Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
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Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune (personnage mytique de Bab El Oued), passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours (les chitanes comme les adultes) lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
PS : un lexique pataouète et judéo arabe vous attend à la fin de chaque ouvrage pour que vous compreniez mon phrasé.
Nous méconnaissons ce que la vie nous réserve et nous ignorons totalement jusqu’où nos forces internes pourraient nous mener. La destinée d’une vie paisible à tout le moins régulière peut basculer en un instant.
Nous n’ignorons pas que le plus doux individu est susceptible malgré lui d’en arriver à commettre l’irréparable.
Vous êtes-vous déjà interrogé : "Et si un événement fortuit venait chambouler le déroulement de mon existence, de quelle manière réagirais-je ? Comment y ferais-je face ?"
Aussi étonnamment que cela puisse paraître, cette histoire pourrait être celle de madame et monsieur Tout-le-monde.
« Domaine du Bonheur » : grande propriété agricole et vinicole au Nord-Ouest d’Aix-en-Provence. J’ai quatorze ans, une vie heureuse, un franc parler légendaire. Six heures du matin, par une belle matinée de printemps Papa et Maman partent au travail, et sont renversés par une voiture. La peste que je suis saura-t-elle faire face à cette perte irréparable. Un homme sera présent à mes côtés, pour mon malheur. Je lui dois mon langage cru et mon humour ravageur. Une véritable descente aux enfers s’ensuivit… Le chauffard sera-t-il rattrapé, l’énigme élucidée, pour que je retrouve mon insouciance, mon côté adorable, ma générosité ? Le bonheur frappera-t-il de nouveau à ma porte ? Une nouvelle arrive brusquement… Un véritable cocktail « explosif » !
En cette sombre période de haine religieuse du XVIe siècle, François de Malesterre vient à nouveau à l’aide d’Henri de Navarre.
Après avoir résolu l’énigme des Trois Livres, il prêtera mainforte à son ami, à l’esprit empreint de tolérance, pour qu’il accède au trône de France et rétablisse enfin la paix dans le royaume.
Pour cela, ils devront affronter toutes les machinations de la Cour où sévit la terrible Catherine de Médicis, “la Reine noire”, avec ses poisons et les courtisanes de son “escadron volant” qui mettent à son service leur corps et leur esprit.
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
« Le colporteur de Nîmes » est un roman dont le souffle romantique et parfois sulfureux accompagne le récit des aventures de nombreux personnages réels et imaginaires du XVIIIe siècle.
Joseph Raynal, 16 ans, vif, intelligent, créatif, désire s’échapper de la menuiserie paternelle et rêve de s’engager dans la marine royale nationale...
Berthe Randon, jeune et jolie veuve de 24 ans est herboriste à Nîmes. Sa démarche ondulante et son élégant visage troublent bien les hommes. Chargée d’assurer la formation de Joseph Raynal qui présente l’examen d’enrôlement, elle tombe follement amoureuse de son élève.
Nos auteurs, soucieux de s’écarter d’une tendance actuelle, celle orientée vers des récits où le crime le dispute à la perversion, ont, à contre-courant du genre apprécié par certains, pris le parti de l’émotion, de l’amour, de l’amitié et de l’aventure humaine. L’histoire fictionnelle qu’ils proposent à travers cet ouvrage pourrait être la leur, la vôtre, la nôtre.
Ce roman est le récit d’une vie entre deux êtres que tout aurait pu rapprocher pour vivre en parfaite harmonie. Mais que faire lorsque le destin en décide autrement et que la mort les sépare ? Jacques achète alors un voilier et s’embarque pour un tour du monde avec, pour seule compagnie, un chien abandonné qu’il finit par adopter. D’aventure en aventure, il parcourt les océans jusqu’au jour où une rencontre va complètement bouleverser le cours de son existence. Celle avec un chamane malgache lui permettra-t-elle de comprendre la mysticité de la vie ? « La vérité est au fond de toi, dit le chamane, cherche et tu trouveras la réponse à tes questions ».
La narratrice, Rosemary, est une femme d’une quarantaine d’années qui a fui une précédente vie après un drame survenu lors de sa dernière année d’étude en Californie. Après s’être lentement reconstruite à Lewisburg, petite ville du Kentucky où tout le monde ignore son passé, elle a endossé une nouvelle peau pour une nouvelle existence. Son compagnon, Jack, vétéran du Viet-Nam, refonde aussi la sienne en s’appuyant sur elle tout autant qu’elle-même tire sa force de cet homme silencieux. Deux événements vont bouleverser cette quiétude lentement gagnée sur la peur qu’elle porte toujours au creux de son ventre. Des événements qui vont modifier considérablement ce paysage rassurant qu’elle pensait immuable…
Elsa est infirmière dans une unité médicale. Robin, son mari, lui, est un médecin affecté aux urgences. Les époux s’adonnent à soigner autrui tandis que leurs horaires antagoniques dérangent leur vie privée. Néanmoins, l’amour qui les unit est manifeste. Cependant, à cause d’une maladie dégénérative contractée par Elsa, l’harmonie du ménage s’en trouvera chamboulée. Une greffe pourrait redresser la santé d’Elsa. Toutefois, une affaire de meurtre, mêlée à l’action du don d’organes, contrariera l’équilibre du couple. S’ensuit la lutte d’un avocat épaulé par un détective privé. Un récit où la culpabilité a des accents distincts. Au vrai, un sujet sensible, documenté, captivant. Un duo d’enquêteurs retors parachève ce polar fuligineux.
Aiguisé, tranchant comme une lame pourrait-on ajouter. À l’image de ce polar noir qui se déroule dans la ville de Lyon. Pas celle de la fête des lumières. Mais plutôt l’autre face de la capitale des Gaules, plus sombre, plus glauque. Une atmosphère lourde et pesante qui va donner lieu à une lutte d’influence entre deux flics. Un sacré baptême du feu pour le commissaire principal Maxime Bertrand, récemment muté depuis Paris qui va devoir faire ses preuves dans un contexte déjà compliqué tout en évitant les pièges d’un collègue « ripou ». Avec en toile de fond le port marchand Édouard Herriot et tout le corollaire de va-et-vient que cela suppose. Manipulation, coups de pression et trafic d’influence pour un suspense maximal.
Une marée rouge déferle sur la vieille Russie, brisant l’ordre établi, les classes sociales et les familles. Pourtant, l’automne s’annonçait prometteur chez les Vassiliev, vieille famille de la noblesse russe.
avertissement
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !