El policía que protege a los GORILAS de Fabrice MARTINEZ
Référence: L2291
18,00 €
TTC
Fabrice Martinez susurra al oído de los grandes simios, lo que le convierte en un policía muy especial. Se vio a sí mismo como un explorador y terminó uniéndose a las filas de la policía por vocación. Pero una pasión se aferraba a él : ¡los gorilas! Una admirable mujer, Dian Fossey, luchaba en Ruanda para evitar su desaparición. Murió asesinada, de seis golpes de machete, la noche del 26 de diciembre de 1985. Al día siguiente, Fabrice fundó GORILLA, la primera asociación francesa en defensa de los gorilas. Viajó hasta Ruanda, donde plantó su tienda de campaña al pie de un volcán, en el territorio de los últimos gorilas de montaña. En África se le conoce como : “el policía blanco que quiere salvar a los gorilas”.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Fabrice Martinez susurra al oído de los grandes simios, lo que le convierte en un policía muy especial. Se vio a sí mismo como un explorador y terminó uniéndose a las filas de la policía por vocación. Pero una pasión se aferraba a él : ¡los gorilas! Una admirable mujer, Dian Fossey, luchaba en Ruanda para evitar su desaparición. Murió asesinada, de seis golpes de machete, la noche del 26 de diciembre de 1985. Al día siguiente, Fabrice fundó GORILLA, la primera asociación francesa en defensa de los gorilas. Viajó hasta Ruanda, donde plantó su tienda de campaña al pie de un volcán, en el territorio de los últimos gorilas de montaña. En África se le conoce como : “el policía blanco que quiere salvar a los gorilas”. Estos simios están en vía de extinción por culpa de los hombres que los cazan y destruyen inexorablemente su hábitat natural.
« Ne connaîtra jamais l'amour celui qui a connu l'amour avant la rencontre. »
Rencontre à quinze ans, fiançailles à vingt, épousailles à vingt-deux ans. Durant cinquante-cinq ans, la vie s'écoulera douce et tranquille, comme éternelle. Un jour, la Camarde viendra frapper à la porte. Ce sera pareil à un tremblement de terre : les paysages se renverseront, des pans entiers de blocs se décrocheront d'une colline, tout ce qui est à l'endroit se retrouvera à l'envers. Ce sera le début d'un autre temps.
Voici un livre utile : dans l'historiographie de Saint-Mandrier et des cafards, ainsi qu'étaient naguère surnommés ses habitants, il dépoussière, trie, fait le ménage, range. Voici un livre intelligent : il indique les limites actuelles de nos connaissances, fait un état des richesses naturelles et architecturales du territoire, étudie l'évolution de la population, trace des pistes, ouvre des perspectives, donne à réfléchir. Voici un livre qui devrait être la bible des décideurs politiques ou apprentis décideurs : ils y trouveraient matière à agir pour le bien-être de la collectivité.
Ma vie, consacrée à une activité professionnelle débordante, s’éclaire d’une embellie soudaine : une rencontre, un sourire, peut-être des perspectives d’avenir… Très vite, l’éclaircie poussée par les vents de la discorde s’éloigne. Une naissance inattendue, le sourire d’un bébé innocent, annonceraient-ils le retour de l’espoir ? Mais la rupture gronde, le couple se casse. Janus intransigeant kidnappe mon enfant qui s’attache de plus en plus à moi. Une justice malentendante et malvoyante, prisonnière de ses multiples faiblesses et de ses préjugés, m’écarte de lui. L’amour paternel est fort et une lutte inégale s’engage contre cette justice frileuse qui m‘impose une attente infernale. Mon fils, 2 ans, grandira-t-il loin de moi ?
Le médecin attitré de Porquerolles depuis de longues années a décidé de réaliser un ouvrage pour revenir sur cette expérience professionnelle si atypique. Il en résulte des anecdotes assez exceptionnelles mais aussi et surtout des tranches de vie saisissantes de sincérité, de simplicité et empreintes d’humour. Comme il le dit lui-même : « Sur cette île tout devient possible comme être sur les traces de Barberousse ou y croiser Zinedine Zidane... ».
Ayant dépassé les soixante-seize ans maintenant, je voudrais vous conter mon existence, de ma naissance en 1947 dans la Meuse à mon entrée dans la marine nationale en septembre 1965, jusqu’à la fin de ma carrière en 2007.
Étant doté d’une santé de fer, d’un mental d’acier et de capacités physiques hors du commun – sans oublier un facteur chance qui ne m’a jamais quitté –, il m’a été donné de faire une grande carrière dans la marine nationale, en particulier dans le commando Hubert, celui des nageurs de combat.
Frédéric Dumas (1913-1991) est un des pionniers de l’aventure sous-marine, compagnon de Jacques-Yves Cousteau, co-auteur du Monde du Silence. Il a grandement contribué à l’essor de l’archéologie sous-marine, sa passion.
Ce texte inédit de ses mémoires nous fait découvrir cet homme discret et méconnu.
Il est souvent reproché aux hommes et femmes politiques d’être déconnectés de la réalité du commun des Français. À la lecture de son récit de vie chacun comprendra que ce n’est pas le cas de Valérie Gomez-Bassac.
Un témoignage tout en sincérité. Que de chemin parcouru entre une enfance passée dans les cités des Alpes-Maritimes, où il a fallu faire face aux difficultés de l’existence, à son entrée au palais Bourbon. L’étudiante qui travaillait comme caissière pour financer son diplôme de droit peut être fière d’elle mais page après page, ligne après ligne il n’est jamais question de jouer les donneuses de leçon. Au contraire le message, en filigrane, reste que lorsque la motivation est à son paroxysme alors tous les rêves, même les plus fous peuvent devenir réalité.
Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
L’idée de ces chroniques, lancée comme une boutade autour d’un repas d’anciens journalistes, s’est vite concrétisée, en allumant la flamme de l’écriture, jamais éteinte, mais parfois endormie.
« La langue de chez nous autres, elle utilise tous les dialectes, toutes les expressions, toutes les langues latines pour dire les phrases et les mots qui nous passent par la tête. Alors, plutôt que de vous saouler sans anisette, mieux je vous tape le dictionnaire de chez moi pour vous parler du parler de chez nous autres. C’est un mélange « trabadia la mouquère » avec des zestes venus de tous les citronniers du monde entier mais c’est çuila que je parlais dans ma famille qu’elle est issue de Bab El Oued mais aussi de la casbah judéo-arabe. Mon maître d’orthographe de la rue Rochambeau y s’en est allé rejoindre le pays de bon dieu, reusement le pauvre, ou sinon y meurt de mauvais sang.