Yaweh, Dieu, Allah, Shiva, Vishnou. Une pléiade de dieux s'offre à notre adoration. Sont-ils « un » ou l'un d'eux est-il le « meilleur » ? Si les hommes ne se combattaient pas sans cesse au nom de l'un d'entre eux, on pourrait facilement les unifier, en dépassant les particularités culturelles qui les ont nommés. En fait, il est clair que « Dieu » ou la Divinité est vrai car s'il est Dieu, il ne peut être qu'Unique. Pourquoi ne les nommerait-on pas Shiva. L'image de Shiva est la meilleure car elle décrit mieux qu'aucune autre les points de vue Transcendant et Immanent, Inconnaissable et Créateur.
Ce XIIIème carnet aborde de front la mystique tantrique par la théorie du Spanda, ou de la vibration. Il montre que, si dans l’univers tout est mouvement, ce qui est une description relevant de la Physique, l’origine de ce mouvement et sa signification sont données par le Shivaïsme non dualiste. La vibration devient alors la manifestation générale de Shiva en sa création, y compris dans la Conscience.
Le tarot de Marseille est le livre d’images sacrées où sont inscrits secrètement tous les trésors cachés de la Bible. Chaque arcane est une parabole dont il faut découvrir les significations infinies.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Pourquoi cet Évangile est-il dit « provençal » ? Parce que, selon Anne-Catherine Emmerich, à partir de l’an 37 de notre Ère, Lazare et ses deux sœurs (Marthe et Marie-Madeleine), ainsi que Sidoine, Saint-Maximin et quelques autres sont effectivement venus évangéliser la Provence. Les trois premiers volumes de ces Récits sur les premiers temps de l’Ère chrétienne sont déjà « centrés » sur tous ceux qui, une dizaine d’années plus tard, se retrouveront en divers lieux de la Provence romaine. Ainsi, c’est seulement lorsqu’il aura atteint puis dépassé l’an 37 de notre ère que cet ouvrage méritera véritablement son titre, qu’il porte encore, pour l’instant, par anticipation.
Les Dames de Saint-Maur se sont installées à Toulon en 1686, lorsque Monseigneur de Chalucet, Evêque du diocèse, a sollicité leur aide pour éduquer les jeunes filles de notre cité, à une époque où l’éducation publique faisait défaut. Elles accomplirent leur mission pendant près de deux siècles et demi dans différents établissements toulonnais. C’est en 1842 qu’elles s’installèrent au quartier de Valbourdin, dans une grande propriété alors dénommée le « champ clos » où un internat et un externat fonctionnèrent jusqu’en 1906. Les Dames de Saint-Maur ont participé à la vie de Toulon, marquant de leurs empreintes l’histoire locale, en menant des actions auprès des enfants et des adolescentes, puis après la première guerre mondiale, au service des personnes âgées.
Dans le premier Volume de L’Évangile provençal, du 5 juin au 5 décembre de l’an 26, nous avons pu, par exemple, assister au Baptême du Seigneur par Jean-le-Baptiste, puis aux quarante jours de Jeûne du Christ, tels qu’Anne-Catherine Emmerich nous les fait revivre. Avec le début de ce second Volume, nous serons assez vite aux Noces de Cana. Et nous suivrons le Seigneur et Ses proches (notamment celles et ceux qui viendront une dizaine d’années plus tard christianiser la Provence), du 6 décembre de l’an 26 au 24 août de l’an 27. En chemin, le lecteur pourra assister à l’émouvante rencontre entre le Seigneur et la Samaritaine, au Puits de Jacob.
Pour les amis du Christ et pour tous ceux qui s’intéressent à ses proches, les révélations faites à l’ancienne petite bergère allemande devenue religieuse augustinienne, Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) sont une source d’informations considérable, même si elle n’a fréquenté l’école primaire que quatre mois.
La Cristiada (1926-1929) est un épisode dramatique encore peu connu de l’histoire du Mexique. Seulement quelques ouvrages de langue française lui ont été consacrés et le film Les Cristeros a été chichement diffusé en France. José Sanchez del Rio, qui en est l’un des deux principaux personnages avec le général Gorostieta, interprété par Andy Garcia, s’était engagé à quatorze ans pour défendre la liberté religieuse. Fait prisonnier, il a été victime de mauvais traitements pendant trois jours et finalement martyrisé. Benoît XVI l’a béatifié en 2005 et il a été canonisé par le pape François le 16 octobre 2016.
Cette réédition de « La vie de Monseigneur Antoine Daveluy », écrite par Charles Salmon en 1883, paraît aujourd’hui sous le titre de « La vie de saint Antoine Daveluy » puisque ce Picard, évêque d’Acônes, martyr en Corée en 1866 aux côtés de 103 compagnons fut canonisé le 06 mai 1984 par le pape Jean-Paul II, avant que le pape François ne canonise en 2014 à Séoul 200 autres martyrs pour leur foi. Cet ouvrage, introuvable aujourd’hui, reste criant d’actualité : certes, il détaille la vie de saint Antoine mais il décrit aussi les difficultés d’ouverture de la Corée au monde occidental.
Un célèbre éditeur parisien disparait en partant sur les races d’une femme écrivain. C’est le point de départ d’une quête irraisonnée de personnages qui se croisent et qui défient le temps. Mythes, légendes, traditions et fiction se côtoient dans ce roman aux multiples facettes.