Je fis la connaissance de Loan à Central Park par ces mots, lors de mon voyage à New York, pendant que je m’efforçais de commander une glace italienne auprès du vendeur du kiosque. Après avoir vite sympathisé et nous être assis sur un banc, il m’a raconté l’histoire extraordinaire de deux âmes sœurs, Salomé et Philippe.
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Je fis la connaissance de Loan à Central Park par ces mots, lors de mon voyage à New York, pendant que je m’efforçais de commander une glace italienne auprès du vendeur du kiosque.
Après avoir vite sympathisé et nous être assis sur un banc, il m’a raconté l’histoire extraordinaire de deux âmes sœurs, Salomé et Philippe.
Je fis la connaissance de Loan à Central Park par ces mots, lors de mon voyage à New York, pendant que je m’efforçais de commander une glace italienne auprès du vendeur du kiosque. Après avoir vite sympathisé et nous être assis sur un banc, il m’a raconté l’histoire extraordinaire de deux âmes sœurs, Salomé et Philippe.
Pierre a neuf ans lorsqu’il est placé à l’orphelinat de La Côte Saint André. Comme il a très bon cœur, il se fait beaucoup d’amis. 1939, la guerre éclate ! L’heure n’est plus aux jeux d’enfants. L’occupation allemande va entraîner le jeune Pierre à jouer « au résistant » au sein d’un clan « les Messagers de la nuit ». Le clan réussira-t-il à prendre contact avec la Résistance ? Mèneront-ils à bien la mission qui va leur être confiée ? Il faut sauver David ! Mais ont-ils bien mesuré les risques qu’ils encouraient ? Peut-être pas...
Un mariage qui coulait de source dans ce quartier de la Petite Italie qui berça leurs tendres années. Une éternité d’amour. Des projets plein la tête. Un petit appartement avec vue sur le pont de Brooklyn. Shabbat chez les parents et la vie qui déroule son livre d’images… Le temps d’aimer. Le temps de mourir. La chute. Un accident stupide à l’orée de la Petite Italie. Une route enneigée, un enfant qui déboule, un mauvais réflexe. Le drame. Sa femme au paradis. Loin de ses bras. Réapprendre la vie. Sans elle. Sans la contempler au petit matin, froissée de sommeil. Sans sa nudité impudique et son regard bleu outremer en invité permanent. Sans la magie de son amour, tout simplement… Depuis, Samuel s’était enfermé dans son métier solitaire.
Été 1994. Une série d’incendies de forêt inexpliqués inquiète la petite station balnéaire de La Londe-les-Maures dans le Var. Peu à peu, la psychose envahit tout le village, et, à l’incompréhension et à l’inquiétude succède vite l’exaspération.
Un centre de triage, nom tristement évocateur ! Dans les vignobles de Rio Salado se dressent des murs coiffés de barbelés. Ici vivent des prisonnières qui ont collaboré avec le FLN. La France veut les récupérer. La mission est confiée à Anne, jeune directrice de 21 ans. Dans ce camp unique en son genre, se croisent des personnages acteurs ou victimes de la guerre d’Algérie. Chacun porte son fardeau : la rebelle Halima, le commandant de l’action psychologique, celui du renseignement, l’appelé du contingent, le reporter de l’Echo d’Oran… Dans cet univers carcéral, l’amour interdit parviendra-t-il à trouver sa place ? Un roman qui s’appuie sur des faits réels.
Bruno, dont le grand-père a été rapatrié du Maroc, vit dans les beaux quartiers. Chaïma vient de banlieue. Son grand-père s’est battu pour l’indépendance du Maroc. Rien : ni leur éducation, ni leurs traditions ne les destinent à se rencontrer. Pourtant, ils vont se retrouver face à face. Après s’être méfiés l’un de l’autre, ils vont se chercher et finalement s’aimer. Ils devront payer leur amour au prix fort. Sur fond de violence des banlieues, de racisme ou d’intolérance, Chaïma est avant tout l’histoire de deux jeunes qui décident, envers et contre tous, d’aller de l’avant, aussi loin que possible, ensemble. C’est aussi un témoignage réaliste sur notre époque en même temps qu’une idylle si pure et si belle qu’elle paraît démodée.
Chantal Losfeld, originaire du Nord de la France a commencé à écrire en faisant deux biographies sur les Sunlights, groupe mythique des années 70. Elle a toujours baigné dans les livres avec des parents libraires. Plus tard, son père devint l’éditeur des Surréalistes. Son huitième récit, qui relate la perspicacité d’un inspecteur de police pour trouver l’assassin de personnes innocentes, vient étayer une collection de petits romans variés et faciles à lire.
Ce petit personnage très attachant, fille aînée de Tatiana, vous séduira par sa spontanéité, sa gentillesse, son intelligence hors du commun. Effrontée, lucide, elle n’en est pas moins une peste qui fait l’unanimité autour d’elle. Sa fragilité, ses émotions à fleur de peau, sa maîtrise en toutes circonstances en font une adorable fillette qui ravira le cœur de Jeannot. Son défaut de langue, ses yeux de braise et ses pitreries vous feront passer de merveilleux moments de lecture. Junior est une surdouée heureuse de vivre… Mais, elle prendra une décision immédiate, radicale, qui va affoler son entourage, confrontée à une situation qu’elle n’accepte pas. L'émotion est au rendez-vous. Le rire aussi.
Parfois pittoresque, parfois dramatique, mais profonde à la fois, c'est l'histoire vécue de voisins qui partagent tout et nous transporte dans un monde auquel on aimerait participer. Il est si attachant qu'il nous tient en haleine de la première à la dernière page.
L’éminent chirurgien esthétique, Kamil Felhabel, est retrouvé mort à son domicile. Dépêchés sur les lieux, le commandant Vincent Alguazil et son équipe enquêtent. D’après les premiers indices relevés la thèse du suicide est la plus probable. Mais quelle n’est pas leur stupéfaction lorsqu’ils découvrent, sur le bureau du praticien, une vieille photo de Chléo Faisceau, la compagne de Vincent ! Les policiers ne sont pas au bout de leur surprise : des squelettes de femmes dans le jardin, une morte et une agonisante au grenier. Le chirurgien était-il tueur en série ou savant fou ? A-t-il réellement mis fin à ses jours ou a-t-on voulu lui faire cesser ses agissements sordides ?
Un aristocrate de la fin du XVIIIè siècle se réveille un jour dans la peau d’un de ses lointains descendants et sosie du début du XXIè siècle vivant toujours sur le même domaine près de Paris…
La majorité des gens pense que c’est un produit français, voire même le plus français des produits. Pour cela, il est connu du monde entier. Ils aiment le tremper dans leur café, y mettre de la confiture, de la pâte à tartiner.
Après une dure journée de travail, Jonas Atlan rangea ses outils de petite menuiserie, jeta un dernier coup d’œil pour voir si tout était en ordre puis ferma son atelier où il entreposait les matelas à garnir de laine.
Jonas était le matelassier-ébéniste de la casbah d’Alger, cumulant ses deux métiers avec un égal bonheur. Tantôt, il remplaçait et aérait la laine, tantôt il changeait la toile, piquait sa grande aiguille recourbée pour réaliser la bordure faite de gros bourrelets, tantôt il recollait le bois d'une chaise ou d'un lit. Son travail toujours impeccable lui valait une belle réputation au sein de la vieille ville, casbah judéo-arabe où il avait ouvert les yeux et qui était fréquentée essentiellement par les descendants des juifs d’Espagne après les inquisitions de 1391 et 1492.
— Hey ! Vous êtes français ?
Je fis la connaissance de Loan à Central Park par ces mots, lors de mon voyage à New York, pendant que je m’efforçais de commander une glace italienne auprès du vendeur du kiosque. Après avoir vite sympathisé et nous être assis sur un banc, il m’a raconté l’histoire extraordinaire de deux âmes sœurs, Salomé et Philippe.