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Dans la petite station balnéaire de Bandol, un homme est retrouvé mort dans une chambre d’hôtel. Assassiné d’une bien étrange façon. Dans le même temps, une lettre trouvée par hasard dans un tiroir à double fond d’un meuble ancien, révèle un crime commis il y a longtemps dans cette même ville. Ne s’agit-il que d’une coïncidence ? Le lieutenant de police Félicien Aubin mène cette double enquête. Il n’a rien d’un héros. Écorché vif, révolté, sensible à la misère humaine, il est bouleversé par les basculements tragiques de plusieurs vies innocentes à la suite du coup de folie totalement imprévisible d’un être raisonnable.
« Un premier signalement » est un ouvrage atypique, mené tambour battant, qui tient en haleine le lecteur jusqu’à son dénouement. L’auteur Didier Courtine met en scène Clotilde une enquêtrice qui débute au ministère des finances avec en corollaire la pression que cela suppose.
La duchesse de Ramatuelle, c’est le surnom que ses amis donnaient à Lucile, cette femme indépendante qui égayait les fêtes de leurs nuits d’été, au détour des années soixante.
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
Trois personnes unies coûte que coûte, dans la joie ou la tristesse, dans la colère ou la peine. Pour traverser tous les dangers de la mort ou de la vie : « Flammes ou Cent Morts, peu importe, il faudra toujours leur résister ».
Nous n’avons tous que douze ans au moment où notre vie bascule, et la malédiction nous poursuivra jusqu'à notre mort… On nous connaît sous le nom de Cent Morts.
Quoi de plus banal qu’un immeuble où se croisent sans se voir des familles tranquilles, un médecin, une vieille dame très chic, quelques artistes, des cadres stressés, des habitants de l’ombre sous les combles et une gardienne immigrée de longue date ?
Au 17 de la rue Voltaire, dans une bourgade des Yvelines, il suffira d’un fait divers pour changer la donne...
Ce roman se veut une ode à un "pays" que l’auteur a longtemps attendu de connaître : la Corse ! Il est ici dans son élément, il l’avoue lui-même : « J’ai aimé découvrir un peuple fier, rude, orgueilleux… chaud et hospitalier envers celui qui sait l’aimer. » Cette aventure vous entraîne entre complot, trahison et amours interdites à la découverte des paysages grandioses de l’île et de l’Âme corse. Le chant des sittelles sonne, ici, l’ouverture d’un opéra magistral où les ombres d’Éros et de Thanatos accompagnent les héros fascinants sur les chemins de leur destin.
Avec tout son cœur et son amour, Paul di Giovanni vous invite à un voyage à travers l’Île de Beauté que vous ne pourrez pas oublier.
En plein burn-out, Anthony vit à Nice et est incapable de se rendre à ses trois Start-up de Sophia Antipolis. Il s’enfuit par le premier avion à Buenos-Aires. Dans l’avion, il rencontre Pauline, elle aussi niçoise, qui se rend au chevet de sa tante alitée en Argentine. Pauline a trois magasins d’articles et ponchos d’Amérique du Sud, elle voyage pour réapprovisionner ses deux magasins niçois et son tout nouveau magasin parisien près du Châtelet, aux Halles.
C’est avec un intérêt passionné, traversé d’intrigues, d’allégresse et de désespoir, que l’auteur tisse une histoire tumultueuse et toute brûlante d’amour avec les tragiques évènements de Toulon pendant la Terreur, en y mêlant scrupuleusement les références authentiques, les personnages et les lieux dits.
Photographe et globe-trotter célèbre, coqueluche des médias et vedette des plateaux de télévision, Fabrice Deschamps a profité du confinement décrété en mars 2020 à la suite de l’épidémie de la Covid pour venir s’isoler dans la villa qu’il vient d’acquérir à Carqueiranne dans le Var. Là, il recrute en urgence Laurie Lecornec, étudiante, pour l’aider à préparer ses prochains rendez-vous, éplucher ses contrats et gérer son agenda. À la fois attachée de communication, de presse et assistante, la jeune femme va nouer une relation ambigüe avec ce personnage énigmatique.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
“ Cette affaire fit grand bruit dans toutes les chaumières valfleuraines, et servit enfin de catalyseur pour développer l’idée que tous les malheurs subis depuis quelque temps par de nombreuses familles n’étaient peut-être pas le fruit de la fatalité ni l’expression d’une vengeance céleste, mais bel et bien le fait d’une malveillance humaine entreprise pour des motifs des plus basses espèces, et certainement de celles qui ne sont peut-être pas toujours sonores, mais inévitablement trébuchantes, et quoi qu’on dise exhalant parfois une épouvantable odeur de pourriture ! “
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