L’ÉCOLE DE SANTÉ NAVALE DE BORDEAUX OU L’ŒUVRE MÉCONNUE de Yves LE QUEREC
Référence: L1498
12,00 €
TTC
L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.
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L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.
Jean Jaurès à Nîmes et dans le Gard En un temps où radio et télévision n’existaient pas encore pour relayer ses idées, Jaurès est venu à quatre reprises dans le Gard : en novembre 1894 pour parrainer la fondation de la Fédération du Gard, le 12 juillet 1903 et le 1er septembre 1912 pour des meetings dans les Arènes de Nîmes et, entre temps, un séjour prolongé en février 1910 pour le VIIe Congrès de la SFIO et le débat sur la création des retraites. Cet ouvrage évoque ses séjours et analyse ses six discours à Nîmes et à Alès, rassemblés en confrontant les retranscriptions de la presse. Il complète un article de l’auteur dans les Cahiers Jaurès en 2007. 190 pages avec une soixantaine de photographies pour restituer cette “Belle époque”.
C’est en travaillant au thème de l’eau sur le territoire du Tholonet que Philippe F. Bernascolle découvre dans Le Mémorial d’Aix, les articles de Paulin Cheilan relatant l’histoire mouvementée de ce petit village de Provence. S’étendant de la préhistoire aux temps modernes ils fourmillent d’informations précieuses et souvent inédites. Au delà de ce qui ne fut à l’origine qu’un octroi sur la voie aurélienne, dont sans doute il a tiré son nom, Teloneum désignait le bureau de perception, c’est toute l’histoire de la Provence que nous sommes invités à parcourir. Nous y pénétrons par la célèbre Route Cézanne, véritable lien culturel et longtemps économique entre Aix et Sainte Victoire et sur laquelle se trouve le village du Tholonet dont Paulin Cheilan disait « qu’il lui devait la vie ».
Dans la série de Napoléon jour après jour, il y a eu l’Ascension de Bonaparte, puis le Consulat et ensuite l’Empire. Ce cinquième livre est la troisième partie de l’Empire, celle où l’étoile de l’Empereur semble ne plus briller. Cela commence bien, par l’accouchement de Marie-Louise, la naissance du roi de Rome au ravissement de tous les Français, Napoléon a enfin une descendance. Puis arrive la terrible campagne de Russie où l’on va voir la bataille de la Moskova, le stationnement dans Moscou et son incendie qui va obliger Napoléon de quitter cette ville avec ses troupes. Et enfin l’affreuse retraite. Cette retraite qui va décimer presque toute la Grande Armée. Beaucoup de soldats seront tués dans des combats mais la plupart mourront de froid ou encore de la faim.
Haut technicien du bâtiment, l’auteur passe quarante-cinq années en Afrique noire. À son retour en France en 1999, il a soixante-quinze ans. Passionné d’histoire, il s’intéresse particulièrement aux causes controversées ou injustes. Il fait la connaissance d’Anne de France, la fille aînée de Louis XI, au hasard de ses lectures. Fasciné par cette femme en tout point exceptionnelle, adulée par son peuple et oubliée par l’Histoire, il entreprend de longues et minutieuses études sur sa vie, sa personnalité, son action, son impact de l’époque.
1848 : L’histoire a retenu cette année, où les peuples de nombreux pays européens renversèrent les monarchies en place, sous le nom de « Printemps des peuples ».
Comme bien d’autres, le désastre de 1870 et l’occupation allemande ont forcé à l’exil la famille Stoesser – Rudolphe, Elisabeth et leur fille Annelise -, originaire de Mulhouse en Alsace. Comme bien d’autres, après la déception de l’accueil en France, elle s’est tournée vers les colonies et un nouveau destin. Pour certains ce fut l’Algérie, les Stoesser ont choisi Porto-Novo où tout était à construire. C’est leur histoire que raconte Pierre Dufour dans cette saga qui s’étend sur dix ans, de 1882 à 1892.
Pour les historiens d'aujourd'hui, l'histoire de l'Algérie débute en 1830. Que s’était-il passé précédemment ? La propagande laisse penser que la vie sur la côte des Barbaresques avant l'arrivée des Français était plus heureuse, alors que le pays était sous le joug de deux colonialismes en même temps, arabe depuis onze siècles et ottoman depuis trois cent quinze ans.
Les Dames de Saint-Maur se sont installées à Toulon en 1686, lorsque Monseigneur de Chalucet, Evêque du diocèse, a sollicité leur aide pour éduquer les jeunes filles de notre cité, à une époque où l’éducation publique faisait défaut. Elles accomplirent leur mission pendant près de deux siècles et demi dans différents établissements toulonnais. C’est en 1842 qu’elles s’installèrent au quartier de Valbourdin, dans une grande propriété alors dénommée le « champ clos » où un internat et un externat fonctionnèrent jusqu’en 1906. Les Dames de Saint-Maur ont participé à la vie de Toulon, marquant de leurs empreintes l’histoire locale, en menant des actions auprès des enfants et des adolescentes, puis après la première guerre mondiale, au service des personnes âgées.
Avec le brio exceptionnel qu’on lui connaît, Liddell Hart, le père de la Stratégie indirecte mondialement connu, dresse dans cet ouvrage « RÉPUTATIONS » paru en 1931, un tableau saisissant des personnalités des principaux chefs de guerre de la Première guerre mondiale. Officier et historien de talent, il a scruté les mobiles de leurs actions, n'a pas caché leurs fautes et leurs défauts, n'a pas caché non plus leurs qualités et leurs valeurs. Dans leur succès comme dans leurs revers il a montré la part du hasard, de l'ignorance et de la sottise aussi bien que la part de leur volonté et de leur clairvoyance. Cet ouvrage de Liddell Hart, moins connu que d’autres, méritait pleinement une réédition pour ceux qui veulent approcher le Premier conflit mondial sans faux fuyants.
C’est avec un intérêt passionné, traversé d’intrigues, d’allégresse et de désespoir, que l’auteur tisse une histoire tumultueuse et toute brûlante d’amour avec les tragiques évènements de Toulon pendant la Terreur, en y mêlant scrupuleusement les références authentiques, les personnages et les lieux dits.
Cette réédition de « La vie de Monseigneur Antoine Daveluy », écrite par Charles Salmon en 1883, paraît aujourd’hui sous le titre de « La vie de saint Antoine Daveluy » puisque ce Picard, évêque d’Acônes, martyr en Corée en 1866 aux côtés de 103 compagnons fut canonisé le 06 mai 1984 par le pape Jean-Paul II, avant que le pape François ne canonise en 2014 à Séoul 200 autres martyrs pour leur foi. Cet ouvrage, introuvable aujourd’hui, reste criant d’actualité : certes, il détaille la vie de saint Antoine mais il décrit aussi les difficultés d’ouverture de la Corée au monde occidental.
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.