Bernard William, de son vrai nom Bernard Mabille de Paoli Leoni, né en 1947 à Toulon, est comédien, chanteur lyrique, metteur en scène, pianiste, producteur de spectacles vivants… À ses multiples talents, s’ajoute aujourd’hui l’écriture d’un passionnant roman dans lequel le lecteur, pris dans la magie d’une intrigue dont il ne pourra pas se défaire avant d’en connaitre le fin mot, va se retrouver piégé d’une manière si fulgurante, qu’à la dernière page il ne résistera pas au besoin de revenir au début de cette incroyable histoire, afin d’en dérouler la pelote à la lumière de ce qui vient si subitement de le bluffer.
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Bernard William, de son vrai nom Bernard Mabille de Paoli Leoni, né en 1947 à Toulon, est comédien, chanteur lyrique, metteur en scène, pianiste, producteur de spectacles vivants… À ses multiples talents, s’ajoute aujourd’hui l’écriture d’un passionnant roman dans lequel le lecteur, pris dans la magie d’une intrigue dont il ne pourra pas se défaire avant d’en connaitre le fin mot, va se retrouver piégé d’une manière si fulgurante, qu’à la dernière page il ne résistera pas au besoin de revenir au début de cette incroyable histoire, afin d’en dérouler la pelote à la lumière de ce qui vient si subitement de le bluffer.
Après Les Illusionnistes, Les Passeurs de Vie et Les Chemineaux de la Sauvegarde, l’auteur s’attache à une période oubliée, le Coup d’État du 2 décembre 1851
Le goût de l’aventure, la volonté de rompre avec la monotonie de sa vie, poussent un jeune Maltais à quitter son île en 1846. A bord d’une goélette anglaise une histoire d’amour se noue, mais il devra être débarqué à Djidjelli avec sa compagne.
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
Lundi…une journée comme les autres au collège du Fenouillet. Les élèves se tiennent mieux que les professeurs, ce qui n’est pas si compliqué… Moi, je ne pouvais pas ne rien écrire avant de partir.
La marquise de Nîmes est un roman qui se déroule pendant la Révolution Française, la Terreur et les premières victoires napoléoniennes. C’est le récit des aventures passionnées, orageuses, romantiques et libertines de trois officiers, compagnons de gloire du général de La Fayette : Le marquis Yan de Kerguy, fidèle au roi Louis XVI et à Marie-Antoinette, succombe aux charmes de Berthe Randon, herboriste à Nîmes. Le couple vit heureux les dernières heures fastes de la Cour à Versailles, mais la Terreur leur sera fatale. Le marquis Charles Valfére de Lardier est un séduisant officier bonapartiste doté d’une intelligence rare qui lui permet de réussir avec panache les diverses missions que l’Empire lui confie. Son secret : une Amérindienne iroquoise...
Marie-Rose Nonchez-Garcia est née à Oran. Elle a quitté sa ville dans la débâcle le lendemain de ses vingt ans. Elle retrace, dans ce livre, la vie de sa mère, réfugiée espagnole qui elle aussi dut quitter son pays, dans la débâcle, le 12 mars 1936.
Geoffroy Robelin, dit Joli Coeur, est victime d'une machination. Il est contraint en 1673 de s'installer comme colon dans cette Nouvelle-France du Canada. Il rencontrera une chamane près de Mahigan Sipi, au coeur du territoire algonquin. Elle écrira son histoire sur une ceinture appelée « wampum », devant se transmettre de père en fils.
Manhattan, printemps 1956. Matthew Olt meurt écrasé dans un parking souterrain de la ville. L’œuvre d’un chauffard selon la police du 13e precinct, meurtre délibéré selon un SDF qui squatte les lieux et a assisté à la scène, mais qui ne veut pas témoigner. D’ailleurs, avec son pedigree serait-il crédible ? Qui pouvait bien en vouloir à un ingénieur du service municipal des Eaux ?
« Domaine du Bonheur » : grande propriété agricole et vinicole au Nord-Ouest d’Aix-en-Provence. J’ai quatorze ans, une vie heureuse, un franc parler légendaire. Six heures du matin, par une belle matinée de printemps Papa et Maman partent au travail, et sont renversés par une voiture. La peste que je suis saura-t-elle faire face à cette perte irréparable. Un homme sera présent à mes côtés, pour mon malheur. Je lui dois mon langage cru et mon humour ravageur. Une véritable descente aux enfers s’ensuivit… Le chauffard sera-t-il rattrapé, l’énigme élucidée, pour que je retrouve mon insouciance, mon côté adorable, ma générosité ? Le bonheur frappera-t-il de nouveau à ma porte ? Une nouvelle arrive brusquement… Un véritable cocktail « explosif » !
En province, il est de charmantes bourgades, paisiblement endormies au hasard d’un cours d’eau, qui peuvent parfois receler de terribles secrets, enfouis sous la poussière accumulée au fil du temps. Une petite étincelle, un petit fait parfois d’apparence insignifiante, peuvent faire rejaillir des passés que l’on croyait oubliés et profondément enterrés, des rancœurs que l’on pensait éteintes, de sombres histoires que l’on n’ose même pas murmurer du bout des lèvres dans l’obscurité d’un confessionnal. Quand les secrets ressurgissent, le meurtre deviendrait-il le seul moyen de régler à jamais, quelques comptes en souffrance ? En héritant à Saint-Aubin d’une vieille maison qu’elle voulait restaurer, Nathalie Forest ne savait pas où elle allait mettre les pieds.
Après un premier livre, Laissez-vous-en conter sans compter, dans lequel on découvrait toutes les facettes de son humour, le Commissaire Divisionnaire marseillais Jean Claude Beltramo nous invite, cette fois, à suivre l’itinéraire marginal d’une jeune ado, dans le Marseille des années 70, où rien ne lui sera épargné.
En 1950, un père de famille âgé de trente-quatre ans est expédié au cœur d’un conflit que l’on nommera : « la guerre d’Indochine ». Loin d’être un « va-t-en-guerre », il va se retrouver exilé aux confins de l’Asie pour y défendre des intérêts dont la pertinence exacte lui échappe.