Papa s’ennuie ! d'Arlette Béal
Il est un pays dont les grands perdent parfois le chemin... À toi le beau royaume de l'imaginaire est grand ouvert.
Il est un pays dont les grands perdent parfois le chemin... À toi le beau royaume de l'imaginaire est grand ouvert.
Girafe est en prison au zoo pour avoir tué un lion. P'tit Roux cherche dans son sac d'idées comment la libérer... Attention ! Girafe a des pouvoirs extraordinaires !
C’est en pensant aux plus jeunes de mes petits- enfants et à tous les jeunes gens de leur âge qui, comme eux, n’ont qu’une très vague idée de Jésus et de son œuvre, que j’ai considéré qu’il m’appartenait, à la veille de mes quatre-vingts ans, de leur exposer quelques aspects de Sa vie, de Sa personnalité et de Son enseignement, tels que je les porte en moi.
Ce livre n’a aucune prétention littéraire et encore moins théologique. Sa seule et grande ambition est de permettre à ceux qui le liront de mieux connaître Jésus, de découvrir la richesse incommensurable de son message et de les persuader de l’absolue nécessité de sa présence dans notre vie.
Puissent ces quelques pages les en convaincre.
« Je suis l’alpha et l’oméga,
Le premier et le dernier,
Le commencement et la fin. »
Il y a la passion qui emporte nos têtes, bourrasques glacées qui assomment nos pensées et nous poussent violemment vers l'amour, vers l'abandon, vers le don, vers la nature profonde de nos corps, un retour à l'origine, un appel chthonien de désirs et nous sommes des statues à la peau marbrée sur laquelle montent des lierres d'envies et de tremblements. Nous cédons à la nature, à l'animalité de l'épiderme, au bonheur accordé qui nous transcende.
– Tais-toi le chien ! Pourquoi aboies-tu après l’océan, il n’y a que des mouettes ?
Marc Waro fit rentrer son chien dans la petite cabane de pêcheur, sous les filaos. La main légèrement tremblante, il se servit un verre de rhum et regarda son chien avec compassion.
– Le désir, mon chien, c’est ce qui tue l’être humain… Buvons à sa mort prochaine !
Au large, la course des frégates sud-africaines marquait l’océan d’un sillon blanc… Le capitaine Louis se déplaçait à grands pas dans les coursives. Posant le pied sur la première marche de l’échelle, il reçut un coup sur la tête ou du moins le pensa-t-il… Ses lèvres formulaient un juron, il ferma les yeux. À cet instant précis, une voix éclata dans son crâne.
– Je suis Yambo ! Prends le chemin du retour avant qu’il ne soit trop tard !
Le rappel sous les drapeaux, au printemps 1956, des hommes des classes 1952 et 1953, en vertu de l’application de la loi du 31 mars 1920 et en exécution du décret du 12 avril 1954, a mis en effervescence, et durant plusieurs mois, la France métropolitaine. On pouvait constater de nombreuses manifestations dans les grandes villes.
Cette agitation fut renforcée par l’action des opposants à cette ultime guerre coloniale qui organisèrent durant de longs mois une énorme pagaille notamment sur le réseau SNCF. De plus, le milieu pacifiste de notre pays, qui réunissait un grand nombre d’intellectuels et d’artistes, comme Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Claude Roy, Jean-Jacques Servan-Schreiber, Gérard Philippe et Yves Montand montra son opposition à tous les conflits de cette époque.
Elle a toujours aimé relater toutes ces journées qui passent sans lui. Elle aurait voulu aller le chercher, le ramener à elle... Ils étaient si bien tous les deux, même vieux, même moins beaux.
Il était son amour, elle était sa mémoire.
Embrasse-moi lui disait-elle. Et toi répondait-il, continue à me raconter...
Il y a le rouge : celui de l’automne,
dont se parent les feuilles,
celui de l’amour, que les mots, les poèmes,
le corps, la sensualité,
une musique forte et nostalgique dispersent.
Il y a entre nous et le ciel, le vert :
les oiseaux, les animaux,
la nature liée à l’espoir
quand nous savons la regarder.
Le désir enfin de communiquer, parler à soi
et aux autres,
parler à ceux qui rêvent, à ceux qui vivent.
Je n’ai pas voulu les heurter,
simplement leur dire un peu qui je suis :
Une âme libre et tourmentée,
un corps, un cœur de femme qui a souffert
et qui cherche l’amour,
La liberté.
Ce récit ne relate nullement les tribulations de femmes dévoyées, il évoque plutôt l’affliction de femmes délaissées qui, dans la perspective de résister aux vicissitudes de la vie, se méprennent.
L’histoire s’attache principalement à décrire le parcours de l’une d’entre elles. Émeline Savoil se découvre brutalement trahie et malgré l’amour toujours latent, son couple se disloque, mais quand un enfant maladif, fragile, le relie, cela occasionne une série de contingences enchevêtrées.
La narration de cet ouvrage émotionnant, retrace dans un style fait-diversier, une mésaventure poignante. De surcroît, une énigme policière stupéfiante, lui octroie une dimension réaliste de premier plan.
« La seule ambition de ce VADEMECUM est de vous permettre de meubler agréablement vos fins de repas entre amis, ou de gérer au mieux des situations de crise aiguë et prolongée dans les toilettes où il pourra constituer un kit de survie »
Textes et photos : Florence Signoret
Album de photos et de textes - classification : « Anti-morosité ».
Composition : Échantillons de Terre, de Ciel, de Mer, et certains matériaux, soigneusement recueillis en fragments de Lumière !
Durant quatre siècles, de superbes étalons, élevés dans le secret d'un monastère espagnol, seront convoités par les plus grands monarques d'Europe.
Ces chevaux, furent-ils aimés et que sont-ils devenus ?
Charles Quint en possèdera deux, un blanc et curieusement, un noir, pourquoi ?
De nos jours, une jeune femme se lance à la recherche du dernier étalon survivant de cette histoire. Elle le trouve et le perd.
Au terme d'une difficile quête spirituelle, d'une aventure à travers le monde et par les mers, le retrouvera-t-elle ?
Carole de Poincet est également l'auteure de "Jésus, le Poète indigné". Elle consacre son écriture aux ambiances où se mêlent, à la fois, aventure, nature et spiritualité .