Saint-Mandrier Revue de presse 1914 / 1918 de Ken NICOLAS
Référence: L1337
20,00 €
TTC
Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.
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Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.
Paris, début du XIVe siècle. Le roi Philippe IV le Bel ambitionne de dissoudre l’ordre du Temple qui a tant grossi et prospéré qu’il représente à ses yeux une menace pour le royaume.
Dans une ville où souffle le vent mauvais de la chute des chevaliers du Christ, Tristan de Chevreuse, jeune étudiant en médecine souffrant d’une infirmité, découvre un livre ancien acquis par son père Enguerrand, médecin et professeur à l’université de Paris. Cet ouvrage dont les théories remettent en cause les fondements mêmes de la chrétienté, tombe accidentellement entre les mains du doyen de l’école. Jaloux du père de Tristan et convoitant ses biens, le doyen remet le livre interdit aux autorités ecclésiastiques. Accusé d’hérésie, Enguerrand de Chevreuse est arrêté et livré aux griffes de l’Inquisition.
En novembre 1930, Georges Bernanos, tout auréolé d’une récente et tonitruante renommée littéraire, arrive dans le Var avec sa nombreuse tribu. Il le quittera définitivement en septembre 1946, après trois séjours alternés dans son « cher Toulon », puis à Hyères et Bandol, totalisant près de six années. Séjours entrecoupés de deux expériences majeures qui éprouveront l’homme et sa pensée : aux Baléares au cœur de la guerre civile espagnole qui le révolte, au Brésil lors de la deuxième guerre mondiale, où il devient depuis l’étranger une grande voix de la France résistante.
Dans la série de Napoléon jour après jour, il y a eu l’Ascension de Bonaparte, puis le Consulat et ensuite l’Empire. Ce cinquième livre est la troisième partie de l’Empire, celle où l’étoile de l’Empereur semble ne plus briller. Cela commence bien, par l’accouchement de Marie-Louise, la naissance du roi de Rome au ravissement de tous les Français, Napoléon a enfin une descendance. Puis arrive la terrible campagne de Russie où l’on va voir la bataille de la Moskova, le stationnement dans Moscou et son incendie qui va obliger Napoléon de quitter cette ville avec ses troupes. Et enfin l’affreuse retraite. Cette retraite qui va décimer presque toute la Grande Armée. Beaucoup de soldats seront tués dans des combats mais la plupart mourront de froid ou encore de la faim.
L’image des débuts du monachisme s’inscrit dans le contexte médiéval tardif, en permettant de justifier et de légitimer un retour à un âge d’or du monachisme, où la vie des premiers ascètes de la Thébaïde montre quelles doivent être les activités des moines, activités au premier rang desquelles se placent la prière et le travail manuel. Quand cette dernière prend trop d’importance au cours du Moyen Âge, celui-ci légitime donc le retour à des activités manuelles certes pénibles, mais aussi simples et saines, des premiers moines, et montre la vision d’un monde peuplé d’ermites, rêvé, projeté ou imaginé.
Pour l’empire romain, le Ve siècle fut particulièrement tragique. Lorsque nous pouvons mesurer l’impact des invasions barbares à travers des écrits de cette époque, il nous semble que la disparition de l’empire fut relativement lente, mais aussi brutale et violente. Ce siècle, transition entre l’Antiquité et le Moyen-Âge, n’a pas été sans heurts. Dès 406, les Barbares franchissent le Rhin, inaugurent le dramatique phénomène des grandes invasions du Ve siècle. À partir de cette date, l’histoire de l’empire romain d’Occident en général et de la Gaule romaine en particulier réside en quelque sorte dans une continuité de ruptures, dans une suite de morcellements, d’éclatements, de fragmentations et de désagrégations progressives.
Rodriguez est un bagnard en fuite sur le littoral varois, de Toulon jusqu’à Roquebrune. Arnaud est un campagnard de Figanières. Ils sont contemporains (1848 / 1851). Tous deux vont commettre des crimes. Malgré le ton picaresque des récits, les faits sont historiques.
Sept bagnards mettent les voiles.
Frederico Rodriguez, ancien soldat espagnol, tente la vie de colon à Constantine, pays nouvellement conquis par la France. Il est pris lors d’une tentative de vol à main armée et envoyé au bagne de Toulon. Il décide de profiter de l’atmosphère révolutionnaire de 1848 pour s’évader par la mer avec six autres forçats. Les fugitifs accostent sur le littoral des Maures...
Où était Napoléon ce jour-là ? Qu’a-t-il fait ? Quel était son état d’esprit ? Cet ouvrage de référence est le seul qui témoigne avec autant de détails de l’ascension fulgurante de Napoléon Bonaparte jour après jour, de sa naissance à la prise du pouvoir, le 18 Brumaire. Cette chronologie de l’histoire napoléonienne dont ne pourraient se passer tous les passionnés, va conduire le lecteur à travers toute l’Europe et l’Égypte. Comment cet homme de génie, un des plus grands stragèges de tous les temps va nous faire revivre jour après jour, non seulement son ascension personnelle, mais également la progression de la France dans toutes ses fonctions, tant dans le social que dans l’administration du pays ainsi que dans le monde militaire ?
Retraité dans le sud de la France, natif de la Somme où s’est déroulée la célèbre bataille de 1916, Romain BRIERE petit-fils de Poilu, s’est toujours senti concerné par la Grande Guerre.
En allant sur la tombe de son grand-père en 2010, il découvre un procès-verbal d’abandon datant de 2008 pour une reprise de concession en 2011 sans avoir été contacté.
C’est de là que sont nées sa révolte et sa volonté de faire savoir ce qu’ont vécu les Poilus.
Son livre est une fresque de la Grande Guerre 1914-1918.
Barthélémy Faujas de Saint-Fond est né en 1741. Il était géologue et vulcanologue de formation, mais comme beaucoup de grands esprits de son époque, il se passionna immédiatement pour l'aérostation. Il en soutint les débuts, notamment en lançant avec le succès que l'on sait, la souscription qui servit à financer la fabrication du ballon et à réaliser la première expérience du physicien Jacques Charles à Paris, depuis le Champ de Mars, le 27 août 1783.
1961-1962, années fatidiques pour les pieds-noirs d’Oran ! Ils sont épouvantés par les exactions du FLN et cette guerre cruelle qui dure depuis si longtemps. Ils sont aussi pris en otages par l’OAS, dont l’emprise sur la ville se fait de plus en plus pesante. Et ils se demandent si les méthodes violentes utilisées par « l’armée secrète » ne vont pas les conduire à leur perte ?
C’est au cœur de cette ville effervescente, que débarque un jeune couple métropolitain, Anne et François. Ce dernier qui effectue un reliquat de service militaire, est affecté à la préfecture d’Oran. Tous deux ont des idées généreuses et ils vont tenter de se rendre utiles et de tracer leur chemin personnel au milieu de la folie générale.
Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.
Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.
Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.
Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.
En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…
Après les années 50 et 60 déterminantes pour l’émancipation et le développement de la jeune commune de Saint-Mandrier, je vous propose une nouvelle revue de presse consacrée à une période douloureuse de notre histoire : 1914 - 1918.
Il m’a paru intéressant d’étudier et de comparer par le menu deux actualités locales bien distinctes : celle qui couvre les huit premiers mois de l’année 1914, et celle qui suit jusqu’à l’armistice de 1918. Évidemment, le contraste est saisissant !
Cette plongée médiatique dans la vie de mon village natal m’a permis de retrouver la trace de plusieurs de nos chers anciens. Ce livre leur est entièrement dédié.