Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien...
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Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien... Face à une villageoise qui le haït, ou un petit bonhomme anorexique, il comprend que son combat ne s’arrête pas aux animaux. Lorsque son destin le place sur la route d’un enfant esclave, au visage mutilé, il ne peut pas l’ignorer. Ce ne peut pas être un hasard ; les signes sont là. Il se lance dans une nouvelle mission : l’aider…
À moins de voir le jour poindre sur les terres stériles du Kiremba au Burundi ou vers les sombres vallées du Tadjikistan, on finit tous par trouver un sens à l’existence. Parfois il relève même de l’évidence. Ainsi, Jacques Larrue n’aurait pas aimé naître ailleurs qu’à Graulhet, bercé mais aussi parfois ballotté de touches en mêlées. Grandir au pays du rugby était une bénédiction. Mais à part y jouer – ce qu’il fit intensément gamin, anecdotiquement ensuite – existe-t-il plus grande joie – et privilège – à ses yeux, que de l’écrire, le raconter et le vivre, en permanence, de l’intérieur ? Le Sporting Club Graulhétois, c’est toute une vie pour Jacques Larrue. Le Rugby Club Toulonnais, une expérience étonnante. Palpitante.
L’idée de ces chroniques, lancée comme une boutade autour d’un repas d’anciens journalistes, s’est vite concrétisée, en allumant la flamme de l’écriture, jamais éteinte, mais parfois endormie.
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
Puisse ce modeste livre témoigner de la passion et de l’amour que les élèves de la classe de CE2, CM1 et CM2 de l’école Robert Moretti du Poizat éprouvent pour ce plateau de Retord, à l’instar de Delphine Arène, écrivain, enfant du Haut-Bugey. Ceux qu’attire le champ de neige merveilleux du plateau devineront l’âme farouche et sensible qui a dicté l’écriture de cet ouvrage et qui rôde toujours, vivante, dans ces combes. En toile de fond, la nouvelle commune Le Poizat-Lalleyriat constitue ce nouveau joyau pour le Retord et tisse son avenir par un élan nouveau sous le sourire satisfait de Denis Goiffon.
Frédéric Dumas (1913-1991) est un des pionniers de l’aventure sous-marine, compagnon de Jacques-Yves Cousteau, co-auteur du Monde du Silence. Il a grandement contribué à l’essor de l’archéologie sous-marine, sa passion.
Ce texte inédit de ses mémoires nous fait découvrir cet homme discret et méconnu.
« Quand je me suis exilé, j’ai d’abord estimé que ma femme avait ruiné mon existence en m’éloignant de la civilisation. Au contact de la nature, j’ai vite compris qu’Aurélie m’avait en fait sauvé, à son insu. Il faut que j’en témoigne. Ainsi, sur mon lit de mort, ai-je demandé à Stéphanie et à Claude de raconter ma vie dans les grottes du Tarn. Pour rédiger mes Mémoires, il me fallait des auteurs qui me ressemblent, des auteurs pour lesquels écrire, c’est courir nu dans la baie du Mont-Saint-Michel, c’est hurler en silence. »
Le 12 Novembre 1941 vers 13 heures, par un temps exécrable j’ai assisté, avec mes copains du Camp 4, du Groupement 18 des Chantiers de la Jeunesse Française du Vigan dans le Gard, à la chute de l’avion quadrimoteur qui percuta la montagne dans la forêt et s’embrase au Col du Minier dans le massif de l’Aigoual. Dans des conditions atmosphériques abominables, nous y trouverons sept cadavres. Le soir, j’écrivis une longue lettre à mes parents, relatant la mort du Général Huntziger et des membres de sa suite. J’ai conservé tout le courrier de mes parents et de moi-même, de l’époque de mes vingt ans. En 1948, M. Pierre Mazier historien vient me voir, s’intéresse à mes documents et photos en ma possession.
Nous approchons des huit milliards d’êtres humains sur la planète Terre. Entre microcosme et macrocosme, se trouve l’Êtreté. Qui sommes-nous ? Que faisons-nous dans cet Univers méconnu ?
Passionné depuis toujours par le monde des chats, et en particulier par le Chat sacré de Birmanie, l’auteur nous invite à découvrir la vie de trois chatons, pendant leurs premiers mois d’existence parmi nous. Eleveur familial depuis de nombreuses années, il nous fait suivre pas à pas l’évolution des nouveau-nés. De leur naissance, en passant par leur éveil, leur apprentissage, leur éducation ainsi que leur sevrage, c’est avec passion, humour et bienveillance qu’il suit leurs découvertes et leurs jeux. Le départ du foyer de naissance, à l’issue de cette période de leur vie, donnera l’occasion à de nouvelles familles, de partager les joies de vivre avec ces êtres merveilleux que sont nos compagnons, les Chats.
Ayant dépassé les soixante-seize ans maintenant, je voudrais vous conter mon existence, de ma naissance en 1947 dans la Meuse à mon entrée dans la marine nationale en septembre 1965, jusqu’à la fin de ma carrière en 2007.
Étant doté d’une santé de fer, d’un mental d’acier et de capacités physiques hors du commun – sans oublier un facteur chance qui ne m’a jamais quitté –, il m’a été donné de faire une grande carrière dans la marine nationale, en particulier dans le commando Hubert, celui des nageurs de combat.
Comment vivaient nos aînés ? Vous souhaitez le découvrir au travers de témoignages ? Oui ? Alors entrons ensemble au cœur de leurs souvenirs qu’ils savent rendre si vivants ! À les lire, vous les imaginerez assis autour des animatrices et des animateurs des résidences, racontant à qui mieux mieux comment ils ont traversé les années d’école, vécu des épisodes de la Seconde Guerre mondiale, entamé leur vie au travail, aux champs, échangé leurs recettes et nos traditions provençales.