Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
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Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
Ayant eu la chance de vivre vingt années passionnantes en Afrique, l'auteur a voulu au travers de cet ouvrage faire revivre quelques épisodes drôles, cocasses ou plus dramatiques qui ont marqué ses séjours dans cinq pays différents entre 1984 et 2014. Mais aussi faire partager sa passion pour un continent que peu d’Européens connaissent et apprécient, la plupart d'entre eux ayant une vision déformée par les médias ou le discours ambiant. Observateur attentif d'un monde africain en pleine évolution, il a au travers de ses récits fait revivre une galerie de portraits hauts en couleurs de personnages caractéristiques de cette époque.
André Suarès a écrit : « Le voyageur est encore ce qui importe le plus dans un voyage ». Les présents carnets de voyage s'inscrivent dans la ligne de cette citation extraite du Voyage du condottiere. Le but de cet ouvrage est de faire mieux connaître cette catégorie particulière des gens de mer que sont les marins d'État. Un certain nombre d'anecdotes sont là pour aérer le propos et bien montrer qu'il ne s'agit pas d'un guide touristique, mais d'un hommage rendu en toute indépendance à cette belle institution.
Je t’aime, ma chérie… Ces simples mots, je les ai attendus toute ma vie, mais jamais ils ne sont venus. Les seules paroles que ma mère était capable de prononcer à mon égard n’étaient que sentences critiques : – Tu es chétive, tu ne feras jamais rien de bon, tu es inutile. Ainsi, peu à peu, émergeant du plus profond de mon être, naquit l’ours. Je devins la personne que ma mère avait créée ; bourrue, insociable, muette. Elle avait gagné et pouvait à loisir me détruire. Recluse dans ma tanière, je ne permettais à personne de franchir les portes de mon refuge. Une femme qui a mis au monde un enfant doit lui prodiguer tout son amour. Seule alors, grand-mère réussit à gagner mon affection.
En définitive, nous, les adultes, sommes des puzzles. Tous les jours ou presque, nous ajoutons des pièces comme un souvenir, une rencontre, une émotion, mais ce sont les morceaux liés à l’enfance qui donnent véritablement de la couleur au tableau final.
Dans le monde actuel, il n’y a pas de place pour le rêve. Le seul moyen d’y parvenir c’est d’oublier parfois l’instant présent, de fermer les yeux, d’inspirer profondément… Alors à ce moment-là, dans le coin de votre mémoire, à l’aide d’une clef que vous glisserez dans la serrure, vous ouvrirez une vieille porte en bois usée par le temps et vous pénètrerez dans le monde du souvenir.
L’auteur Stéphane Carbonnel nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître celui du service militaire. Une parenthèse de quelques mois, jadis obligatoire et désormais facultative. Et c’est quelque part regrettable car nombreux sont les hommes qui resteront marqués à vie par ces moments-là. Des doutes liés à l’incorporation à l’adaptation à la vie de la caserne sans oublier la solidarité affichée pendant les manœuvres. Et bien d’autres émotions encore que l’on retrouve dans cet ouvrage qui fait aussi la part belle à la rigolade et aux anecdotes truculentes. « Le premier impôt » fait partie de ceux que l’on paie volontiers soit pour se remémorer des souvenirs similaires ou découvrir ces tranches de vie par essence éphémères…
Ayant dépassé les soixante-seize ans maintenant, je voudrais vous conter mon existence, de ma naissance en 1947 dans la Meuse à mon entrée dans la marine nationale en septembre 1965, jusqu’à la fin de ma carrière en 2007.
Étant doté d’une santé de fer, d’un mental d’acier et de capacités physiques hors du commun – sans oublier un facteur chance qui ne m’a jamais quitté –, il m’a été donné de faire une grande carrière dans la marine nationale, en particulier dans le commando Hubert, celui des nageurs de combat.
Au regard des terribles épreuves qu'elle a rencontrées, Isabelle Bourgeais est une véritable miraculée de la vie. C'est au sein d'un indescriptible chaos quotidien qu'elle a évolué entre maltraitance et inceste infligés très jeune par son beau-père. Personne pour se confier ou lui venir en aide entre un père inexistant et une mère sous l'emprise, elle aussi, de cet homme pervers sadique et manipulateur. Grâce à son témoignage courageux et bouleversant « Le baiser de l’infini », elle passe des mots mortifères aux mots qui libèrent.
Cette femme en souffrance devient auteure en espérance. Mais c'est aussi au bout d'une longue traversée spirituelle, ouvrant la voie à la transcendance, que l'auteure parviendra à ce que son âme ne pleure plus.
« J’admire la façon dont vous savez donner vie aux moindres objets d’une maison, que vous parvenez à faire goûter presque physiquement. À vous lire, je sens l’odeur de l’entrée de Viazac, ou de sa cuisine. J’entends les bruits de l’étage, je reconnais les pas d’oncle Roger, je frissonne au vent qui balaie la terrasse… Il y a, dans votre façon d’écrire, une sorte de réalisme à la fois méticuleux et léger. Vous dites les choses avec une densité étonnante. Vos phrases, précises et nettes, semblent s’enchaîner à toute vitesse mais les termes en sont si exactement choisis – parce qu’intensément sentis – qu’elles contiennent une prodigieuse richesse descriptive, inaperçue en première lecture. On est pris, ensorcelé et c’est pourquoi on y revient...
On a beaucoup écrit sur l'histoire de Toulon, du Mourillon et du fort St Louis, mais, bizarrement, aucun ouvrage n'existait sur le port St Louis. C'est chose faite aujourd'hui avec ce livre facile à lire et divertissant. Bourré d'anecdotes, il est rédigé à la façon d'un conte drolatique. Son personnage central est un veuf un peu philosophe qui va découvrir peu à peu l'univers du petit port. Réalisé "à quatre mains" par deux amis toulonnais, ce récit permet de passer un moment agréable et de faire mieux connaissance avec ce coin particulier de la Ville.
Le sport comme fil conducteur d’une existence menée à 100 à l’heure ! Tel pourrait être le singulier raccourci de la vie d’Antoine Sassu. Ce dernier a gravité dans de nombreux milieux comme ceux du football, de l’athlétisme et enfin de la marche athlétique. Tour à tour pratiquant ou dirigeant l’intéressé revient sur un parcours atypique marqué par le défi et le dépassement de soi. Des joies, des peines, des souvenirs grandioses et d’autres à oublier… Des combats comme celui de développer la marche athlétique et la satisfaction d’avoir su transmettre sa passion aux plus jeunes et d’avoir pris part aux championnats de France. Des échecs aussi – car le bonhomme possède une certaine éthique – mais qui ont mis en exergue sa capacité à rebondir.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !