Saint-Mandrier Revue de presse 1914 / 1918 de Ken NICOLAS
Référence: L1337
20,00 €
TTC
Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.
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Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.
En cette sombre période de haine religieuse du XVIe siècle, François de Malesterre vient à nouveau à l’aide d’Henri de Navarre.
Après avoir résolu l’énigme des Trois Livres, il prêtera mainforte à son ami, à l’esprit empreint de tolérance, pour qu’il accède au trône de France et rétablisse enfin la paix dans le royaume.
Pour cela, ils devront affronter toutes les machinations de la Cour où sévit la terrible Catherine de Médicis, “la Reine noire”, avec ses poisons et les courtisanes de son “escadron volant” qui mettent à son service leur corps et leur esprit.
Comme bien d’autres, le désastre de 1870 et l’occupation allemande ont forcé à l’exil la famille Stoesser – Rudolphe, Elisabeth et leur fille Annelise -, originaire de Mulhouse en Alsace. Comme bien d’autres, après la déception de l’accueil en France, elle s’est tournée vers les colonies et un nouveau destin. Pour certains ce fut l’Algérie, les Stoesser ont choisi Porto-Novo où tout était à construire. C’est leur histoire que raconte Pierre Dufour dans cette saga qui s’étend sur dix ans, de 1882 à 1892.
Après “Saint Tropez, histoires des gens d'ici”, Jean-Charles MEYER nous livre dans cet ouvrage une suite de ces histoires tropéziennes. Pour cela il s'est adjoint la mémoire du village, François COPPOLA. Ils ont travaillé de concert, à quatre mains, afin de poursuivre en un nouveau tome, cette saga des tropéziens et de leurs amis résidents ou de passage. C'est ainsi qu'au fil des pages vous pourrez découvrir comment en 1937, la Bravade faillit exploser, comment les peintres Georges Cotos et Dany Lartigue ont posé sur la toile leurs magnifiques oeuvres, l'origine de la fabrication des sandales tropéziennes, les vespasiennes au Conseil municipal et bien d'autres aventures telle le Grand Prix cycliste de la place des Lices, survenues dans ce "petit" village connu du monde entier.
Un papillon au pays des cigales. Comment un jeune officier de marine promis à un grand avenir, amateur de jolies filles, joueur de poker invétéré, passionné de chevaux et d’escrime, loup solitaire dans une société dont il n’acceptera jamais les codes, fini par commettre l’irréparable.
Jean Jaurès à Nîmes et dans le Gard En un temps où radio et télévision n’existaient pas encore pour relayer ses idées, Jaurès est venu à quatre reprises dans le Gard : en novembre 1894 pour parrainer la fondation de la Fédération du Gard, le 12 juillet 1903 et le 1er septembre 1912 pour des meetings dans les Arènes de Nîmes et, entre temps, un séjour prolongé en février 1910 pour le VIIe Congrès de la SFIO et le débat sur la création des retraites. Cet ouvrage évoque ses séjours et analyse ses six discours à Nîmes et à Alès, rassemblés en confrontant les retranscriptions de la presse. Il complète un article de l’auteur dans les Cahiers Jaurès en 2007. 190 pages avec une soixantaine de photographies pour restituer cette “Belle époque”.
Le goût de l’aventure, la volonté de rompre avec la monotonie de sa vie, poussent un jeune Maltais à quitter son île en 1846. A bord d’une goélette anglaise une histoire d’amour se noue, mais il devra être débarqué à Djidjelli avec sa compagne.
François Ouvière (1807-1867) est un ingénieur marseillais particulièrement ingénieux. Entrepreneur de travaux publics, passionné par la vulgarisation de l’astronomie, il devient artiste plasticien en concevant une œuvre simplifiant la sphère armillaire.
Tout le génie d'Ouvière est là : allier ses compétences en maçonnerie et traitement des métaux, ses connaissances en astronomie, son art de communiquer et son sens commercial pour inciter à découvrir les astres.
Marie-Rose Nonchez-Garcia est née à Oran. Elle a quitté sa ville dans la débâcle le lendemain de ses vingt ans. Elle retrace, dans ce livre, la vie de sa mère, réfugiée espagnole qui elle aussi dut quitter son pays, dans la débâcle, le 12 mars 1936.
Cet ouvrage est le résultat d’un travail commencé d’une manière originale… Figurez-vous que l’auteur, gravissant assez régulièrement les pentes du Faron, sur un sentier de chèvres, se retrouva devant une plaque de rue métallique portant fièrement le nom de : CHEMIN
Ninon de la Rescadière traverse une période trouble de l’histoire de France en 1789 du côté de Toulon en bousculant les usages de son milieu, affirmant et revendiquant haut et fort sa liberté de pensée et d’action. Elle oblige ceux qui veulent la suivre à se surpasser, à sortir des sentiers battus pour exister. Une femme de tête et d’esprit qui ressemble étrangement à l’auteur.
Durant la campagne de Saxe, Napoléon se retrouvera face à la Sixième Coalition qui réunit Autrichiens, Prussiens et Russes. Cette confrontation, dite la bataille des Nations, se terminera par une cuisante défaite de l’Empereur et l’acculera à la frontière française. De retour à Paris, il organisera la campagne de France. Il sera trahi et devra abdiquer. Il sera condamné à l’exil sur l’île d’Elbe. Plus tard, il décidera de reprendre son trône. L’Aigle s’envolera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame. S’ensuivront la période des Cent-Jours et l’ultime bataille : Waterloo. Celle-ci le conduira à une nouvelle abdication et un second exil.
Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.