Deux solitudes extrêmes avancent l’une vers l’autre sur le chemin aléatoire de leur union. La magie de leur rencontre, l’éblouissement du désir, mais aussi l’incompréhension, les attentes déçues, les irrémédiables malentendus… Il croit aux mots, aux idées ; elle croit à l’intuition, à l’instant.
Mirà et Joseph parviendront-ils à gommer un trop lourd passé, à dessiner sous leurs pas un chemin commun et sceller deux destins que tout veut séparer ?
« Mirà » : une bulle vibrante d’amour et de vie et plus rien autour…
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Deux solitudes extrêmes avancent l’une vers l’autre sur le chemin aléatoire de leur union. La magie de leur rencontre, l’éblouissement du désir, mais aussi l’incompréhension, les attentes déçues, les irrémédiables malentendus… Il croit aux mots, aux idées ; elle croit à l’intuition, à l’instant.
Mirà et Joseph parviendront-ils à gommer un trop lourd passé, à dessiner sous leurs pas un chemin commun et sceller deux destins que tout veut séparer ?
« Mirà » : une bulle vibrante d’amour et de vie et plus rien autour…
« On se retrouve demain… Salut ! ». C’est par ces mots que l’auteur terminait ses matinales lorsqu’il travaillait dans les « locales » de Radio France. Avant cela, il était passé par le music-hall, le cabaret, la télé, les radios commerciales.
Dans les années 50, Jérémie se passionne pour le « château », un manoir du Bourbonnais où il passe chaque année ses vacances. Ce ne sont qu'aventures d'enfant laissé en liberté dans ce domaine chargé d'Histoire qu'il contre au fil des ans. Mais un jour, attiré par les livres que renferme la bibliothèque il découvre des lettres enfouies dans ne trappe secrète. Il échiffre alors peu à eu des courriers datant de la moitié du XIXème siècle, des lettres compromettantes relatant la vie de Georges Malley, l'ancien propriétaire, farouche opposant au Second Empire.
Cinq ans qu’Inès attendait un signe de son père, le Général, pour qu’elle revienne au Domaine. Enfin, elle avait reçu cette lettre tant espérée, elle allait retrouver ce père, si dur, mais aussi sa mère, si présente même après leur divorce, et son frère, qui lui avait tant manqué, malgré leurs échanges téléphoniques.
Deux voyageurs, à peine majeurs. Une ombre, parfois envahissante, un fil rouge inconscient… Il l’appelle « elle » sans autre précision. Pas de prénom, juste un pronom et de très brèves apparitions. Leur destination, l’Orient, l’est du monde, là où le soleil se lève. Istanbul est la première étape. La ville donne le la à un voyage initiatique sur les routes de Katmandou. En bus, en train, à pied. Le narrateur déroule son récit d’une traite, sans reprendre son souffle. Parfois on a peur, peur pour eux, peur de leur insouciance. On a envie de les retenir, de les prévenir. Souvent ils frôlent la correctionnelle, le drame. Elle ne dit rien. Pas un mot. Jusqu’à la fin.
Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.
Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.
Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.
Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.
Pierre a neuf ans lorsqu’il est placé à l’orphelinat de La Côte Saint André. Comme il a très bon cœur, il se fait beaucoup d’amis. 1939, la guerre éclate ! L’heure n’est plus aux jeux d’enfants. L’occupation allemande va entraîner le jeune Pierre à jouer « au résistant » au sein d’un clan « les Messagers de la nuit ». Le clan réussira-t-il à prendre contact avec la Résistance ? Mèneront-ils à bien la mission qui va leur être confiée ? Il faut sauver David ! Mais ont-ils bien mesuré les risques qu’ils encouraient ? Peut-être pas...
Voici le récit de cette rencontre improbable et de ce conte de fée, avec la légende d'Anaïs, qui permettra la naissance inimaginable de Jorick, le 15 août 2002 (on retrouvera la suite dans le roman "Jorick le dernier GOTH").
Parce que Jérôme, récent retraité désœuvré, achète chez un bouquiniste des quais de Seine les Souvenirs retrouvés de Kiki de Montparnasse. Parce que son voisin handicapé affirme avoir connu l’artiste « morte ou presque ». Parce qu’un ami disparaît et qu’un tableau s’égare, Jérôme entame une déambulation dans Paris à la recherche des lieux de vie de Kiki, de ses amis ou de ses amants célèbres (Foujita, Kisling, Soutine, Man Ray, etc.) dans un quartier où elle régna sans partage, femme libre, personnage éblouissant des Années folles. Au bout de cette quête, Jérôme verra sa vie transformée par un dénouement inattendu tout autant que la destinée post mortem de la légendaire Kiki de Montparnasse…
Parfois, le début d’une vie s’inscrit dans la tempête d’une mer houleuse, chahutée par des vents contraires. C’est dans ce contexte que Clara, l’héroïne du roman, va longtemps errer entre l’obscurité des ténèbres, et la lueur de l’espoir à la recherche de sa place dans un monde qui s’avère particulièrement cruel pour elle. Pour se faire, elle empruntera des chemins de traverse, qui la conduiront vers une paix intérieure laissant parler le meilleur d’elle-même. Un véritable hymne à la vie dans lequel le lecteur trouvera de précieuses clés...
Chantal Mulet-Barcilon vit au bord de la mer, dans le sud de la France. La Traversée de Clara est son premier roman.
Chantal Losfeld, originaire du Nord de la France a commencé à écrire en faisant deux biographies sur les Sunlights, groupe mythique des années 70. Elle a toujours baigné dans les livres avec des parents libraires. Plus tard, son père devint l’éditeur des Surréalistes. Son huitième récit, qui relate la perspicacité d’un inspecteur de police pour trouver l’assassin de personnes innocentes, vient étayer une collection de petits romans variés et faciles à lire.
Le troisième volet du « Secret des Chabrands » nous fait changer de génération, mais pas de familles. Sur une plage de Saint-Raphaël, un sort étrange met face à face Lidia, fille de Marisa Bellini, l’héroïne de La Pianiste de Manosque, et Bernard Lagardère, fils naturel de l’impresario de la célèbre concertiste morte neuf ans auparavant. L’amour a tôt fait de transformer ces deux orphelins assoiffés de vérité en enquêteurs. De retournement en retournement, un sombre passé se dévoile sous le soleil écrasant.
Au travers d’un roman d’amour profond et émouvant, l’auteur relate avec vérité les événements qui, durant les années 1961-1962, ont conduit à la fin d’une Algérie qu’elle aimait… L’exil et sa déchirure, l’adaptation dans une France revêche, la naissance d’un enfant et la recherche, par ce même enfant, de ses racines familiales font de cet ouvrage, sur fond de traumatisme psychologique sévère, une fresque où chacun de ceux qui ont vécu dans la peine l’abandon de cette terre retrouveront, au fil des pages, une part d’eux-mêmes…