DAVELUY, contre-amiral 1863 – 1939 ou « C’EST LE PLUS TÊTU QUI GAGNE » de Benoit Chomel de Jarnieu
Référence: L1579
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Aucun ouvrage d’ensemble n’a été à ce jour publié sur le contre-amiral René Daveluy, présentant simultanément sa biographie et analysant ses écrits. Cette lacune est aujourd’hui comblée par l’amiral Benoit Chomel de Jarnieu, un de ses arrière-petits-fils, ancien major-général de la marine puis inspecteur général des armées (marine), sur la base d’archives familiales pour la plupart inédites. Daveluy est un des plus grands penseurs maritimes du début du XXème siècle et la marine nationale le distingue encore aujourd’hui par l’attribution annuelle à des étudiants et chercheurs d’un « prix Amiral Daveluy ».
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Aucun ouvrage d’ensemble n’a été à ce jour publié sur le contre-amiral René Daveluy, présentant simultanément sa biographie et analysant ses écrits. Cette lacune est aujourd’hui comblée par l’amiral Benoit Chomel de Jarnieu, un de ses arrière-petits-fils, ancien major-général de la marine puis inspecteur général des armées (marine), sur la base d’archives familiales pour la plupart inédites. Daveluy est un des plus grands penseurs maritimes du début du XXème siècle et la marine nationale le distingue encore aujourd’hui par l’attribution annuelle à des étudiants et chercheurs d’un « prix Amiral Daveluy ». Inventif, curieux de tout, écrivain de talent, doué d’un sens de l’analyse et de la synthèse impressionnant, il s’est illustré de son vivant tant par ses ouvrages très nombreux (« L’esprit de la guerre navale », « La lutte pour l’empire de la mer », « Les enseignements de la guerre anti-germanique » …), que par sa carrière de marin : mise au point du périscope avec Violette ; création de l’aéronautique navale… Son leitmotiv est de revoir la marine retrouver sa vocation guerrière. Cela lui fait écrire que « celui qui engage le combat avec l’idée de ne pas céder le premier est à moitié vainqueur… En dessous de l’inscription en lettres d’or qui orne le fronton de nos passerelles : Honneur et Patrie, on devrait inscrire en lettres de bronze : « C’est le plus têtu qui gagne ».
Montségur, mars 1244. Durant la nuit précédant le massacre, trois parfaits s’échappent de la citadelle perchée sur son nid d’aigle, « la synagogue de Satan » comme l’appelait le pape. Leur mission : porter à Byzance, l’ennemie de Rome, trois livres qui, rassemblés, permettraient de retrouver la cachette du trésor des cathares et des textes sacrés embarrassants pour l’Église catholique. Trois cents ans plus tard, François de Malesterre entre fortuitement en possession de l’un de ces livres. Que sont devenus les deux autres ? Pour résoudre cette énigme et par dépit amoureux, François, assisté de deux compagnons, essaiera de remonter la piste des fugitifs pour retrouver ces manuscrits qui semblent n’être jamais parvenus à leur destinataire.
Durant cent trente-deux ans, la France n'eut de cesse de combattre la misère et les maladies héritées à son arrivée en 1830 sur un territoire sans nom ni frontières, exploité par deux colonialismes en même temps, celui des Arabes depuis onze siècles et celui des Ottomans depuis trois cent quinze ans.
C’est en travaillant au thème de l’eau sur le territoire du Tholonet que Philippe F. Bernascolle découvre dans Le Mémorial d’Aix, les articles de Paulin Cheilan relatant l’histoire mouvementée de ce petit village de Provence. S’étendant de la préhistoire aux temps modernes ils fourmillent d’informations précieuses et souvent inédites. Au delà de ce qui ne fut à l’origine qu’un octroi sur la voie aurélienne, dont sans doute il a tiré son nom, Teloneum désignait le bureau de perception, c’est toute l’histoire de la Provence que nous sommes invités à parcourir. Nous y pénétrons par la célèbre Route Cézanne, véritable lien culturel et longtemps économique entre Aix et Sainte Victoire et sur laquelle se trouve le village du Tholonet dont Paulin Cheilan disait « qu’il lui devait la vie ».
Dans la série de Napoléon jour après jour, il y a eu l’Ascension de Bonaparte, puis le Consulat et ensuite l’Empire. Ce cinquième livre est la troisième partie de l’Empire, celle où l’étoile de l’Empereur semble ne plus briller. Cela commence bien, par l’accouchement de Marie-Louise, la naissance du roi de Rome au ravissement de tous les Français, Napoléon a enfin une descendance. Puis arrive la terrible campagne de Russie où l’on va voir la bataille de la Moskova, le stationnement dans Moscou et son incendie qui va obliger Napoléon de quitter cette ville avec ses troupes. Et enfin l’affreuse retraite. Cette retraite qui va décimer presque toute la Grande Armée. Beaucoup de soldats seront tués dans des combats mais la plupart mourront de froid ou encore de la faim.
Voici un livre utile : dans l'historiographie de Saint-Mandrier et des cafards, ainsi qu'étaient naguère surnommés ses habitants, il dépoussière, trie, fait le ménage, range. Voici un livre intelligent : il indique les limites actuelles de nos connaissances, fait un état des richesses naturelles et architecturales du territoire, étudie l'évolution de la population, trace des pistes, ouvre des perspectives, donne à réfléchir. Voici un livre qui devrait être la bible des décideurs politiques ou apprentis décideurs : ils y trouveraient matière à agir pour le bien-être de la collectivité.
Ninon de la Rescadière traverse une période trouble de l’histoire de France en 1789 du côté de Toulon en bousculant les usages de son milieu, affirmant et revendiquant haut et fort sa liberté de pensée et d’action. Elle oblige ceux qui veulent la suivre à se surpasser, à sortir des sentiers battus pour exister. Une femme de tête et d’esprit qui ressemble étrangement à l’auteur.
La vie tourmentée de Victor Tournel nous renvoie aux sources de ce qu’il faut bien appeler l’épopée industrielle et sociale d’une ville qui aujourd’hui encore, tout en allant de l’avant, cherche ses marques, orpheline de la grande construction navale qui pour l’essentiel a fait d’elle ce qu’elle est devenue. Ce nouveau roman de Francis Lyon nous transporte de la IIe à la IIIe République, au travers du vécu d’un petit port de pêche du bord de la Méditerranée, de la fin des petits chantiers, en passant par l’épidémie de choléra, la vague d’immigration italienne, la première grève et les premiers affrontements de 1872, événements à la suite desquels “ rien ne serait plus comme avant ”...
À Wattrelos, dans la châtellenie de Lille, les copés in deux (les Wattrelosiens) célèbrent Berlouffes. Aux Amis, bistrot de la place, le Zot, un étrange bonhomme, raconte ce village du comté de Flandre lié à l’abbaye de St Bavon de Gand. Les comtes de Flandre tiennent alors tête à leurs suzerains, les rois de France. Tel Ferrand de Portugal, l’un des Géants de la ville ! Autrefois Aux Amis s’appelait Au Cheval volant. Tel celui d’Adenet le Roi (Cléomadès, 1280), ménestrel du comte Gui de Dampierre qui impose le Lion sur ses armoiries. Telle cette maison d’édition du Cheval-Volant, point de chute à Paris des Réformés. Avec l’émergence de l’imprimerie, les satires d’Érasme, les thèses de Luther (1517) et la doctrine de Calvin se répandent dans une population lasse du système.
Durant sa présence en Algérie, les apports de la France ont été multiples dans les domaines scientifiques, techniques, administratifs, culturels et linguistiques. Des générations de femmes et d’hommes de toutes conditions et de toutes religions, issues de ces territoires comme de toute l’Europe, y ont construit une communauté de destins et bâti un avenir. Grâce à leur courage, leur esprit d’entreprise et leurs sacrifices, ces pays ont pu se développer socialement et économiquement ; ils ont ainsi contribué fortement au rayonnement de la France dans le monde. Reconnaître l’œuvre positive de nos compatriotes sur ces territoires est un devoir pour l’État français.
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
Au travers d’un roman d’amour profond et émouvant, l’auteur relate avec vérité les événements qui, durant les années 1961-1962, ont conduit à la fin d’une Algérie qu’elle aimait… L’exil et sa déchirure, l’adaptation dans une France revêche, la naissance d’un enfant et la recherche, par ce même enfant, de ses racines familiales font de cet ouvrage, sur fond de traumatisme psychologique sévère, une fresque où chacun de ceux qui ont vécu dans la peine l’abandon de cette terre retrouveront, au fil des pages, une part d’eux-mêmes…
En novembre 1930, Georges Bernanos, tout auréolé d’une récente et tonitruante renommée littéraire, arrive dans le Var avec sa nombreuse tribu. Il le quittera définitivement en septembre 1946, après trois séjours alternés dans son « cher Toulon », puis à Hyères et Bandol, totalisant près de six années. Séjours entrecoupés de deux expériences majeures qui éprouveront l’homme et sa pensée : aux Baléares au cœur de la guerre civile espagnole qui le révolte, au Brésil lors de la deuxième guerre mondiale, où il devient depuis l’étranger une grande voix de la France résistante.