Lise croyait en la vie, en l’amour. Elle ne doutait de rien et n’avait qu’une envie, celle de chanter et de rire. Mais la vie n’est jamais ce que l’on aimerait qu’elle soit.
L’Écharpe de laine rouge est un roman riche en rebondissements et émotions. Un roman où s’entrechoquent amour, amitié, jalousie, haine, vengeance au rythme d’un enchaînement de situations complexes où se mêlent passions, sexualité et milieu carcéral. Un miroir de vie où l’on peut décrypter qu’en dépit de son intelligence, l’Homme reste la proie de ses désirs et ne peut rester maître de son destin. Il se trouve contraint de subir les aléas de l’existence par les choix qu’il fait, des choix souvent guidés par les tentations les plus fortes, les plus redoutables.
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Lise croyait en la vie, en l’amour. Elle ne doutait de rien et n’avait qu’une envie, celle de chanter et de rire. Mais la vie n’est jamais ce que l’on aimerait qu’elle soit.
L’Écharpe de laine rouge est un roman riche en rebondissements et émotions. Un roman où s’entrechoquent amour, amitié, jalousie, haine, vengeance au rythme d’un enchaînement de situations complexes où se mêlent passions, sexualité et milieu carcéral. Un miroir de vie où l’on peut décrypter qu’en dépit de son intelligence, l’Homme reste la proie de ses désirs et ne peut rester maître de son destin. Il se trouve contraint de subir les aléas de l’existence par les choix qu’il fait, des choix souvent guidés par les tentations les plus fortes, les plus redoutables.
Chez moi, c'était la maison du bon Dieu. Du bon Dieu et de ma mère ! Ma mère la pauvre ! La pauvre ou raïbah dans le langage judéo-arabe de la casbah d'Alger et de toutes les femmes de la famille.
– Maman, maman, nous avons vu l’Allemand. Il rangeait des planches sous le hangar des Comte. Nous avons eu peur, nous nous sommes cachés pour l’épier. Marceau, qui se disait très courageux, avait rempli ses poches de cailloux. Mais le prisonnier a travaillé sans relâche. Tu le reconnaîtras, il porte une casquette militaire et je suis certain qu’il est plus grand que Raoul Martin.
En réunissant les Palladions, Diane et Matthias espéraient fermer définitivement le dernier passage d’entre les mondes. Pour une raison inconnue, les Enfants-libres en ont décidé autrement. L’Aube rouge n’a pas empêché l’Obscurité de se libérer de sa toile de lumière. Resserrant son étau, avide d’envahir notre monde, elle prépare ses forces.
Faisant office de jardinier aux fins d’approcher Elen, Nil, le magicien, est furieux que la fillette ait utilisé ses dons pour les êtres humains. Ils doivent lui servir à préparer l’avènement des siens (voir tome V : Le monde du miroir) et non sauver les hommes. Elle est l’enfant miracle qu’ils attendent (voir tome IV : L’enfant miracle). Entreprenant alors de l’éduquer selon les préceptes des Elfes, ce qu’il découvre va le laisser perplexe. L’étendue des pouvoirs d’Elen remet en question sa paternité. Et puis, il y a ce commissaire : Guillaume Delisle dont Nil ignore totalement le changement de nom. Pour lui, il est assurément l’oncle d’Elen.
Charles Valdoise est un excellent journaliste professionnel. Qui aurait imaginé qu'il serait aussi soudainement viré de son poste de présentateur vedette de la chaîne de télévision nationale ? Pour quelles raisons ? Par une nuit de tempête, il se trouve face à un homme allongé sur la route entre Saint-Raphaël et Sainte-Maxime. Il sera mêlé malgré lui à l'enquête policière. Enquête qui mènera le commissaire Verdier sur des pistes inattendues, parfois même incohérentes. Bien qu'il s'agisse d'une situation imaginaire, cet ouvrage met en évidence une réalité qui parfois dépasse la fiction, où l'on constate que la ligne jaune entre la politique et l'information est ténue. Les hommes ne sont que des hommes. Même au sommet de la pyramide, ils restent vulnérables.
« C’est décidé je monte à Paris ! » s’était dit Paulin après avoir vu dans une galerie, les peintures de Marius Granet. Cette pensée ne le quittait plus, même dans l’atelier de menuiserie où son père l’avait placé à l’âge de 14 ans pour un travail d’ébénisterie. C’est ainsi qu’un jour il quitte sa famille et son quartier de la rue Saint-Paul à Hyères, pour rejoindre la capitale. L’arrivée à Paris est un choc. Il loge dans un immeuble misérable de la rue Saint-Marcel à deux pas de la rue où il travaille, quartier Saint-Antoine. Chaque soir après sa journée de labeur, Paulin se rend au Louvre, il y rencontre Topino-Lebrun, peintre révolutionnaire marseillais qui le présente au maître David. Tous deux l’encouragent à s’inscrire à l’école des Beaux-Arts.
1470... 2023... Deux époques, deux destins, un lieu. Conor, jeune guerrier, doit quitter son clan. Il traverse les Highlands au péril de sa vie lors de ce voyage initiatique. De lochs en glens, il est confronté aux légendes de son enfance, plongé dans les décors envoûtants des confins de sa chère terre natale.
Un appel de nuit. Sous le pont d'un petit village varois, un homme est sauvé du froid. Il a 38 ans et plus de nom... Le Docteur Adèle Saint-Paul, intriguée par l'étrange patient, découvre qu'il tait un ahurissant secret. Mais qui saura l'en délivrer ? Le Professeur Fourier et sa science, ou la bonne copine Muguette et son tarot ? A moins que ce ne soit la vieille madame Gauthier, doyenne de l'humanité ? Un nouveau Diogène, ami des bornes kilométriques, arpente la beauté du maquis provençal. Osez le suivre sur les chemins bordés de santolines, contempler les constellations d'un ciel peluché d'étoiles, acheter un chapeau, et pourquoi pas avec lui découvrir « le pot aux roses » de la vie ?
Un roman au contexte historique avéré qui montre que des Français et des Musulmans d’Afrique du Nord, ainsi que des Républicains Espagnols émigrés, s’engagèrent aussi dans La Résistance avec toute leur foi en la France qu’ils vénéraient, et pour l’amour de la Liberté qui les habitait. Certains furent impliqués dans le Maquis du Vercors et combattirent les Allemands jusqu’à leur anéantissement ; d’autres, comme dans ce roman, intégrèrent les différents maquis d’Auvergne où ils se battirent avec courage et abnégation, y laissant leur vie, contre l’occupant nazi et ses collaborateurs indignes.
Un mariage qui coulait de source dans ce quartier de la Petite Italie qui berça leurs tendres années. Une éternité d’amour. Des projets plein la tête. Un petit appartement avec vue sur le pont de Brooklyn. Shabbat chez les parents et la vie qui déroule son livre d’images… Le temps d’aimer. Le temps de mourir. La chute. Un accident stupide à l’orée de la Petite Italie. Une route enneigée, un enfant qui déboule, un mauvais réflexe. Le drame. Sa femme au paradis. Loin de ses bras. Réapprendre la vie. Sans elle. Sans la contempler au petit matin, froissée de sommeil. Sans sa nudité impudique et son regard bleu outremer en invité permanent. Sans la magie de son amour, tout simplement… Depuis, Samuel s’était enfermé dans son métier solitaire.
Quand une histoire banale devient le point de départ d’une aventure humaine exceptionnelle. Telle est la trame de Mnesik. Car rien ne laissait présager en préambule que le destin d’un jeune maçon allait basculer lors de la rénovation d’une église du XIIIe siècle. Sauf que le décryptage d’une inscription ancienne l’entraînera sur les traces d’un sceptre ayant traversé les époques et notamment celles des invasions vikings. Entre peur et curiosité, le héros se laissera happer dans un tourbillon d’émotion lui ouvrant les portes de la vérité pour déjouer une conspiration. Il sera aidé par son amie Héléna, dotée d’une mémoire fabuleuse. Avec ce roman, Emmanuel Giampino signe un thriller haletant au dénouement inattendu.