Aucun ouvrage d’ensemble n’a été à ce jour publié sur le contre-amiral René Daveluy, présentant simultanément sa biographie et analysant ses écrits. Cette lacune est aujourd’hui comblée par l’amiral Benoit Chomel de Jarnieu, un de ses arrière-petits-fils, ancien major-général de la marine puis inspecteur général des armées (marine), sur la base d’archives familiales pour la plupart inédites. Daveluy est un des plus grands penseurs maritimes du début du XXème siècle et la marine nationale le distingue encore aujourd’hui par l’attribution annuelle à des étudiants et chercheurs d’un « prix Amiral Daveluy ».
Le contre-amiral DAVELUY, 1863-1939 fait incontestablement partie des grands marins et écrivains maritimes français, de réputation mondiale. Inventeur du périscope dans les années 1890 avec son camarade Violette, créateur de l’aéronautique navale en 1910, commandant des unités françaises en Asie à la recherche de l’Emden en 1914, chef d’état-major de l’armée navale en 1916, il a surtout beaucoup écrit, se plaçant dès 1900 aux avant-postes du retour de la marine française à sa vocation guerrière après les errements de la « Jeune école ».
Cet ouvrage constitue le recueil des rapports et témoignages relatifs aux faits de guerre ayant motivé les citations à l’ordre de l’Armée parues au journal officiel, des formations et bâtiments de la marine française de guerre et de commerce lors du premier conflit mondial. Au fil des pages, découvrez l’abnégation de ces Hommes qui ont contribué à faire de cette guerre La Grande Guerre. Ce que nos marins ont vécu, avec tant de patriotisme et de courage, force respect et admiration. Leur sens du devoir, leur esprit de sacrifice, nous émeuvent toujours et restent à jamais gravés dans la mémoire de nombreuses générations.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.
André Suarès a écrit : « Le voyageur est encore ce qui importe le plus dans un voyage ». Les présents carnets de voyage s'inscrivent dans la ligne de cette citation extraite du Voyage du condottiere. Le but de cet ouvrage est de faire mieux connaître cette catégorie particulière des gens de mer que sont les marins d'État. Un certain nombre d'anecdotes sont là pour aérer le propos et bien montrer qu'il ne s'agit pas d'un guide touristique, mais d'un hommage rendu en toute indépendance à cette belle institution.
Dans ce deuxième ouvrage, l'auteur nous invite à découvrir son guide pratique « antivol ». Fort de 25 ans d'expérience dans la police, il met à notre disposition une véritable mine d'informations, de conseils et d'astuces simples, qui permettront au plus grand nombre de se protéger efficacement à l'avenir.
Cet antivol de papier, parsemé de traits d'humour, deviendra vite incontournable dans un domaine où nous avons tous besoin d'être rassurés. En l'adoptant, le lecteur fera un grand pas vers la tranquillité et quittera son carcan de victime potentielle en devenant le garant de sa propre sécurité. Ainsi, un mot d'ordre nous rassemblera désormais :
Après avoir participé, avec Antoine Boncompagni et Gérard Piasco, à l’écriture du livre « L’Histoire des Sapeurs-pompiers de Toulon », Alain Pellegrino a voulu essayer de se lancer seul dans l’aventure de l’élaboration d’un nouveau chapitre sur un sujet qui lui tient à cœur : le Sauvetage et Déblaiement.
Ce défi, qu’il s’est donné arrivé à terme, il pensait en avoir terminé avec l’écriture ! Mais le virus le reprend car il se rend compte qu’il y a encore de très nombreuses histoires à raconter sur les sapeurs-pompiers de Toulon et il se remet au travail pour aboutir à ce troisième livre.
Je m’appelle Jean de mon prénom et Sanglard est mon nom de famille, comme il était aussi celui de mon père. J’habite Saint-Jean-d’Azur, un petit bourg provençal situé dans le massif des Maures, où les collines longent le bord de mer et tombent souvent à pic dans les flots, en formant des caps et des baies. Du cœur de mon village, la vue sur les îles d’Or est une pure merveille. L’histoire que je vais vous conter, à travers celles de François Chauvet et de Charles-Edouard de Vermont, officiers provençaux de la Marine royale, comme moi enfants de ce pays, est aussi celle de la France, côté mer pourrait-on dire, pendant plus de quarante ans ! Nous sommes en avril 1664, quelques jours avant les fêtes de Pentecôte…
Le capitaine Albert Meuvret officier de sapeurs-pompiers professionnel na cessé d'arpenter les trottoirs de Toulon au gré de sa participation à d'innombrables interventions de secours dont de nombreuses explosions parmi celles relatées dans ce livre. Des plus anciennes aux plus récentes il passe en revue tous ses moments de grandes peurs où le rôle des pompiers est prépondérant pour assurer la sécurité des civils et ramener le calme. De l'émotion à revendre avec des photos d'époques et contemporaines qui font froid dans le dos.
Ce livre de cuisine est une véritable invitation au voyage dans de nombreux pays pour l’essentiel méditerranéens. Institutrice de métier, l’auteur est née en 1937 au Maroc, au sein d’une famille sicilienne. Elle a vécu 35 ans dans ce pays magnifique en contact très étroit et amical avec plusieurs communautés : marocaine, française, israélite, sicilienne, espagnole, portugaise et même anglo-saxonne.