur la place de l'intelligence dans l'ordre des choses. Ce livre se propose d'y aider en une circonstance où la disponibilité mentale est la meilleure : l'été.
« Pourquoi crier les mensonges et chuchoter les vérités ? » Cette citation de l’écrivain québécois Daniel Desbiens « colle » parfaitement avec : « À l’ombre de l’Histoire ». En effet, l’auteur, Pierre Lantier, grâce à un travail de recherches faramineux revient sur les faits historiques mondiaux sujets à controverse. Chaque événement relaté s’appuie sur des sources fiables, libre au lecteur par la suite de se forger une opinion ou de faire évoluer ses croyances initiales.
Il y a 500 ans, à l’automne 1513, Machiavel entreprenait la rédaction de son ouvrage le plus célèbre, Le Prince, encore édité de nos jours. Replaçant cet « opuscule » dans l’ensemble de la production littéraire du secrétaire florentin, l’auteur reconstitue un puzzle qui révèle, loin de son image traditionnelle, une œuvre militante au service de la République. Après avoir démasqué le « machiavélisme » des détracteurs du penseur italien, l’auteur nous présente la modernité de ce dernier, et souline les enseignements qui peuvent aujourd’hui encore, trouver un écho dans nos démocraties en crise.
L’archet… c’est une portion de temps, une portion d’espace, une portion d’esprit. L’archet est le segment visible d’une musique qui se poursuit vers l’infini. Il pourrait s’apparenter à une règle, que je prends comme outil pour tracer la portée… ces cinq lignes qui n’ont de limites que celles de la page qui les retient. En réalité, comme les notes que l’on y dépose, ces cinq lignes se prolongent beaucoup plus loin. Car la musique ne s’arrête ni au bout d’une ligne, ni au bout des crins de l’archet qui les fait naître.
Véronique Mas, pilote de ligne, philosophe, poète et musicienne, garde les pieds sur le sol de sa Provence natale et l’esprit résolument tourné vers le ciel.
« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ?
Dans la troisième de ses Méditations métaphysiques, Descartes, à partir de la présence, en notre esprit fini et imparfait, de l’idée d’un être Infini et Parfait, soutenait que cet être Infini et Parfait est obligatoirement la cause, en nous, de la présence de cette idée du Parfait. Malebranche a repris cela en disant que « la preuve de l’existence de Dieu la plus belle, la plus relevée, la plus solide…, c’est l’idée que nous avons de l’infini ». Cette remontée argumentée depuis le fini vers l’Infini, Jérémie Bocchi s’y essaie à son tour dans ce dialogue entre un promeneur qui se dit athée et un berger ami des philosophes.
Sur l’infinitude d’un temps où s’allient la sagesse du passé et l’allant du futur, la « Passion » paraît être chantée tout au long des chapitres. Loin d’être une cause d’asservissement comme le considéraient les stoïciens, elle devient le moteur d’une force irremplaçable : source d’inspiration pour l’artiste, de motivation pour le chercheur, énergie du travail, outil de l’édification, la passion est pour l’Homme cette flamme qui transforme le rêve en une volonté inlassable capable de changer le cours de l’histoire, le sens de l’avenir.
Avec une philosophie où se mêlent poésie et spiritualité, cet ouvrage s’attache à éclairer toujours le côté le plus gai de l’astre qu’est notre vie.
Maminou vous confie ses petits trucs glanés au fil de jours.
Un pêle-mêle d’astuces que votre grand-mère n’a pu vous conter faute de temps, et manque d’écoute, la vie trépidante actuelle en est pour beaucoup la cause.
Détendez-vous, lisez, économisez un peu d’argent, par des trucs simples, respirez et vivez au rythme d’antan, le temps d’une lecture.
Nous le voyons bien : c’est le temps des tornades et des ouragans, de l’envahissement de plusieurs contrées par les eaux ; c’est le temps des avertissements. Aurons-nous su réagir avant que ne survienne, à son tour, le temps des grands tremblements de terre et des énormes tsunamis qui en résulteront ?
Après Un Tombeau pour Jean-Paul Sartre paru en janvier 2015 et Scènes de la vie de Spinoza, parut en mai 2015, voici, un nouvel ouvrage dans la Collection « Histoire des Philosophes par le théâtre » : RENÉ DESCARTES, Tribulations d’un cavalier français Le lecteur découvrira les relations amicales entre Descartes et la Princesse Élisabeth de Bohême, les relations orageuses entre Descartes et le mathématicien Roberval ; il assistera, à Paris, en 1647, à un entretien plein d’estime entre Descartes et Pascal, puis à une rencontre, sur fond de désaccord philosophique profond, entre Descartes et Hobbes.
Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
La Provence éternelle, celle des oliviers et des cigales qui ponctuent de leur chant les savoureuses répliques des personnages de Marcel Pagnol, existe toujours. Pour la découvrir, il suffit d'aller se promener sur un terrain de boules, dans l'ombre fraîche d'un platane centenaire et d'écouter quelques anciens parler. La chine, art ancien qui consiste à mettre au bon moment quelques gouttes d'huile (d'olive) sur le feu de la discussion, y règne toujours aux côtés de la galéjade, de la vantardise bon enfant et des réflexions frappées au coin du bon sens. Jean-Michel Barra nous décrit, au fil de portraits plein d'humour, ce petit monde qui perpétue chaque après-midi la gaîté et l'art du vivre ensemble.
Dans ce deuxième ouvrage, l'auteur nous invite à découvrir son guide pratique « antivol ». Fort de 25 ans d'expérience dans la police, il met à notre disposition une véritable mine d'informations, de conseils et d'astuces simples, qui permettront au plus grand nombre de se protéger efficacement à l'avenir.
Cet antivol de papier, parsemé de traits d'humour, deviendra vite incontournable dans un domaine où nous avons tous besoin d'être rassurés. En l'adoptant, le lecteur fera un grand pas vers la tranquillité et quittera son carcan de victime potentielle en devenant le garant de sa propre sécurité. Ainsi, un mot d'ordre nous rassemblera désormais :
« Protégeons-nous ! »
Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible.