L’ÉCOLE DE SANTÉ NAVALE DE BORDEAUX OU L’ŒUVRE MÉCONNUE de Yves LE QUEREC
Référence: L1498
12,00 €
TTC
L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.
Le 1er août 1798, un funeste évènement à caractère naval devait donner un sévère avertissement au fougueux Bonaparte, jeune général, parti à la conquête de l’Égypte (bataille d’Aboukir). Il se trouvait grand responsable des affaires militaires terrestres. Le sommet des pyramides a entendu le fameux «Quarante siècles vous contemplent » s’adressant aux braves fantassins des sables. La formule est adroite, claire, envahissante jusqu’à troubler l’esprit du soldat de base et bien d’autres.
Ninon de la Rescadière traverse une période trouble de l’histoire de France en 1789 du côté de Toulon en bousculant les usages de son milieu, affirmant et revendiquant haut et fort sa liberté de pensée et d’action. Elle oblige ceux qui veulent la suivre à se surpasser, à sortir des sentiers battus pour exister. Une femme de tête et d’esprit qui ressemble étrangement à l’auteur.
Un don précieux de documents concernant la Première Guerre mondiale, auquel vinrent s’ajouter de nombreux prêts, informations publiques et de nombreuses recherches personnelles, ont permis à l’auteur de pouvoir, à quelques mois du centenaire du début de ce terrible conflit, en faire le point à son niveau.
Ce livre comporte un très grand nombre d’illustrations d’artistes peintres de cette époque, des photos inédites de grands sportifs comme Georges Carpentier, champion du Monde de boxe et pilote d’aviation, ainsi que de héros plus connus comme les aviateurs Georges Guynemer et Roland Garros, décédés tous les deux au combat.
Marie-Rose Nonchez-Garcia est née à Oran. Elle a quitté sa ville dans la débâcle le lendemain de ses vingt ans. Elle retrace, dans ce livre, la vie de sa mère, réfugiée espagnole qui elle aussi dut quitter son pays, dans la débâcle, le 12 mars 1936.
Pour notre plaisir, l’auteur nous fait partager sa passion et ses connaissances sur la capitale des Gaules. Il y réussit fort bien grâce à une écriture aisée, savante quand il le faut, mais jamais avec excès, parfois primesautière dans le meilleur sens du terme et toujours adaptée aux sujets traités. Ceux-ci se révèlent d’une grande variété : tranches d’Histoire ou anecdotes marquantes, portraits de hautes figures lyonnaises se dévouant au service de leurs semblables. Puisant aux meilleures sources historiques et archivistiques, en les confrontant au besoin, ce récit alerte, enrichi de notes et d’encadrés mettant certains faits en perspective de l’Histoire de France, nous fait découvrir des aspects inédits sur la Ville et sur quelques-uns de ses citoyens.
Montségur, mars 1244. Durant la nuit précédant le massacre, trois parfaits s’échappent de la citadelle perchée sur son nid d’aigle, « la synagogue de Satan » comme l’appelait le pape. Leur mission : porter à Byzance, l’ennemie de Rome, trois livres qui, rassemblés, permettraient de retrouver la cachette du trésor des cathares et des textes sacrés embarrassants pour l’Église catholique. Trois cents ans plus tard, François de Malesterre entre fortuitement en possession de l’un de ces livres. Que sont devenus les deux autres ? Pour résoudre cette énigme et par dépit amoureux, François, assisté de deux compagnons, essaiera de remonter la piste des fugitifs pour retrouver ces manuscrits qui semblent n’être jamais parvenus à leur destinataire.
Que ces quelques anecdotes parsemant une chronologie parfois rébarbative, aient le bonheur d’intéresser nos enfants. Qu’ils comprennent que leurs racines, leur identité se trouvent dans ce roman fleuve légué par nos Aïeux.
Alexandre (Sándor) Kisfaludy est un jeune aristocrate hongrois, lieutenant de la Garde impériale à Vienne. À la suite d’une intrigue amoureuse qui tourne mal, il est muté à Milan, puis fait prisonnier par Bonaparte et l’Armée d’Italie. Il est déporté avec d’autres officiers dans une petite ville de Provence, Draguignan.
Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.
Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.
Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.
Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.
Un papillon au pays des cigales. Comment un jeune officier de marine promis à un grand avenir, amateur de jolies filles, joueur de poker invétéré, passionné de chevaux et d’escrime, loup solitaire dans une société dont il n’acceptera jamais les codes, fini par commettre l’irréparable.
“Une famille de 1660 à nos jours” est le cinquième ouvrage de Bernard Gaudin. Après son journal de marche sur la guerre d’Indochine, le secours en mer, un roman d’espionnage et une chronique sur la drogue, voici l’histoire d’une partie de sa famille et de ce village qui a bercé son enfance. Il est le petit-fils de Clément Louis Alexis Combet Septième du nom. Connaître ses origines en remontant le temps est un exercice plaisant qui permet de rencontrer nos anciens et de découvrir ce qu’ils ont été. Parler de la famille c’est aussi l’occasion de rappeler les valeurs qu’elle représente.
Le Donator ? Nombre de plongeurs connaissent bien cette épave dans l’est de Porquerolles. Ce que l’on ne sait pas, c’est le mystère entourant une partie de sa cargaison...
L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.