LA MAGIE DU FICUS Souvenirs du Sénégal d'Antoinette MAUX ROBERT
Référence: L1919
20,00 €
TTC
S’expatrier, c’est se lancer vers l’inconnu… À nous les horizons lointains et les aventures inattendues ! À nous les expériences originales mais parfois dangereuses, les belles rencontres humaines, avec toujours l’attrait de voir se dessiner des mondes inconnus. Plus question d’une vie monochrome, il faut aimer les couleurs vives. Antoinette Maux-Robert appartient à une famille où l’expatriation est la règle. Elle a passé de longues années à faire revivre le personnage aventureux de son père, dans quatre livres d’histoire très documentés sur l’Asie d’avant-Mao, qui figurent dans les bibliothèques universitaires. Elle a aussi publié cinq livres de Contes africains, tirés de son travail dans les hôpitaux du Sénégal et des spectacles de marionnettes, montés pour le Noël des enfants malades.
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Camille est l’aînée de nos petits-enfants. Elle adore se déguiser et, ce jour-là, elle s’est coiffée d’un petit chapeau rond et fleuri qui lui sied à merveille. Pour compléter la tenue, sa grand-mère lui propose une jupe en velours écarlate, et un chemisier en dentelles blanches qui ressemble à un surplis d’enfant de chœur. Camille s’assied au bord d’un canapé romantique, tout chatoyant de satin vert, et prend une pose qui inspire le peintre son grand-père. Son regard rêveur se perd dans la contemplation d’une vision heureuse qui amène sur ses lèvres le reflet d’un sourire. Son visage respire la douceur et la gentillesse. Et voilà comment notre “petit Renoir” est né, l’un des premiers et des plus réussis, portraits de Papitût... Ce portrait est l’un des cinquante tableaux de Claude Robert, sélectionnés par son épouse Antoinette Maux-Robert – auteure – qui s’est chargée ensuite d’écrire les textes. Cet ouvrage intitulé “Duo de grands-parents” est une illustration d’un “métier” qui, sans contexte, est le plus beau du monde !
PROPRIÉTAIRE de bonne foi, l’auteur a fait confiance à un homme. Il lui a remis les clés de son appartement contre la promesse d’un virement immédiat. Ce locataire indélicat est resté TROIS ANS sans débourser un centime, DONT DEUX grâce ou à cause de la justice. Après avoir SUBI, devant un tribunal de proximité, une procédure judiciaire dont la longueur excessive lui a causé un PRÉJUDICE FINANCIER, l’auteur s’est interrogé. Il nous livre une ANALYSE IMPITOYABLE de cette justice qui s’arroge le droit d’être lente sans avoir à en rendre compte même quand cette lenteur génère l’injustice. Ce livre est un TÉMOIGNAGE qui révèle les faiblesses de notre justice de proximité et un DÉFI lancé aux plus hautes autorités sous forme de deux questions : SEREZ-VOUS CAPABLES d’entendre ces critiques ?
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Dans la vie il y a des cycles. Certains sont positifs et d’autres testent vraiment votre capacité à rebondir après les coups durs. Ce fut mon cas lorsque, au sortir d’un confinement qui nous a tous de près ou de loin bien chamboulés, j’ai découvert en septembre 2020 une grosseur sur mon sein gauche. Le stress fut logiquement immédiat. Après une mammographie, une échographie, une IRM et une biopsie, mon gynécologue m’a annoncé que j’avais un cancer du sein. Le tourbillon infernal a alors commencé pour ma famille et pour moi-même avec les examens médicaux, l’opération, les séances de radiothérapie, le traitement d’hormonothérapie, les doutes, les angoisses, puis la dépression.
Il est souvent reproché aux hommes et femmes politiques d’être déconnectés de la réalité du commun des Français. À la lecture de son récit de vie chacun comprendra que ce n’est pas le cas de Valérie Gomez-Bassac.
Un témoignage tout en sincérité. Que de chemin parcouru entre une enfance passée dans les cités des Alpes-Maritimes, où il a fallu faire face aux difficultés de l’existence, à son entrée au palais Bourbon. L’étudiante qui travaillait comme caissière pour financer son diplôme de droit peut être fière d’elle mais page après page, ligne après ligne il n’est jamais question de jouer les donneuses de leçon. Au contraire le message, en filigrane, reste que lorsque la motivation est à son paroxysme alors tous les rêves, même les plus fous peuvent devenir réalité.
Les EHPAD sont la cible régulière de critiques, parfois virulentes, qui entachent leur réputation. Pourtant la volonté des professionnels est tout autre. À travers cet ouvrage, le lecteur découvrira que ce lieu de vie offre tout simplement la poursuite d’un long parcours de vie avec ses joies, ses tristesses, ses compromis et ses handicaps. Mais pour ce faire, de nombreux questionnements s’imposent pour concilier les droits et libertés individuelles, la vie en collectivité et les règles normatives parfois contradictoires.
Camille est l’aînée de nos petits-enfants. Elle adore se déguiser et, ce jour-là, elle s’est coiffée d’un petit chapeau rond et fleuri qui lui sied à merveille...
Chaque vie est unique. Toutes les douleurs sont aussi personnelles qu’incompréhensibles lorsque ce ne sont pas les nôtres. Mettre en mots des maux redonne un élan, un sens et une représentation différente d’un parcours parfois chaotique.
Suivre Charlotte dans ses années d’existence et comprendre pourquoi apporter son aide est essentiel pour elle, en raison de la traversée atypique des méandres de son « chemin de l’eau », va peut-être faire écho à des vécus analogues.
L’idée d’avancer vers la découverte d’un probable mystère en se plongeant dans des souvenirs et leur analyse est alimentée par une énergie puisée dans chaque instant afin de la libérer de son secret.
« Il y a des flics bien singuliers », chantait Brassens. Fabrice MARTINEZ, à n’en pas douter, fait partie de ceux-là, lui qui murmure à l’oreille des grands singes. Il se voyait lointain explorateur et finit par intégrer les rangs de la police, par vocation. Mais une violente passion le cheville au corps : les gorilles ! Une femme admirable, Diane FOSSEY, se bat au Rwanda pour empêcher leur disparition. Elle meurt assassinée de six coups de machette, le 26 décembre 1985. Dès le lendemain, Fabrice fonde l’Association Gorilla et s’envole pour le Rwanda où il plante sa tente au pied d’un volcan, sur le territoire des gorilles de montagne. En Afrique, il est désormais connu comme le policier blanc qui veut sauver les gorilles.
L’auteur Stéphane Carbonnel nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître celui du service militaire. Une parenthèse de quelques mois, jadis obligatoire et désormais facultative. Et c’est quelque part regrettable car nombreux sont les hommes qui resteront marqués à vie par ces moments-là. Des doutes liés à l’incorporation à l’adaptation à la vie de la caserne sans oublier la solidarité affichée pendant les manœuvres. Et bien d’autres émotions encore que l’on retrouve dans cet ouvrage qui fait aussi la part belle à la rigolade et aux anecdotes truculentes. « Le premier impôt » fait partie de ceux que l’on paie volontiers soit pour se remémorer des souvenirs similaires ou découvrir ces tranches de vie par essence éphémères…
Comment vivaient nos aînés ? Vous souhaitez le découvrir au travers de témoignages ? Oui ? Alors entrons ensemble au cœur de leurs souvenirs qu’ils savent rendre si vivants ! À les lire, vous les imaginerez assis autour des animatrices et des animateurs des résidences, racontant à qui mieux mieux comment ils ont traversé les années d’école, vécu des épisodes de la Seconde Guerre mondiale, entamé leur vie au travail, aux champs, échangé leurs recettes et nos traditions provençales.
« Dans les yeux de ma fille » est le récit poignant d’une mère, Noëlle BARBIÉRA, confrontée à l’impensable : voir sa fille fauchée par une tumeur cérébrale. L’autrice livre avec justesse un témoignage bouleversant de courage, d’espoir et d’amour maternel, porté par une plume sensible et lucide. De la sidération initiale à la lente reconstruction, ce livre explore la résilience face au chaos médical, la révolte face aux défaillances du système, et la puissance indéfectible du lien mère-fille. Une œuvre intime et universelle, miroir de toutes les douleurs silencieuses, à lire comme un cri du cœur.
S’expatrier, c’est se lancer vers l’inconnu… À nous les horizons lointains et les aventures inattendues ! À nous les expériences originales mais parfois dangereuses, les belles rencontres humaines, avec toujours l’attrait de voir se dessiner des mondes inconnus. Plus question d’une vie monochrome, il faut aimer les couleurs vives. Antoinette Maux-Robert appartient à une famille où l’expatriation est la règle. Elle a passé de longues années à faire revivre le personnage aventureux de son père, dans quatre livres d’histoire très documentés sur l’Asie d’avant-Mao, qui figurent dans les bibliothèques universitaires. Elle a aussi publié cinq livres de Contes africains, tirés de son travail dans les hôpitaux du Sénégal et des spectacles de marionnettes, montés pour le Noël des enfants malades.