Yaweh, Dieu, Allah, Shiva, Vishnou. Une pléiade de dieux s'offre à notre adoration. Sont-ils « un » ou l'un d'eux est-il le « meilleur » ? Si les hommes ne se combattaient pas sans cesse au nom de l'un d'entre eux, on pourrait facilement les unifier, en dépassant les particularités culturelles qui les ont nommés. En fait, il est clair que « Dieu » ou la Divinité est vrai car s'il est Dieu, il ne peut être qu'Unique. Pourquoi ne les nommerait-on pas Shiva. L'image de Shiva est la meilleure car elle décrit mieux qu'aucune autre les points de vue Transcendant et Immanent, Inconnaissable et Créateur.
Dans le premier Volume de L’Évangile provençal, du 5 juin au 5 décembre de l’an 26, nous avons pu, par exemple, assister au Baptême du Seigneur par Jean-le-Baptiste, puis aux quarante jours de Jeûne du Christ, tels qu’Anne-Catherine Emmerich nous les fait revivre. Avec le début de ce second Volume, nous serons assez vite aux Noces de Cana. Et nous suivrons le Seigneur et Ses proches (notamment celles et ceux qui viendront une dizaine d’années plus tard christianiser la Provence), du 6 décembre de l’an 26 au 24 août de l’an 27. En chemin, le lecteur pourra assister à l’émouvante rencontre entre le Seigneur et la Samaritaine, au Puits de Jacob.
Paul Ricoeur disait profondément Écrire, c’est réécrire. Dans le présent travail de réécriture des livres de Clément Brentano publiés au dix-neuvième siècle, j’ai souvent mis un bémol à ce qu’Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) lui avait dit à partir de sa foi de religieuse augustinienne.
Le Tantrisme est un immense système d’une très forte cohérence, dont chaque point est relié étroitement avec tous les autres. Il est donc préférable d’en avoir dès le début une vision cavalière générale qui fera voir ensemble les points les plus saillants.
Cette réédition de « La vie de Monseigneur Antoine Daveluy », écrite par Charles Salmon en 1883, paraît aujourd’hui sous le titre de « La vie de saint Antoine Daveluy » puisque ce Picard, évêque d’Acônes, martyr en Corée en 1866 aux côtés de 103 compagnons fut canonisé le 06 mai 1984 par le pape Jean-Paul II, avant que le pape François ne canonise en 2014 à Séoul 200 autres martyrs pour leur foi. Cet ouvrage, introuvable aujourd’hui, reste criant d’actualité : certes, il détaille la vie de saint Antoine mais il décrit aussi les difficultés d’ouverture de la Corée au monde occidental.
Un célèbre éditeur parisien disparait en partant sur les races d’une femme écrivain. C’est le point de départ d’une quête irraisonnée de personnages qui se croisent et qui défient le temps. Mythes, légendes, traditions et fiction se côtoient dans ce roman aux multiples facettes.
Le développement actuel du catéchuménat des adultes nécessite de nouveaux accompagnateurs. Certaines personnes hésitent à se lancer dans l'aventure. Ce dossier a pour but de les aider en leur proposant des contenus pour un déroulement substantiel des rencontres de catéchèse préparant aux trois sacrements de l'initiation chrétienne. Il est adossé aux textes bibliques présentés dans "PARLE SEIGNEUR, ta Parole est un Trésor" (Éditions MAME-Tardy). Les accompagnateurs pourront suivre ces fiches de près, ou s'en inspirer en les adaptant aux besoins et possibilités de chacun.
Herman Wijns, Belge de langue flamande né en 1931 a, dès son plus jeune âge, été gratifié d’une foi si solide qu’elle a rapidement dépassé celle de ses parents. « Prêtre ou rien », voilà ce qu’il voulait devenir dès sa sixième année. Excellent camarade, vif et généreux, courageux, héroïque même, doté d’une prescience étonnante, il a connu dans sa courte vie des épisodes dignes d’un destin exceptionnel. Aucun servant de messe n’a, sans doute, dans toute l’histoire de l’Eglise, été aussi dévoué et compétent. Il meurt à dix ans à la suite d’un accident. Sa Cause de béatification semble enfin sur le point d’être ouverte.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »