DAVELUY, contre-amiral 1863 – 1939 ou « C’EST LE PLUS TÊTU QUI GAGNE » de Benoit Chomel de Jarnieu
Référence: L1579
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Aucun ouvrage d’ensemble n’a été à ce jour publié sur le contre-amiral René Daveluy, présentant simultanément sa biographie et analysant ses écrits. Cette lacune est aujourd’hui comblée par l’amiral Benoit Chomel de Jarnieu, un de ses arrière-petits-fils, ancien major-général de la marine puis inspecteur général des armées (marine), sur la base d’archives familiales pour la plupart inédites. Daveluy est un des plus grands penseurs maritimes du début du XXème siècle et la marine nationale le distingue encore aujourd’hui par l’attribution annuelle à des étudiants et chercheurs d’un « prix Amiral Daveluy ».
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Aucun ouvrage d’ensemble n’a été à ce jour publié sur le contre-amiral René Daveluy, présentant simultanément sa biographie et analysant ses écrits. Cette lacune est aujourd’hui comblée par l’amiral Benoit Chomel de Jarnieu, un de ses arrière-petits-fils, ancien major-général de la marine puis inspecteur général des armées (marine), sur la base d’archives familiales pour la plupart inédites. Daveluy est un des plus grands penseurs maritimes du début du XXème siècle et la marine nationale le distingue encore aujourd’hui par l’attribution annuelle à des étudiants et chercheurs d’un « prix Amiral Daveluy ». Inventif, curieux de tout, écrivain de talent, doué d’un sens de l’analyse et de la synthèse impressionnant, il s’est illustré de son vivant tant par ses ouvrages très nombreux (« L’esprit de la guerre navale », « La lutte pour l’empire de la mer », « Les enseignements de la guerre anti-germanique » …), que par sa carrière de marin : mise au point du périscope avec Violette ; création de l’aéronautique navale… Son leitmotiv est de revoir la marine retrouver sa vocation guerrière. Cela lui fait écrire que « celui qui engage le combat avec l’idée de ne pas céder le premier est à moitié vainqueur… En dessous de l’inscription en lettres d’or qui orne le fronton de nos passerelles : Honneur et Patrie, on devrait inscrire en lettres de bronze : « C’est le plus têtu qui gagne ».
En 1811, Flaugergues découvre une des comètes les plus spectaculaires de l’Histoire. Elle est désignée la “Comète impériale”. Son éclat et sa longévité durant son règne inspirent l’Empereur. L’Aiglon est né cinq jours avant sa découverte, et lui-même une semaine après la grande comète de 1769, coïncidence soulignée par un récent mémoire de Messier en 1808.
Son précédent passage remontant à Ramsès II, Napoléon y voit un trait d’union avec l’Egypte qui le fascine depuis son expédition, un passage de flambeau, voire un signal céleste pour lancer à l’été 1812 sa campagne de Russie...
Rodriguez est un bagnard en fuite sur le littoral varois, de Toulon jusqu’à Roquebrune. Arnaud est un campagnard de Figanières. Ils sont contemporains (1848 / 1851). Tous deux vont commettre des crimes. Malgré le ton picaresque des récits, les faits sont historiques.
Sept bagnards mettent les voiles.
Frederico Rodriguez, ancien soldat espagnol, tente la vie de colon à Constantine, pays nouvellement conquis par la France. Il est pris lors d’une tentative de vol à main armée et envoyé au bagne de Toulon. Il décide de profiter de l’atmosphère révolutionnaire de 1848 pour s’évader par la mer avec six autres forçats. Les fugitifs accostent sur le littoral des Maures...
Dans le présent livre, les auteurs ont rassemblé des connaissances, jusqu’ici éparses dans différentes publications spécialisées, qui leur permettent de nous amener du présent vers le passé, puis vers le futur, tout en restant dans notre région, la Provence. Peut-être cet ouvrage pourra-t-il servir de base à une collection, de manière à ce que chaque région de France ait son voyage dans le temps, car chaque région a des choses passionnantes à raconter, et s’interroger sur son avenir. La singularité de ce voyage, c’est qu’il n’est pas seulement historique ou géologique, ou paléontologique. Il est total.
Les modèles présentés sur des mannequins de 70 cm de hauteur (échelle ½) ont été reconstitués en majorité d’après des costumes authentiques gracieusement prêtés et portés dans la région varoise. Des femmes de la haute bourgeoisie, à l’occasion de déplacements vers la capitale rapportaient la mode parisienne. Celle-ci se diffusait par les couturières qui s’en inspiraient pour habiller la bourgeoisie locale. Selon la classe sociale, on employait des tissus et des garnitures de dentelles et rubans, plus ou moins riches et abondants. J’ai bien entendu respecté la façon d’assemblage de chaque époque. Chaque modèle représente entre 100 et 150 heures de travail.
À Wattrelos, dans la châtellenie de Lille, les copés in deux (les Wattrelosiens) célèbrent Berlouffes. Aux Amis, bistrot de la place, le Zot, un étrange bonhomme, raconte ce village du comté de Flandre lié à l’abbaye de St Bavon de Gand. Les comtes de Flandre tiennent alors tête à leurs suzerains, les rois de France. Tel Ferrand de Portugal, l’un des Géants de la ville ! Autrefois Aux Amis s’appelait Au Cheval volant. Tel celui d’Adenet le Roi (Cléomadès, 1280), ménestrel du comte Gui de Dampierre qui impose le Lion sur ses armoiries. Telle cette maison d’édition du Cheval-Volant, point de chute à Paris des Réformés. Avec l’émergence de l’imprimerie, les satires d’Érasme, les thèses de Luther (1517) et la doctrine de Calvin se répandent dans une population lasse du système.
Un papillon au pays des cigales. Comment un jeune officier de marine promis à un grand avenir, amateur de jolies filles, joueur de poker invétéré, passionné de chevaux et d’escrime, loup solitaire dans une société dont il n’acceptera jamais les codes, fini par commettre l’irréparable.
Retraité dans le sud de la France, natif de la Somme où s’est déroulée la célèbre bataille de 1916, Romain BRIERE petit-fils de Poilu, s’est toujours senti concerné par la Grande Guerre.
En allant sur la tombe de son grand-père en 2010, il découvre un procès-verbal d’abandon datant de 2008 pour une reprise de concession en 2011 sans avoir été contacté.
C’est de là que sont nées sa révolte et sa volonté de faire savoir ce qu’ont vécu les Poilus.
Son livre est une fresque de la Grande Guerre 1914-1918.
Dolorès, Mère Courage exemplaire, traverse le XXe siècle, subit trois guerres, doit quitter son pays natal et son pays d’adoption et faire face aux drames familiaux qui jalonnent sa vie. Elle connaît le bonheur avec son mari, ses enfants et petits-enfants, et de nombreux malheurs qu’elle affronte tête haute, en assumant jusqu’à son dernier souffle son si prémonitoire prénom : « Dolorès » (douleurs).
La liste de tous ces personnages attachants n’est évidemment pas exhaustive. J’ai connu la plupart d’entre eux dans mes jeunes années. Je les ai choisis en fonction d’une poignée de valeurs qui me touchent personnellement : l’amour, l’amitié, la famille, le travail, le respect et le souvenir. J’ai beaucoup d’admiration pour ces hommes et ces femmes, toutes époques confondues, qui s’investissent sans copter pour leur village natal ou d’adoption…
Cinquante ans plus tard, Steve (1991), Ronnie (1997) et Mac (2014) s’en sont allés. Kenney perpétue leur souvenir… Nos souvenirs… répertoriés au fil des pages de ce livre, préfacé par Bill Wyman, illustré en partie par les photos mythiques de Jean-Louis Rancurel et les témoignages sonores inédits de Jean-Noël Coghe… Smalls… The Real !
Dans cet ouvrage d’histoire locale, Alexandre Briano nous invite à nous promener dans la ville de Toulon, dans le centre historique comme dans les quartiers les plus éloignés. Il ne faut pas hésiter à prendre les lignes d’autobus. Avec le numéro 3 par l’avenue Clovis Hugues et la Place Jean Macé, on se retrouvera au Mourillon, Impasse Dutasta. Puis, de la Loubière par la rue Pierre-Joseph Proudhon, on peut se rendre au centre ancien et les quartiers rue Charles Poncy. Avec le bus numéro 1, vous trouverez sans souci la place Martin Bidouré au Pont-du-Las, et les rues André Chénier et François Arago, quartier de Brunet et de l’Élisa. Au cours de ces visites, partout vous rencontrerez des partisans de la République.
En -29 av. J.-C. les armées romaines échouent dans l’invasion de l’Arabie. Les récits de l’époque éviteront de relater cette calamiteuse campagne. En 1843 un voyageur français, ancien pharmacien un peu excentrique, est le premier Européen à pénétrer dans l’ancien royaume de Saba. Son nom aujourd’hui est pratiquement oublié. En 2003 Blackwater la plus grande armée privée du monde assiste l’armée américaine dans la guerre d’Irak et mène diverses missions. Trois récits historiques fondés sur des faits réels s’échappent et se rejoignent dans l’univers du fantastique. Trois héros suivent leur destin et rejoignent Bilkis la mystérieuse reine de Saba. Sur un même lieu, à des centaines d’années de distance malgré les révolutions techniques et scientifiques, le comportement humain lui n’évolue pas.