Qui pouvait le mieux parler d’un mineur de mines de bauxite qu’un mineur, avec son cœur et sa générosité, pour le transmettre aux nouvelles générations ? Au travers de son aventure personnelle, Roger Dispard, cadre à Péchiney, nous conte sa carrière.
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Qui pouvait le mieux parler d’un mineur de mines de bauxite qu’un mineur, avec son cœur et sa générosité, pour le transmettre aux nouvelles générations ? Au travers de son aventure personnelle, Roger Dispard, cadre à Péchiney, nous conte sa carrière.
Toulon libéré, la guerre n’est pas terminée, Monsieur Charles Bruno, mon ami, me demande d’être son second, au sein de l’entreprise de bâtiments Bruno et fils, (c’est lui le fils-gérant), et me confie la partie technico-administrative de la société. Il y a du pain sur la planche, car Toulon a beaucoup souffert ces trois dernières années. J’avais vingt-trois ans. Je passais subitement, à l’évaluation des dommages de guerre (travaux d’urgences) que je chiffrais et donnais aux architectes, puis au Ministère de la Reconstruction pour accord. Charles s’occupait alors des travaux. Je faisais la facturation. L’entreprise était cotée, elle avait de beaux jours devant elle.
« Il y a des flics bien singuliers », chantait Brassens. Fabrice MARTINEZ, à n’en pas douter, fait partie de ceux-là, lui qui murmure à l’oreille des grands singes. Il se voyait lointain explorateur et finit par intégrer les rangs de la police, par vocation. Mais une violente passion le cheville au corps : les gorilles ! Une femme admirable, Diane FOSSEY, se bat au Rwanda pour empêcher leur disparition. Elle meurt assassinée de six coups de machette, le 26 décembre 1985. Dès le lendemain, Fabrice fonde l’Association Gorilla et s’envole pour le Rwanda où il plante sa tente au pied d’un volcan, sur le territoire des gorilles de montagne. En Afrique, il est désormais connu comme le policier blanc qui veut sauver les gorilles.
Jeune ingénieur des Ponts, plein d’idéal et de fantaisie, Henri Maux a 26 ans, lorsqu’il s’embarque à destination du Cambodge, où l’attend son premier poste. Pendant cinq ans, il va vivre une aventure exceptionnelle, se passionnant pour la civilisation khmère et pour le sort des habitants de ce pays neuf, où de grands travaux ont été lancés par la métropole : routes, ponts et construction du premier chemin de fer…. Il parcourt le pays à cheval, en voiture ou à dos d’éléphant, et apporte son aide aux grands conservateurs d’Angkor. C’est avec une réelle nostalgie qu’il quitte le Cambodge pour poursuivre sa carrière en Cochinchine, pendant trois ans.
11 mars 2011, séisme et tsunami au Japon. En France, une femme vit le drame en direct par écrans interposés : son fils Rémi est installé là-bas. Il s’apprête à épouser Yuko, une Japonaise. Six mois plus tard, conviée à leur mariage, elle les rejoint. Hélas, le Japon n’est pas un pays de tout repos, elle le découvre à ses dépens : expériences cocasses, étranges ou éprouvantes se succèdent. Retirée sur une île de l’océan indien, elle prend enfin le temps de déplier l’origami de cette année-là et de chercher la cause de ses égarements. L’écriture parviendra-t-elle à élucider ce passé ?
Il est souvent reproché aux hommes et femmes politiques d’être déconnectés de la réalité du commun des Français. À la lecture de son récit de vie chacun comprendra que ce n’est pas le cas de Valérie Gomez-Bassac.
Un témoignage tout en sincérité. Que de chemin parcouru entre une enfance passée dans les cités des Alpes-Maritimes, où il a fallu faire face aux difficultés de l’existence, à son entrée au palais Bourbon. L’étudiante qui travaillait comme caissière pour financer son diplôme de droit peut être fière d’elle mais page après page, ligne après ligne il n’est jamais question de jouer les donneuses de leçon. Au contraire le message, en filigrane, reste que lorsque la motivation est à son paroxysme alors tous les rêves, même les plus fous peuvent devenir réalité.
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
Marquee Club à Londres, Golf Drouot à Paris, Star Club à Hambourg et Twenty Club à Mouscron ! Le Twenty, ancien dancing du Relais de la Poste, devient ce lieu mythique des sixties grâce à Jean Vanloo. Après Gene Vincent, il fait venir Animals, Small Faces, Kinks, Moody Blues, The Jimi Hendrix Experience, Yardbirds avec Jimmy Page...
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !