Les Dames de Saint-Maur se sont installées à Toulon en 1686, lorsque Monseigneur de Chalucet, Evêque du diocèse, a sollicité leur aide pour éduquer les jeunes filles de notre cité, à une époque où l’éducation publique faisait défaut. Elles accomplirent leur mission pendant près de deux siècles et demi dans différents établissements toulonnais. C’est en 1842 qu’elles s’installèrent au quartier de Valbourdin, dans une grande propriété alors dénommée le « champ clos » où un internat et un externat fonctionnèrent jusqu’en 1906. Les Dames de Saint-Maur ont participé à la vie de Toulon, marquant de leurs empreintes l’histoire locale, en menant des actions auprès des enfants et des adolescentes, puis après la première guerre mondiale, au service des personnes âgées.
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La Vienne d’après-guerre vue par un jeune interne en psychiatrie débarquant de sa province niçoise. Parti à la recherche d’un mystérieux docteur, notre héros découvrira, à défaut d’un génie de la médecine, un autre monde. Cette parenthèse l’amènera à se remettre en question et ébranlera bien des certitudes.
L’histoire de Peyrolles-en-Provence est intimement liée à celle de la Durance, comme l’origine de son nom ancien « Petrolis » qui trouve ses racines dans le mot latin désignant les galets du fleuve provençal. Peyrolles-en-Provence occupe depuis toujours une position privilégiée sur la route des Alpes qui se profilent au-delà du défilé de Mirabeau. À son époque, le Roi René en fit sa résidence d’été et contribua à sa fortification et son embellissement. Vous découvrirez son château, sa chapelle du Saint Sépulcre, ses autres monuments et la vie de cette cité depuis ses origines. Ainsi l’histoire de notre village se transmettra à nos futures générations.
L’œuvre du Saint-Esprit a contribué à la construction du seul pont en maçonnerie existant au XVIIIe entre Lyon et la Méditerranée. Seul lien entre les deux rives du Rhône à une époque où le moindre déplacement correspondait à une véritable aventure, cet ouvrage d’art a ponctué la vie passée de la région. Pour preuve, la ville de Saint-Saturnin-du-Port a été rebaptisée Pont-Saint-Esprit. Après sept siècles de solitude sur ce site exceptionnel, l’ancien édifice a partagé l’espace avec un nouveau pont. L’évolution des conditions de circulation routière a rendu indispensable la réalisation d’un nouvel ouvrage d’art à Pont-Saint-Esprit en 1996.
Un pont se construit lentement, un ouvrage d’art est le résumé de plusieurs vies humaines. Chaque génération aide à bâtir ce lien solide qui dure à travers elle. Le dernier de la dynastie des bâtisseurs, s’il gouverne à son tour ce patrimoine, assure sa part de créateur.
Les ponts d’Arles ont à ce point ponctué la vie passée et présente de la cité qu’ils méritaient d’être associés à son histoire. C’est chose faite avec ce livre. Selon ses goûts, le lecteur le parcourra comme un récit pittoresque et coloré, ou s’informera du détail technique. Il permettra certainement d’apprécier toutes les difficultés de franchissement du Rhône et du Petit-Rhône depuis l’époque des bacs jusqu’aux ponts contemporains. Les caractéristiques des ouvrages construits y sont présentées successivement dans le contexte technique de leur époque.
Avec le brio exceptionnel qu’on lui connaît, Liddell Hart, le père de la Stratégie indirecte mondialement connu, dresse dans cet ouvrage « RÉPUTATIONS » paru en 1931, un tableau saisissant des personnalités des principaux chefs de guerre de la Première guerre mondiale. Officier et historien de talent, il a scruté les mobiles de leurs actions, n'a pas caché leurs fautes et leurs défauts, n'a pas caché non plus leurs qualités et leurs valeurs. Dans leur succès comme dans leurs revers il a montré la part du hasard, de l'ignorance et de la sottise aussi bien que la part de leur volonté et de leur clairvoyance. Cet ouvrage de Liddell Hart, moins connu que d’autres, méritait pleinement une réédition pour ceux qui veulent approcher le Premier conflit mondial sans faux fuyants.
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
En France, tout le monde, ou presque, connaît l’admirable histoire de Jeanne d’Arc. Lorsqu’en 1431, elle a été détenue par les Anglais à Rouen, Gilles de Rais et La Hire, deux parmi ses plus fidèles compagnons d’armes, ont eu le projet de la faire évader de sa prison. Et si ces tentatives d’évasion avaient réussi ? Qu’est-ce que cela aurait changé dans notre Histoire ? Qu’est-ce que cela aurait changé dans le destin de Gilles de Rais, pour le prince-poète Charles d’Orléans, pour celui qui fut nommé plus tard le bon roi René de Provence et d’Anjou, et aussi pour Mourad II, le sultan de l’empire ottoman ?
Pierre a neuf ans lorsqu’il est placé à l’orphelinat de La Côte Saint André. Comme il a très bon cœur, il se fait beaucoup d’amis. 1939, la guerre éclate ! L’heure n’est plus aux jeux d’enfants. L’occupation allemande va entraîner le jeune Pierre à jouer « au résistant » au sein d’un clan « les Messagers de la nuit ». Le clan réussira-t-il à prendre contact avec la Résistance ? Mèneront-ils à bien la mission qui va leur être confiée ? Il faut sauver David ! Mais ont-ils bien mesuré les risques qu’ils encouraient ? Peut-être pas...
Les ponts d’Arles ont à ce point ponctué la vie passée et présente de la cité qu’ils méritaient d’être associés à son histoire. C’est chose faite avec ce livre. Selon ses goûts, le lecteur le parcourra comme un récit pittoresque et coloré, ou s’informera du détail technique. Il permettra certainement d’apprécier toutes les difficultés de franchissement du Rhône et du Petit-Rhône depuis l’époque des bacs jusqu’aux ponts contemporains. Les caractéristiques des ouvrages construits y sont présentées successivement dans le contexte technique de leur époque.
À Alger, la mobilisation générale avait vu les hommes de toutes conditions et de tous horizons se regrouper dans la capitale pour être envoyés vers diverses destinations. Le Maroc, mais surtout la Tunisie et l’Algérie furent des terres de prédilection pour des hommes partis la fleur au fusil, le cœur plein d’espoir ou la peur au ventre.
Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel, les trois enfants du quartier de l'Esplanade se trouvèrent subitement confrontés à la réalité de la vie et non plus à la fiction cinématographique française ou américaine que présentaient les écrans des neuf cinémas de Bab El Oued.
Parti du Var à la fin du 19è siècle, le Théâtre ambulant Désiré Ravel a donné des dizaines de représentations durant de nombreuses années. Au rythme du cheval, au gré des saisons, cet ouvrage vous transportera à travers et jusqu’aux confins de la Provence. Des petites villes aux hameaux les plus isolés, vous cheminerez auprès d’une bande « d’intermittents du spectacle ». Ces personnages hauts en couleur, acteurs ou victimes d’anecdotes plus ou moins heureuses, sont les témoins d’un temps révolu que l’auteur fait revivre avec ardeur et poésie.
Paris, début du XIVe siècle. Le roi Philippe IV le Bel ambitionne de dissoudre l’ordre du Temple qui a tant grossi et prospéré qu’il représente à ses yeux une menace pour le royaume.
Dans une ville où souffle le vent mauvais de la chute des chevaliers du Christ, Tristan de Chevreuse, jeune étudiant en médecine souffrant d’une infirmité, découvre un livre ancien acquis par son père Enguerrand, médecin et professeur à l’université de Paris. Cet ouvrage dont les théories remettent en cause les fondements mêmes de la chrétienté, tombe accidentellement entre les mains du doyen de l’école. Jaloux du père de Tristan et convoitant ses biens, le doyen remet le livre interdit aux autorités ecclésiastiques. Accusé d’hérésie, Enguerrand de Chevreuse est arrêté et livré aux griffes de l’Inquisition.
De 1667 à 2015 l’édifice occupé par les pénitents de Compostelle s’est très vite orienté vers l’aide, l’assistance et l’enseignement qu’il fallait apporter à ceux qui le souhaitaient. Les Pères blancs, les sœurs religieuses de Saint-Joseph de Gap puis de Lyon, mademoiselle Alphonsine Cazeaux, d’autres sœurs religieuses, et enfin directrices et directeurs se sont succédé dans le respect de la doctrine : transmettre à la jeunesse d’Ollioules les clés du Savoir. Ce livre est dédié à toutes celles et ceux qui, sous le sourire protecteur de sainte Geneviève, se sont employés et s’emploient encore aujourd’hui à instruire à tout prix en terre ollioulaise.
À la suite de graves évènements, Bernard, ex-professeur d’anglais, aujourd’hui écrivain, a trouvé refuge dans un vieux phare hors service. Loin de la société, il aimerait y méditer tranquillement dans la tradition de quelques auteurs d’Outre-Manche qui lui sont familiers… Il devra néanmoins renouer avec son passé, et même accepter de nouveaux liens avec son voisinage pour se construire une philosophie personnelle. À la croisée de ces chemins, l’humour lui semble un instrument privilégié…
Dans cet ouvrage d’histoire locale, Alexandre Briano nous invite à nous promener dans la ville de Toulon, dans le centre historique comme dans les quartiers les plus éloignés. Il ne faut pas hésiter à prendre les lignes d’autobus. Avec le numéro 3 par l’avenue Clovis Hugues et la Place Jean Macé, on se retrouvera au Mourillon, Impasse Dutasta. Puis, de la Loubière par la rue Pierre-Joseph Proudhon, on peut se rendre au centre ancien et les quartiers rue Charles Poncy. Avec le bus numéro 1, vous trouverez sans souci la place Martin Bidouré au Pont-du-Las, et les rues André Chénier et François Arago, quartier de Brunet et de l’Élisa. Au cours de ces visites, partout vous rencontrerez des partisans de la République.
Les Dames de Saint-Maur se sont installées à Toulon en 1686, lorsque Monseigneur de Chalucet, Evêque du diocèse, a sollicité leur aide pour éduquer les jeunes filles de notre cité, à une époque où l’éducation publique faisait défaut. Elles accomplirent leur mission pendant près de deux siècles et demi dans différents établissements toulonnais. C’est en 1842 qu’elles s’installèrent au quartier de Valbourdin, dans une grande propriété alors dénommée le « champ clos » où un internat et un externat fonctionnèrent jusqu’en 1906. Les Dames de Saint-Maur ont participé à la vie de Toulon, marquant de leurs empreintes l’histoire locale, en menant des actions auprès des enfants et des adolescentes, puis après la première guerre mondiale, au service des personnes âgées.