Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien...
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Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien... Face à une villageoise qui le haït, ou un petit bonhomme anorexique, il comprend que son combat ne s’arrête pas aux animaux. Lorsque son destin le place sur la route d’un enfant esclave, au visage mutilé, il ne peut pas l’ignorer. Ce ne peut pas être un hasard ; les signes sont là. Il se lance dans une nouvelle mission : l’aider…
Ce tome II des mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer a été difficile à rédiger. L’hommage rendu aux femmes était nécessaire, il ne fut pas simple à mettre en forme. Vraies et pudiques. Les femmes ont voulu témoigner ainsi. Le choix du témoignage nous a semblé la meilleure mise en page possible pour ce type de recueil. « Luttes et travail » en découlent naturellement. Nous n’avons pu échapper à l’intense attachement que nous avons eu pour cette prestigieuse entreprise que furent les Chantiers de La Seyne-sur-Mer, sentiment qui persiste encore aujourd’hui. Ensemble c’est le récit de notre aliénation et des luttes pour nous libérer qui est ici mis en page. Sans fard, ni lieu commun, sur le mouvement ouvrier seynois, dont notre présent porte encore les stigmates.
Ce petit personnage très attachant, fille aînée de Tatiana, vous séduira par sa spontanéité, sa gentillesse, son intelligence hors du commun. Effrontée, lucide, elle n’en est pas moins une peste qui fait l’unanimité autour d’elle. Sa fragilité, ses émotions à fleur de peau, sa maîtrise en toutes circonstances en font une adorable fillette qui ravira le cœur de Jeannot. Son défaut de langue, ses yeux de braise et ses pitreries vous feront passer de merveilleux moments de lecture. Junior est une surdouée heureuse de vivre… Mais, elle prendra une décision immédiate, radicale, qui va affoler son entourage, confrontée à une situation qu’elle n’accepte pas. L'émotion est au rendez-vous. Le rire aussi.
Le service aux Chantiers de la Jeunesse achevé, je reprenais mes activités aux Travaux Maritimes. J’étais affecté dans la salle où j’avais passé mon examen d’entrée, occupée par un seul dessinateur Bugeau, Ingénieur des Arts et Métiers, qui allait devenir mon ami. Je devais passer là, dans cette grande pièce, encombrée de tables à dessin, tables et chaises, les meilleurs temps aux Travaux Maritimes, jusqu'à l’occupation allemande de Novembre 1942. C’était un lieu de passage entre les services administratifs et techniques, d’examens, de rencontres, presque de détente. Je n’en dirais pas plus.
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
Je t’aime, ma chérie… Ces simples mots, je les ai attendus toute ma vie, mais jamais ils ne sont venus. Les seules paroles que ma mère était capable de prononcer à mon égard n’étaient que sentences critiques : – Tu es chétive, tu ne feras jamais rien de bon, tu es inutile. Ainsi, peu à peu, émergeant du plus profond de mon être, naquit l’ours. Je devins la personne que ma mère avait créée ; bourrue, insociable, muette. Elle avait gagné et pouvait à loisir me détruire. Recluse dans ma tanière, je ne permettais à personne de franchir les portes de mon refuge. Une femme qui a mis au monde un enfant doit lui prodiguer tout son amour. Seule alors, grand-mère réussit à gagner mon affection.
Dès les premiers «mots» nous sommes frappés par la passion profonde que génère ce lieu mythique, cette forteresse à double entrée. Mayol, cette arène féroce pour nos adversaires, mais surtout ce théâtre de «symphonies» rythmées par le cœur des supporters.
Être au bord de la rade et vivre «le naufrage des mots anciens» a poussé Jean-Claude à perpétuer la tradition pour lutter contre la «morosité» en nous offrant ce livre.
Tel «le Cœur de l’océan» du Titanic, les mots se perdent mais ne sont pas si loin. Laissez-vous guider par le philtre d’un passionné, vous verrez… vous les retrouverez. Grâce à Jean-Claude ils remontent à la surface et ne demandent qu’à se répandre dans les travées de Mayol.
Parti du Var à la fin du 19è siècle, le Théâtre ambulant Désiré Ravel a donné des dizaines de représentations durant de nombreuses années. Au rythme du cheval, au gré des saisons, cet ouvrage vous transportera à travers et jusqu’aux confins de la Provence. Des petites villes aux hameaux les plus isolés, vous cheminerez auprès d’une bande « d’intermittents du spectacle ». Ces personnages hauts en couleur, acteurs ou victimes d’anecdotes plus ou moins heureuses, sont les témoins d’un temps révolu que l’auteur fait revivre avec ardeur et poésie.
Camille est l’aînée de nos petits-enfants. Elle adore se déguiser et, ce jour-là, elle s’est coiffée d’un petit chapeau rond et fleuri qui lui sied à merveille...
Au regard des terribles épreuves qu'elle a rencontrées, Isabelle Bourgeais est une véritable miraculée de la vie. C'est au sein d'un indescriptible chaos quotidien qu'elle a évolué entre maltraitance et inceste infligés très jeune par son beau-père. Personne pour se confier ou lui venir en aide entre un père inexistant et une mère sous l'emprise, elle aussi, de cet homme pervers sadique et manipulateur. Grâce à son témoignage courageux et bouleversant « Le baiser de l’infini », elle passe des mots mortifères aux mots qui libèrent.
Cette femme en souffrance devient auteure en espérance. Mais c'est aussi au bout d'une longue traversée spirituelle, ouvrant la voie à la transcendance, que l'auteure parviendra à ce que son âme ne pleure plus.
S’expatrier, c’est se lancer vers l’inconnu… À nous les horizons lointains et les aventures inattendues ! À nous les expériences originales mais parfois dangereuses, les belles rencontres humaines, avec toujours l’attrait de voir se dessiner des mondes inconnus. Plus question d’une vie monochrome, il faut aimer les couleurs vives. Antoinette Maux-Robert appartient à une famille où l’expatriation est la règle. Elle a passé de longues années à faire revivre le personnage aventureux de son père, dans quatre livres d’histoire très documentés sur l’Asie d’avant-Mao, qui figurent dans les bibliothèques universitaires. Elle a aussi publié cinq livres de Contes africains, tirés de son travail dans les hôpitaux du Sénégal et des spectacles de marionnettes, montés pour le Noël des enfants malades.
Je m’appelle Ilham. Ilham Safieddine. Je suis libanaise, et j’aurai bientôt cinquante-huit ans.
Je rêvais beaucoup, je ne rêve plus. Mes rêves, je les mets dans ce livre qui est maintenant entre vos mains. Il les contient tous.
Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien...