Tous deux sont à la recherche d’une présence… Un retraité et une jeune fille vont, grâce à une véritable amitié, faire ensemble un bout de chemin, parfois semé d’embûches.
Voici un livre utile : dans l'historiographie de Saint-Mandrier et des cafards, ainsi qu'étaient naguère surnommés ses habitants, il dépoussière, trie, fait le ménage, range. Voici un livre intelligent : il indique les limites actuelles de nos connaissances, fait un état des richesses naturelles et architecturales du territoire, étudie l'évolution de la population, trace des pistes, ouvre des perspectives, donne à réfléchir. Voici un livre qui devrait être la bible des décideurs politiques ou apprentis décideurs : ils y trouveraient matière à agir pour le bien-être de la collectivité.
Encore aujourd’hui, s’il est un nom connu de la communauté militaire maritime dans le monde entier, c’est bien celui de MAHAN. Ses théories influèrent toutes les marines du monde vers la fin du XIXème siècle, autour du thème central de la Puissance maritime. La lecture de ses ouvrages, notamment celle de l’Influence de la Puissance maritime dans l’histoire, demeure cependant une affaire de spécialistes.
Du Turin de 1522 au New York de 2007 en passant par Montréal, le Paris des années soixante et la Rome contemporaine, "Bryant Park" narre l'histoire d'un tableau et des personnages qui vont graviter autour de lui : un décorateur de Boston, une universitaire de Manhattan, un téméraire curé du Haut-Pays niçois, une très volontaire conservatrice du Louvre, la veuve un rien shakespearienne mais confite en dévotion d'un éminent mafieux, et des trafiquants d'art prêts à tout... Un roman policier ? Oui mais comme Bernard Oustrières aime à les trousser, fuyant toute vulgarité, plongeant au plus intime des êtres comme des villes et gardant aux acteurs leur part d'humanité sans jamais nuire au rythme haletant du récit.
Les témoignages recueillis par Raymond Moody dans les années 70 auprès de personnes qui, suite à une maladie ou à un accident, se sont trouvées en état de mort imminente (EMI), rapportées dans son ouvrage La vie après la vie, révèlent que certaines d'entre-elles ont perçu au cours de cette période des images et des sensations troublantes qui laissent supposer que la perspective d'un au-delà conscient n'est pas infondée. Il est à noter que les nombreux chercheurs qui se sont penchés depuis sur cette question sont parvenus à des résultats similaires. Sur la base de ces données, l'auteur a imaginé une cité où se retrouvent des âmes qui attendent que leur sort soit scellé par les équipes de réanimation qui s'affairent à leur chevet.
Brocéliande, Phare perdu
Dans l’Océan de la Mémoire,
Parée de brumes et de moires,
De Musique à perte de vue…
Parle-moi ! Réponds à ma Queste !
Ce n’est point Hasard qui me veut
Sous Tes Arbres mystérieux…
Pour quel Retour ? Pour quelle Dette ?
« Regarde ! » me dit la Forêt,
« Vois la Réponse qui t’arrive
Et qui te vient de l’Autre Rive,
Celle révélant les Secrets »…
L’humanité est à un tournant de sa courte existence. Crises économiques, écologiques, alimentaires, sociales et psychologiques, obscurantisme religieux, culte du matérialisme, libéralisme forcené sont autant de fléaux qui affectent profondément l’être humain au point de lui faire oublier qu’il n’est que le simple maillon d’une chaîne fragile, mais qu’il reste cependant responsable de sa destinée et de ses choix. L’humanité navigue ainsi entre deux rives et son libre arbitre est actuellement mis à l’épreuve. Doit-elle continuer à s’enliser dans des comportements qui vont inéluctablement la conduire à sa perte ? Peut-elle encore choisir de revenir à l’essentiel et ainsi changer son devenir ?
« Le temps des explications viendra plus tard. » C’est sur cette affirmation que Denis Fournier termine cette histoire. Un état des lieux de sa ville, source d’inspiration inépuisable, devait être la trame de son nouveau roman. « Venue d’ailleurs », une femme va débouler dans sa vie, l’entraîner dans des évènements qu’il ne pouvait imaginer et dans un état sentimental… particulier. La recherche d’une enfant l’emmènera de Toulon à Marseille, de La Seyne à Aix en Provence et bien au-delà dans les Alpes du sud.
« Voyages », Ah ! Le joli mot que voilà ! C'est un mot valise avec plein d'étiquettes qui font rêver, plein de promesses, plein de rencontres avec l'autre, avec soi-même; dans le dictionnaire entre "Je t'aime" et "Je te déteste", entre "chocolat" et "citron" entre "silence" et "méditation". Bien calé dans son fauteuil, il faut oser le voyage.
« Pluies », extrait du dictionnaire : nom féminin, eau tombant des nuages sous forme de gouttes. Après « Nuages », « Pluies » nous apporte son lot de lignes heureuses ou fraîches, drôles ou délicates, pour nous instiller goutte à goutte la joie de vivre, le bonheur de poursuivre lentement notre chemin. « Pluies » ne doit pas être assimilé à ‘chagrins’ mais à ‘vie’, instants de vie à partager.
« Nos Souvenirs de famille » de Marthe de Valicourt, rédigé à l’époque à plusieurs mains, paru en 1899 et réédité aujourd’hui, relate avec un brio incontestable la vie des grandes familles picardes de l’Ancien régime jusqu’à la fin du XIXe siècle. Le lecteur pourra parfois trouver cet ouvrage démodé ou grandiloquent puisque les « héros » dont la vie est relatée ont toutes les qualités. Il n’empêche ! Avec ce livre sont retracées la mémoire d’un monde passé différent de celui dans lequel nous vivons mais qui le valait bien et la mémoire d’une famille travailleuse, intègre et dévouée au bien commun. Les personnages évoqués sont d’ailleurs loin de laisser indifférent…
Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.
