Beaucoup de personnes, et même des personnages célèbres, nous ont raconté notre histoire, celle de notre ville et de ses habitants. Je ne serai qu'un modeste Toulonnais, amoureux de sa ville, qui vous raconte son histoire, à sa façon, comme il l'a ressentie en lisant ce que ses prédécesseurs ont écrit.
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Beaucoup de personnes, et même des personnages célèbres, nous ont raconté notre histoire, celle de notre ville et de ses habitants. Je ne serai qu'un modeste Toulonnais, amoureux de sa ville, qui vous raconte son histoire, à sa façon, comme il l'a ressentie en lisant ce que ses prédécesseurs ont écrit. Ce sera une façon de voyager autrement à travers le temps avec des photos, des lieux, des réflexions sur notre ville et sa région, pour vous faire revivre la vie de nos ancêtres provençaux. Toulon mérite votre visite pour découvrir cette ambiance méridionale des villes du sud. Ma sincérité sur l'histoire correspond le mieux possible à la réalité même si elle ne correspond pas tout à fait au manuel de l'Histoire officielle.
Ce livre regroupe 111 espèces exotiques d’arbres et arbustes originaires de plusieurs pays du monde, toutes adaptées au climat méditerranéen. Le choix a été dicté par la nécessité, de plus en plus évidente, de prendre en compte le réchauffement climatique déjà marqué par une élévation d’un degré depuis l’an 2000. N’oublions pas qu’en 30 ans la limite du climat méditerranéen s’est déplacée de près de 100 km vers le nord.
Toutes les projections indiquent qu’une élévation générale de température de 2 à 3 °C sera atteinte à l’horizon 2050. Ainsi, beaucoup d’endroits le long des côtes méditerranéennes, sur le continent et en Corse, auront dans les 20 prochaines années un climat similaire à celui qui sévit actuellement en Afrique du Nord.
Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.
Après avoir rappelé les épisodes les plus marquants de l’histoire mouvementée de Toulon, l’auteur – qui s’exprime en tant que citoyen lambda - raconte ses souvenirs liés à la ville, depuis son enfance pendant la guerre, et sa scolarité au « lycée de Toulon », qui est devenu le collège Peiresc.
Il rappelle les grandes lignes de la reconstruction de l’après-guerre et les développements qui ont suivi jusqu’à ce jour. Au passage, il s’exprime avec une totale liberté en donnant quelques coups de griffe à la classe politique tout en distribuant des satisfecit mérités.
Au terme de plus de deux décennies d’immobilisme et de faux semblants, la France est devenue l’homme malade d’une Europe elle-même affaiblie par le Brexit et la montée des populismes. Partout dans le monde, les fractures ouvertes dans la société apparaissent chaque jour plus visibles entre ceux qui veulent construire des murs et ceux qui militent au contraire pour l’ouverture.
Acteur et observateur de la vie politique varoise, Marc Bayle offre une précieuse étude d’histoire du temps présent sur l’évolution des droites à Toulon de 1958 à 1994, mettant son expérience administrative et politique au service d’un travail d’historien. Les fils conducteurs de cette réflexion sont la culture politique du ressentiment, reposant sur les réseaux « Algérie française », la mainmise du milieu patricien local sur la gestion de la ville, et la constitution d’une droite « sudiste ». Pour déchiffrer la situation toulonnaise, il fallait s’intéresser aux mutations politiques dans la moyenne durée. La prise en compte des contextes démographique, avec l’arrivée des pieds-noirs, et économique, avec la fin du Toulon ouvrier gravitant autour de l’arsenal, était essentielle.
A la fin de la seconde guerre mondiale, le 8 mai 1945, à Sétif en Algérie, des manifestations contre le colonialisme se transforment en un bain de sang. Le général Duval dirige une terrible répression et prévient les autorités françaises d’Alger et de Paris : « Je vous ai donné la paix pour 10 ans. Mais il ne faut pas se leurrer. Tout doit changer en Algérie. » Pratiquement rien ne change pendant 9 ans. En 1954, la guerre d’indépendance éclate et, en 1962, elle sépare définitivement la communauté musulmane et la communauté européenne.
Deux mondes qui s’affrontent : la sagesse de la vieillesse d’un côté et la fougue d’une jeunesse à la supériorité orgueilleuse de l’artificiel et du virtuel de l’autre. Une rencontre qui ne semblait point promise à des lendemains. Pourtant, Jean-Michel Barra réussit à dépeindre une amitié, née entre ces deux générations si différentes, que nul n’aurait pu entrevoir sur le chemin accidenté du mieux vivre ensemble…
Ce recueil n’a pas la prétention de livrer une vue exhaustive de Toulon. Il n’est pas non plus une visite des plus beaux sites de la ville, encore moins une exposition de clichés artistiques. Il est le révélateur du beau au quotidien pour qui sait regarder. A travers ces photos, le lecteur percevra l’âme de la cité toulonnaise teintée de multiples couleurs… Le bleu de la mer et du ciel, le blanc des tenues d'apparat des marins, le rouge et noir qui fait la fierté de ses habitants. Entre sa maison et son lieu de travail, l’homme qui s’expose en ces pages se transforme au fil des jours en photographe-habitant pour saisir à la volée le parcours de sa réalité au cœur de la vieille ville et de sa rade.
Dans cet ouvrage d’histoire locale, Alexandre Briano nous invite à nous promener dans la ville de Toulon, dans le centre historique comme dans les quartiers les plus éloignés. Il ne faut pas hésiter à prendre les lignes d’autobus. Avec le numéro 3 par l’avenue Clovis Hugues et la Place Jean Macé, on se retrouvera au Mourillon, Impasse Dutasta. Puis, de la Loubière par la rue Pierre-Joseph Proudhon, on peut se rendre au centre ancien et les quartiers rue Charles Poncy. Avec le bus numéro 1, vous trouverez sans souci la place Martin Bidouré au Pont-du-Las, et les rues André Chénier et François Arago, quartier de Brunet et de l’Élisa. Au cours de ces visites, partout vous rencontrerez des partisans de la République.
Cet ouvrage est le résultat d’un travail commencé d’une manière originale… Figurez-vous que l’auteur, gravissant assez régulièrement les pentes du Faron, sur un sentier de chèvres, se retrouva devant une plaque de rue métallique portant fièrement le nom de : CHEMIN
Beaucoup de personnes, et même des personnages célèbres, nous ont raconté notre histoire, celle de notre ville et de ses habitants. Je ne serai qu'un modeste Toulonnais, amoureux de sa ville, qui vous raconte son histoire, à sa façon, comme il l'a ressentie en lisant ce que ses prédécesseurs ont écrit.