Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible.
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Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible. Dans les deux cas, la lecture de « L'âme à la trace » peut lui inspirer une confiance inédite en l'ordre des choses, tirée de la conclusion presque rationnelle que ce qui est prêté de plus élevé aux fugaces mortels a toutes les chances de leur survivre, aussi longtemps que le temps conservera une matérialité à l'Univers. Les sinistres dérives de la condition humaine engagent plus que jamais à méditer sur la place de l'intelligence dans l'ordre des choses. Ce livre se propose d'y aider en une circonstance où la disponibilité mentale est la meilleure : l'été.
Ce magnifique cadeau qu’est l’existence n’est pas donné, il n’est prêté que pour un temps. Une situation insupportable pour l’être pensant qui cherche depuis l’apparition de ses premiers représentants à percer les arcanes de la mort et à lui imaginer une suite. Les religions sont, pour une grande part, probablement nées pour tenter d'éclairer ce mystère. La vie ; ses origines ; sa stupéfiante diversité ; son corollaire qu’est la conscience sont-ils les fruits d’un dessein ou d’une intelligence qui nous dépasse ? Le divin, mais aussi la raison proposent des réponses à ces énigmes qui, jusqu’à preuve établie, demeurent au stade des hypothèses. Autant de sujets sensibles que l’auteur aborde avec une fausse naïveté et un rien d’humour bienvenu sur un terrain aussi délicat.
Démocrite, dont le visage ci-contre a été imaginé par Rubens d’après des documents antiques, meurt en octobre de l’an 370 avant notre ère, à l’âge de 103 ans. Lorsque, à l’Académie, on apprend la mort du philosophe, loin de vouloir le célébrer, Platon s’emporte contre la doctrine de Démocrite. Il veut même faire acheter tous les exemplaires disponibles de ses cinquante-deux livres et les faire détruire. Les pythagoriciens Amycias et Clinias l’en dissuaderont. Vingt siècles plus tard, la science européenne rendra hommage avec admiration aux géniales anticipations de la théorie des atomes de Démocrite.
L’autiste qui habite l’Autistan est compliqué à joindre. Il ne veut pas encombrer la société à laquelle il pense ne pas appartenir, dans laquelle il ne se reconnaît pas, où pourtant il aurait sa place, même s’il ne correspond pas à la normalité tracée. Chacun de nous est unique. Le plus important c’est de pouvoir vivre en harmonie avec nos différences respectives.
« Pourquoi crier les mensonges et chuchoter les vérités ? » Cette citation de l’écrivain québécois Daniel Desbiens « colle » parfaitement avec : « À l’ombre de l’Histoire ». En effet, l’auteur, Pierre Lantier, grâce à un travail de recherches faramineux revient sur les faits historiques mondiaux sujets à controverse. Chaque événement relaté s’appuie sur des sources fiables, libre au lecteur par la suite de se forger une opinion ou de faire évoluer ses croyances initiales.
« Il est des êtres qui contemplent le ciel comme s’ils faisaient une promesse continuelle et inviolable, imperméable à toutes les monstruosités humaines, celle de poursuivre le chemin vers plus d’humanité et d’amour, ne baissant jamais les bras, bien que parfois se sentant si lourds d’objectivité et de clairvoyance sur les affres planétaires des mondes mutants et tous les effondrements de l’âme humaine ou les tentatives d’anéantissement. »
De quoi cette comédie un peu loufoque se moque-t-elle ? Elle fait la satire d’un usage caricatural de la dialectique marxiste et du schéma de Hegel « Thèse, Antithèse, Synthèse » ; cet usage caricatural avait lieu dans l’ex URSS, et dans tous les pays et les partis où l’on glorifiait le stalinisme.
Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
Rien n’est plus agréable que d’écrire un ouvrage avec ses souvenirs. En ajoutant les mots les uns après les autres, ces mots que nous utilisons à longueur de journée, je les appelle les mots passants. Tous ces mots font partie de notre vie. Ils risquent parfois de faire mal, la vérité est-elle toujours bonne à dire ? Mais celui qui a un message à transmettre, c’est dans la pierre qu’il doit le graver car les mots s’envolent et seuls les écrits restent. Certains poètes ont mis leurs vers en chansons, Trenet, Brassens, Brel, Ferré, Gainsbourg, Aznavour et c’est heureux, leurs chansons courent encore dans les rues...
« La File d’attente », titre énigmatique pour certains, approprié pour d’autres. Comment rester impassible face aux souvenirs, aux interrogations et surtout aux « coups de gueule » de l’auteur ? Un ouvrage qu’il faut parfois lire au deuxième degré mais aussi avec jubilation, tant il interpelle sur de nombreux sujets en laissant la porte ouverte aux réactions de chacun, à l’échange et à la communication. Nous n’en dévoilerons pas plus et vous laissons vous faire votre propre opinion… « C’était hier l’automne… »
Maminou vous confie ses petits trucs glanés au fil de jours.
Un pêle-mêle d’astuces que votre grand-mère n’a pu vous conter faute de temps, et manque d’écoute, la vie trépidante actuelle en est pour beaucoup la cause.
Détendez-vous, lisez, économisez un peu d’argent, par des trucs simples, respirez et vivez au rythme d’antan, le temps d’une lecture.