Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
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Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune (personnage mytique de Bab El Oued), passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours (les chitanes comme les adultes) lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
PS : un lexique pataouète et judéo arabe vous attend à la fin de chaque ouvrage pour que vous compreniez mon phrasé.
Dans le vieux village de Saint-Laurent-du-Var assoupi au lendemain de la fête du livre, la découverte d’un cadavre résonne lugubrement. Kevin a été égorgé et émasculé. Rien dans sa vie ou son entourage ne laissait présager cette fin atroce. L’énigme n’est pas facile à résoudre. Le commissaire Dupin et son équipe lèveront finalement le voile sur un drame ancien que l’on croyait oublié et qui ressurgit dans des conditions particulièrement horribles.
Alain Loiseau, retraité actif vivant près de la nature dans une bourgade isolée du Sud-Ouest, son voisin Léonce Latour, un célèbre avocat bordelais, et son épouse Lise, soumise à son bon vouloir, se trouvent mêlés à une succession d’événements qui vont mettre leur vie en danger. Le lourd véhicule contenant deux cadavres criblés de plombs, immergé au fond d’un lac en bordure d’une forêt, livrera-t-il enfin tous ses secrets ?
Ninon de la Rescadière traverse une période trouble de l’histoire de France en 1789 du côté de Toulon en bousculant les usages de son milieu, affirmant et revendiquant haut et fort sa liberté de pensée et d’action. Elle oblige ceux qui veulent la suivre à se surpasser, à sortir des sentiers battus pour exister. Une femme de tête et d’esprit qui ressemble étrangement à l’auteur.
Il y a la passion qui emporte nos têtes, bourrasques glacées qui assomment nos pensées et nous poussent violemment vers l'amour, vers l'abandon, vers le don, vers la nature profonde de nos corps, un retour à l'origine, un appel chthonien de désirs et nous sommes des statues à la peau marbrée sur laquelle montent des lierres d'envies et de tremblements. Nous cédons à la nature, à l'animalité de l'épiderme, au bonheur accordé qui nous transcende.
Écrire pour exister aux yeux des autres. Lui qui avait toujours connu le succès. Lui qui était celui que l’on recherchait, que l’on écoutait, qui était brillant, qui plaisait aux femmes. Lui qui avait été, dans sa jeunesse, celui que l’on désirait dans son équipe de football, que l’on recherchait pour une belote ou simplement que l’on souhaitait pour ami, il était relégué au rang de pestiféré.
« Le temps des explications viendra plus tard. » C’est sur cette affirmation que Denis Fournier termine cette histoire. Un état des lieux de sa ville, source d’inspiration inépuisable, devait être la trame de son nouveau roman. « Venue d’ailleurs », une femme va débouler dans sa vie, l’entraîner dans des évènements qu’il ne pouvait imaginer et dans un état sentimental… particulier. La recherche d’une enfant l’emmènera de Toulon à Marseille, de La Seyne à Aix en Provence et bien au-delà dans les Alpes du sud.
Caroline Mathieu, docteur en langues et cultures du Proche-Orient, détient sans le savoir l’héritage d’une lignée de femmes chargées de protéger un secret ancestral. Dans cette nouvelle quête, parsemée d’énigmes et de symboles à décrypter, qui la mènera d’Asie centrale aux confins de la Mésopotamie, elle découvre que sa mère, archéologue elle aussi, morte dans un accident de la route, a en fait été assassinée. Pourquoi ? Qu’avait-elle découvert de si terrible qu’on voulut la faire taire à tout jamais ? Le lien serait la traduction en grec d’un manuscrit indien ancien. Un livre perdu pour lequel on tue. Des écrits en persan archaïque. Des fragments manichéens… Tout ceci présuppose le peuple aryen.
« Je prenais conscience soudainement que je n’étais rien. Tout ce que j’avais pu faire dans l’entreprise n’avait servi à rien. Je m’y étais consacré avec tant d’entrain, j’avais fait tant d’heures supplémentaires non rétribuées que ce résultat me dégoûtait. J’avais volé tant de quarts d’heure à mes enfants que j’en éprouvais maintenant un vif regret. »
Juillet 1994, en quelques jours, plusieurs adolescentes disparaissent mystérieusement dans un rayon de trente kilomètres au cœur du vignoble champenois. Que leur est-il arrivé ?
Une série de cassettes découvertes au cours d’un déménagement permettent de se remémorer un défunt racontant son existence particulière lors de la dernière guerre mondiale.
La marquise de Nîmes est un roman qui se déroule pendant la Révolution Française, la Terreur et les premières victoires napoléoniennes. C’est le récit des aventures passionnées, orageuses, romantiques et libertines de trois officiers, compagnons de gloire du général de La Fayette : Le marquis Yan de Kerguy, fidèle au roi Louis XVI et à Marie-Antoinette, succombe aux charmes de Berthe Randon, herboriste à Nîmes. Le couple vit heureux les dernières heures fastes de la Cour à Versailles, mais la Terreur leur sera fatale. Le marquis Charles Valfére de Lardier est un séduisant officier bonapartiste doté d’une intelligence rare qui lui permet de réussir avec panache les diverses missions que l’Empire lui confie. Son secret : une Amérindienne iroquoise...