Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien...
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Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien... Face à une villageoise qui le haït, ou un petit bonhomme anorexique, il comprend que son combat ne s’arrête pas aux animaux. Lorsque son destin le place sur la route d’un enfant esclave, au visage mutilé, il ne peut pas l’ignorer. Ce ne peut pas être un hasard ; les signes sont là. Il se lance dans une nouvelle mission : l’aider…
Le récit de vie de Stéphane Carbonnel est touchant de vérité. Il évoque l’apparition d’une légère schizophrénie qui va, au quotidien, forcément chambouler son existence jusque-là sans histoires. Entre doutes, séjours en hôpitaux, reprise d’une activité professionnelle et liens amicaux, l’auteur passe en revue tous les sentiments par lesquels il est passé. Ce livre est une forme de point final à un combat qu’il a mené de bout en bout avec courage et abnégation. Sans jamais se départir de qui il est et a toujours été…
Elle a quatre ans et demi et s'appelle Angeline. Elle est ma fille adoptive. Après une longue année de procédures, je suis allée la chercher en Haïti, son pays de naissance, et sommes rentrées ensemble le 24 décembre 2010, un de mes plus beaux noëls. J'étais maman pour la première fois. J'ai rêvé et idéalisé ma fille pendant de nombreux mois. Aujourd'hui, la réalité est tout autre. Il nous faut beaucoup de temps pour nous connaître, nous apprivoiser. Dès son arrivée, rapidement, nous rentrons à la clinique ce qui ne favorise pas notre rapprochement. Là tout commence. Chaque jour un nouveau combat s'offre à nous, car les difficultés sont bien présentes. Il faut gérer les colères, la partie médicale, le quotidien.
Dans cet ouvrage la thérapeute Christine Toulemonde évoque ses années d’enfance, de jeunesse, tous ses souvenirs heureux et douloureux. Ses témoignages émouvants, son existence atypique et riche en péripéties ne peuvent nous laisser indifférents.
Toulon libéré, la guerre n’est pas terminée, Monsieur Charles Bruno, mon ami, me demande d’être son second, au sein de l’entreprise de bâtiments Bruno et fils, (c’est lui le fils-gérant), et me confie la partie technico-administrative de la société. Il y a du pain sur la planche, car Toulon a beaucoup souffert ces trois dernières années. J’avais vingt-trois ans. Je passais subitement, à l’évaluation des dommages de guerre (travaux d’urgences) que je chiffrais et donnais aux architectes, puis au Ministère de la Reconstruction pour accord. Charles s’occupait alors des travaux. Je faisais la facturation. L’entreprise était cotée, elle avait de beaux jours devant elle.
Au regard des terribles épreuves qu'elle a rencontrées, Isabelle Bourgeais est une véritable miraculée de la vie. C'est au sein d'un indescriptible chaos quotidien qu'elle a évolué entre maltraitance et inceste infligés très jeune par son beau-père. Personne pour se confier ou lui venir en aide entre un père inexistant et une mère sous l'emprise, elle aussi, de cet homme pervers sadique et manipulateur. Grâce à son témoignage courageux et bouleversant « Le baiser de l’infini », elle passe des mots mortifères aux mots qui libèrent.
Cette femme en souffrance devient auteure en espérance. Mais c'est aussi au bout d'une longue traversée spirituelle, ouvrant la voie à la transcendance, que l'auteure parviendra à ce que son âme ne pleure plus.
Passionné depuis toujours par le monde des chats, et en particulier par le Chat sacré de Birmanie, l’auteur nous invite à découvrir la vie de trois chatons, pendant leurs premiers mois d’existence parmi nous. Eleveur familial depuis de nombreuses années, il nous fait suivre pas à pas l’évolution des nouveau-nés. De leur naissance, en passant par leur éveil, leur apprentissage, leur éducation ainsi que leur sevrage, c’est avec passion, humour et bienveillance qu’il suit leurs découvertes et leurs jeux. Le départ du foyer de naissance, à l’issue de cette période de leur vie, donnera l’occasion à de nouvelles familles, de partager les joies de vivre avec ces êtres merveilleux que sont nos compagnons, les Chats.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
S’expatrier, c’est se lancer vers l’inconnu… À nous les horizons lointains et les aventures inattendues ! À nous les expériences originales mais parfois dangereuses, les belles rencontres humaines, avec toujours l’attrait de voir se dessiner des mondes inconnus. Plus question d’une vie monochrome, il faut aimer les couleurs vives. Antoinette Maux-Robert appartient à une famille où l’expatriation est la règle. Elle a passé de longues années à faire revivre le personnage aventureux de son père, dans quatre livres d’histoire très documentés sur l’Asie d’avant-Mao, qui figurent dans les bibliothèques universitaires. Elle a aussi publié cinq livres de Contes africains, tirés de son travail dans les hôpitaux du Sénégal et des spectacles de marionnettes, montés pour le Noël des enfants malades.
Cela fait plus d’un siècle que les femmes en Iran se battent pour leurs libertés. Même si elles ont obtenu le droit de vote en 1953, la dictature du chah ne leur a pas permis de mener comme elles l’auraient voulu des activités politiques et sociales. À la révolution de 1979, on va assister à une explosion du militantisme féminin qui va affronter l’instauration du fascisme religieux. Ce livre met en lumière un chapitre méconnu de ce combat brillant qui a fait des femmes l’ennemi numéro un de l’extrémisme islamiste.
Un magnifique couple, sept ans de mariage, cinq FIV et le bonheur total à votre naissance, Alexia et Gary. Une violente bagarre conjugale quelques semaines plus tard qui ressemble davantage à un guet-apens et te voilà, mon fils, Peter, privé de tout du jour au lendemain. Ton épouse enchaînant avec des accusations immondes qu’elles sont des milliers de femmes à utiliser pour priver les pères de leurs droits… Surfant sur la vague « femmes battues » et MeToo, tous l’ont crue sans mettre en doute ses qualités de « mère d’exception » !
S’il y a bien un domaine prépondérant qui a connu de nombreux changements, et pas forcément positifs, c’est bien celui de la scolarité. Des méthodes d’enseignement en passant par le système de notation, sans oublier les relations avec les élèves et les parents…
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien...