Le 30 septembre 1955, fauché au volant de sa Porsche Spyder, à l’aube du rock’n’roll, James Dean, vingt-quatre ans entre dans la légende avec trois films au compteur : East of Eden – Rebel Without A Cause – Giant. Selon Martin Sheen « Marlon Brando a changé la manière de jouer mais James Dean a changé la façon de vivre ». Solitaire, complexe, provocateur mais toujours authentique…
Plus de quarante ans après son retrait de la compétition, Eddy Merckx demeure la référence du sport cycliste. Entre ses débuts professionnels en 1965 et 1978, le champion belge, malgré une sévère concurrence, s’est confectionné le plus beau palmarès de tous les temps.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…
La solitude, confine un être dans une prison virtuelle, engendre un mutisme éloquent parce que les journées vont défiler sans qu’aucune visite fasse ouvrir la porte d’un appartement ou d’une maison. Les appels téléphoniques, le temps d’entendre :
― Oui, je vais bien remplacent-ils la chaleur humaine ?
Pour l’empire romain, le Ve siècle fut particulièrement tragique. Lorsque nous pouvons mesurer l’impact des invasions barbares à travers des écrits de cette époque, il nous semble que la disparition de l’empire fut relativement lente, mais aussi brutale et violente. Ce siècle, transition entre l’Antiquité et le Moyen-Âge, n’a pas été sans heurts. Dès 406, les Barbares franchissent le Rhin, inaugurent le dramatique phénomène des grandes invasions du Ve siècle. À partir de cette date, l’histoire de l’empire romain d’Occident en général et de la Gaule romaine en particulier réside en quelque sorte dans une continuité de ruptures, dans une suite de morcellements, d’éclatements, de fragmentations et de désagrégations progressives.
Cet ouvrage retrace la vie de Léopold Ritondale, Maire de la ville d’Hyères durant quatre mandats. Jeune écolier, il étudiait très tard le soir à la lueur d’une bougie. Grand résistant, il fait front à l’ennemi ce qui lui vaudra de nombreuses distinctions honorifiques.
L’auteur, fils unique du général DUPERTUIS, est né en Alsace en 1928.
Expulsé par les Allemands en 40 il subira un pèlerinage forcé de quatre ans à Lourdes où décédera son père. Il saura ce que signifie "avoir faim" au milieu de gens indifférents et de tas de bondieuseries de tous modèles et ce, jusqu’à la Libération où il verra d’innombrables pétainistes prétendre avoir été si gaullistes et si résistants que les Allemands ne s’en étaient pas aperçu. Un miracle à n’en pas douter !
Ce livre, le dernier de la série Napoléon jour après jour, va nous emmener à l’île de Sainte-Hélène. Après soixante-neuf jours de traversée, Napoléon pose le pied sur cette île qui va être son carcan. Là, il va découvrir une terre peu accueillante, perdue dans l’atlantique sud, loin de tout continent. Il va devoir subir un climat qui lui sera néfaste, et vivre dans une maison rongée par l’humidité et infestée de rats. Depuis son départ de France, il est entouré de trois généraux avec leur famille, de Las Cases qui va écrire « Le mémorial » ainsi que des domestiques fidèles qui vont l’accompagner dans sa longue agonie.
Une voie lactée ; celle de Robert Bedot un « maître fromager » au sens le plus exigeant du terme. Sa notoriété planétaire est la conséquence de cette exigence sans aucune compromission avec le milieu de l’industrie laitière car ses buts et ses combats n’ont pas les mêmes priorités. Il est porteur d’un idéal fromager qui intègre en priorité l’histoire, la tradition et le savoir-faire des hommes à mille lieux des préoccupations des prestataires de la mal bouffe hélas très largement majoritaires sur les étals de la grande distribution. Ce livre relate un parcours unique, divers, inattendu, fait de mille et une rencontres qui ont enrichi son auteur par leur qualité et leur diversité.
A toutes celles qui un jour découvrent qu’elles ne sont pas la fille, la petite-fille, la sœur, la tante, la nièce, la cousine et doivent reconstruire leur vie sur les mensonges d’un secret de famille.
A l’heure où les cigales chantent dans les grands pins parfumés, deux jeunes amants inconscients et heureux sont étendus sur un tapis d’aiguilles sèches. Inlassablement leurs corps ondulent au rythme des pointus colorés qui dansent, sur les vaguelettes en contrebas des roches blanches, dans le petit port de la calanque de Sormiou. Puis lentement l’été fait place à l’automne cachant jalousement ses fruits sous le feuillage pourpre duveteux. A présent, sur la place de l’église de Mazargues, ils s’assoient sur un banc pour parler de projets, tout en observant le mistral arracher une à une les feuilles des platanes qui tourbillonnent et balaient par la même, la vie toute tracée de Clémence.
En octobre 1860, George Sand (1804 – 1876) tombe gravement malade. Après s’être rétablie de la fièvre typhoïde, la plus célèbre des femmes de Lettres du XIX° siècle décide de quitter son cher Nohant dans le Berry pour s’établir quelques semaines au bord de la Méditerranée, plus précisément à Tamaris dans le Var.