Je m’appelle Jean de mon prénom et Sanglard est mon nom de famille, comme il était aussi celui de mon père. J’habite Saint-Jean-d’Azur, un petit bourg provençal situé dans le massif des Maures, où les collines longent le bord de mer et tombent souvent à pic dans les flots, en formant des caps et des baies. Du cœur de mon village, la vue sur les îles d’Or est une pure merveille. L’histoire que je vais vous conter, à travers celles de François Chauvet et de Charles-Edouard de Vermont, officiers provençaux de la Marine royale, comme moi enfants de ce pays, est aussi celle de la France, côté mer pourrait-on dire, pendant plus de quarante ans ! Nous sommes en avril 1664, quelques jours avant les fêtes de Pentecôte…
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Je m’appelle Jean de mon prénom et Sanglard est mon nom de famille, comme il était aussi celui de mon père. J’habite Saint-Jean-d’Azur, un petit bourg provençal situé dans le massif des Maures, où les collines longent le bord de mer et tombent souvent à pic dans les flots, en formant des caps et des baies. Du cœur de mon village, la vue sur les îles d’Or est une pure merveille. L’histoire que je vais vous conter, à travers celles de François Chauvet et de Charles-Edouard de Vermont, officiers provençaux de la Marine royale, comme moi enfants de ce pays, est aussi celle de la France, côté mer pourrait-on dire, pendant plus de quarante ans ! Nous sommes en avril 1664, quelques jours avant les fêtes de Pentecôte…
En 683, Dihya, fille de l’Amghar Tabet, femme ardente d’une très grande beauté, chevauche son destin à la tête de ses troupes et de diverses tribus Berbères nomades et semi-nomades de Numidie. Elle rassemble autour d’elle les cavaliers des Banou Ifren, les Nefzaoua, les Aoureba, les Sanhadja au liham noir qui galopent avec leurs chevaux et les Djeraoua dont elle était la Reine. Cette héroïne indomptable, cette femme d’avant garde, tout le monde la revendique…
Le goût de l’aventure, la volonté de rompre avec la monotonie de sa vie, poussent un jeune Maltais à quitter son île en 1846. A bord d’une goélette anglaise une histoire d’amour se noue, mais il devra être débarqué à Djidjelli avec sa compagne.
Le général de Gaulle est sans contestation possible l’un des hommes politiques les plus populaires de l’histoire de France. Mais c’était à une époque où les réseaux sociaux et les chaines d’information en continu n’existaient pas. De plus les médias se voulaient bienveillants à l’égard du pouvoir. L’auteur Pierre Vedel remonte le temps via cet ouvrage au titre évocateur et symbolique « Deux Gaulle » et dévoile les différentes facettes de l’ancien président de la République. Références historiques à l’appui, l’écrivain révèle que derrière l’homme adulé se cache aussi un être manipulateur qui n’a jamais lésiné sur les moyens pour arriver à ses fins notamment lors de la Seconde Guerre mondiale puis la guerre d’Algérie.
En tant que syllectimane, j’ai accumulé en plus de cinquante années pas mal de choses. À côté de mes collections de canettes de bières anglaises, de bandes dessinées, il y a maintenant une collection de timbres relatant la vie de Napoléon Bonaparte, personnage fascinant s’il en est.
Où était Napoléon ce jour-là ? Qu’a-t-il fait ? Quel était son état d’esprit ? Cet ouvrage de référence est le seul qui témoigne avec autant de détails de l’ascension fulgurante de Napoléon Bonaparte jour après jour, de sa naissance à la prise du pouvoir, le 18 Brumaire. Cette chronologie de l’histoire napoléonienne dont ne pourraient se passer tous les passionnés, va conduire le lecteur à travers toute l’Europe et l’Égypte. Comment cet homme de génie, un des plus grands stragèges de tous les temps va nous faire revivre jour après jour, non seulement son ascension personnelle, mais également la progression de la France dans toutes ses fonctions, tant dans le social que dans l’administration du pays ainsi que dans le monde militaire ?
Après avoir rappelé les épisodes les plus marquants de l’histoire mouvementée de Toulon, l’auteur – qui s’exprime en tant que citoyen lambda - raconte ses souvenirs liés à la ville, depuis son enfance pendant la guerre, et sa scolarité au « lycée de Toulon », qui est devenu le collège Peiresc.
Il rappelle les grandes lignes de la reconstruction de l’après-guerre et les développements qui ont suivi jusqu’à ce jour. Au passage, il s’exprime avec une totale liberté en donnant quelques coups de griffe à la classe politique tout en distribuant des satisfecit mérités.
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
Un célèbre éditeur parisien disparait en partant sur les races d’une femme écrivain. C’est le point de départ d’une quête irraisonnée de personnages qui se croisent et qui défient le temps. Mythes, légendes, traditions et fiction se côtoient dans ce roman aux multiples facettes.
Rescapée du naufrage du Titanic en avril 1912, Berthe Leroy fut quelques jours enregistrée sous l’identité de Bertha Lavory. Elle devenait ainsi l’inconnue du Carpathia, navire qui recueillit les rescapés.
Inconnue, cette anonyme fille de mineur l’aura été pendant toute son existence, inattendue, pleine d’enchantements et de drames, de suspense et de rebondissements… Comme le temps remet toujours les pendules à l’heure, le moment était venu de jeter un autre regard sur ce qu’elle fut, d’ajouter des pièces inédites au dossier et de rétablir des vérités. Ce roman le fait sous forme d’enquête et en empruntant les voies du polar.
Ce troisième volume détaille l’impact des traditions et de la religion, au fil des siècles, sur la vie des Provençaux.
L’Église et ses paroissiens ont sans cesse construit ou reconstruit chapelles, églises et monastères. Ce remarquable patrimoine, présent dans chaque village, participe aujourd’hui à l’essor du tourisme culturel.
L’image des débuts du monachisme s’inscrit dans le contexte médiéval tardif, en permettant de justifier et de légitimer un retour à un âge d’or du monachisme, où la vie des premiers ascètes de la Thébaïde montre quelles doivent être les activités des moines, activités au premier rang desquelles se placent la prière et le travail manuel. Quand cette dernière prend trop d’importance au cours du Moyen Âge, celui-ci légitime donc le retour à des activités manuelles certes pénibles, mais aussi simples et saines, des premiers moines, et montre la vision d’un monde peuplé d’ermites, rêvé, projeté ou imaginé.
Le Var est un département à l’histoire géologique riche et complexe. Plusieurs centaines de millions d’années d’évolution, de changements climatiques et environnementaux s’étalent sous les yeux de qui sait lire les roches.