Peu importe le chemin que nous empruntons – le temps que nous mettons pour atteindre la lumière – l’important est d’être sur le chemin de Dieu.
Un chemin d’amour et de vérité.
Notre parcours terrestre, s’il est bien, sous certains points, le résultat de notre libre arbitre, nous réserve des bonheurs, par le biais d’une Providence dictée par le Ciel.
A toutes celles qui un jour découvrent qu’elles ne sont pas la fille, la petite-fille, la sœur, la tante, la nièce, la cousine et doivent reconstruire leur vie sur les mensonges d’un secret de famille.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
En octobre 1860, George Sand (1804 – 1876) tombe gravement malade. Après s’être rétablie de la fièvre typhoïde, la plus célèbre des femmes de Lettres du XIX° siècle décide de quitter son cher Nohant dans le Berry pour s’établir quelques semaines au bord de la Méditerranée, plus précisément à Tamaris dans le Var.
Chez moi, c'était la maison du bon Dieu. Du bon Dieu et de ma mère ! Ma mère la pauvre ! La pauvre ou raïbah dans le langage judéo-arabe de la casbah d'Alger et de toutes les femmes de la famille.
Une voix reconnaissable entre mille, une carrière d’une douzaine d’années, menée tambour battant, brutalement interrompue le 29 juillet 1981. Pierre Brasseur le découvre et le présente à Serge Reggiani qui l’introduit chez POLYDOR. Maxime Le Forestier s’éprend de sa chanson « Mai 68 » et l’emmène avec lui en tournée, tout comme Serge Lama puis Georges Brassens. « Madeline Songs » devient sa maison d’édition avant de créer chez lui le studio Florian pour garder sa liberté de décision et donner la chance à de futurs talents.
L’auteur, fils unique du général DUPERTUIS, est né en Alsace en 1928.
Expulsé par les Allemands en 40 il subira un pèlerinage forcé de quatre ans à Lourdes où décédera son père. Il saura ce que signifie "avoir faim" au milieu de gens indifférents et de tas de bondieuseries de tous modèles et ce, jusqu’à la Libération où il verra d’innombrables pétainistes prétendre avoir été si gaullistes et si résistants que les Allemands ne s’en étaient pas aperçu. Un miracle à n’en pas douter !
« Si je pouvais dire et bien redire tout ce qu'il y avait de délicatesse, de sentiments, de noblesse de cœur, d'élévation morale, de haute compréhension de la vie, de sérénité conquise au prix des plus cruelles écoles, des plus douloureuses épreuves en George Sand ! Ma noble, ma grande, ma tant aimée amie, je donnerais le meilleur de la vie qui me reste pour que mon témoignage vous apporte ce respect qu'on vous dispute et qu'aucun de ceux qui vous jugent ne mérite plus que vous ».
Cet ouvrage nous permet, dans un premier temps, de découvrir un homme exceptionnel, d'une grande humilité, un véritable ami de longue date ; il se nomme Laurent Esquier.
Voici le récit de cette rencontre improbable et de ce conte de fée, avec la légende d'Anaïs, qui permettra la naissance inimaginable de Jorick, le 15 août 2002 (on retrouvera la suite dans le roman "Jorick le dernier GOTH").
Mon rêve de devenir maman m’a poussée à adopter. En effet je savais dorénavant que je ne porterais jamais mon enfant dans mon ventre ; en revanche je le porterais dans mon cœur. Ce long combat, je l’ai mené seule en tant que célibataire. Il faut savoir que pour adopter, un agrément est nécessaire et obligatoire. Une fois ce sésame obtenu, j’ai su que mon enfant arriverait d’Haïti. Une petite fille de trois ans et demi, au joli prénom d’Angeline m’attendait. Ce furent des photos échangées, des appels téléphoniques… jusqu’au jour où l’impensable se produisit…le 12 Janvier 2010, ce terrible séisme. Angeline est une petite fille miraculée. Elle est restée sous les décombres pendant quatre longues journées et quatre longues nuits et a dû, à sa « sortie », être amputée d’une partie d’elle-même.
L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…
Peu importe le chemin que nous empruntons – le temps que nous mettons pour atteindre la lumière – l’important est d’être sur le chemin de Dieu.