Une amanite dans le jardin Tome 1 de Vincent DAMPIERRE & Pierre DOIGNON
Référence: L1687
18,00 €
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“ Cette affaire fit grand bruit dans toutes les chaumières valfleuraines, et servit enfin de catalyseur pour développer l’idée que tous les malheurs subis depuis quelque temps par de nombreuses familles n’étaient peut-être pas le fruit de la fatalité ni l’expression d’une vengeance céleste, mais bel et bien le fait d’une malveillance humaine entreprise pour des motifs des plus basses espèces, et certainement de celles qui ne sont peut-être pas toujours sonores, mais inévitablement trébuchantes, et quoi qu’on dise exhalant parfois une épouvantable odeur de pourriture ! “
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“ Cette affaire fit grand bruit dans toutes les chaumières valfleuraines, et servit enfin de catalyseur pour développer l’idée que tous les malheurs subis depuis quelque temps par de nombreuses familles n’étaient peut-être pas le fruit de la fatalité ni l’expression d’une vengeance céleste, mais bel et bien le fait d’une malveillance humaine entreprise pour des motifs des plus basses espèces, et certainement de celles qui ne sont peut-être pas toujours sonores, mais inévitablement trébuchantes, et quoi qu’on dise exhalant parfois une épouvantable odeur de pourriture ! “
Vincent Dampierre/Pierre Doignon nous offre un magnifique roman, tout en subtilité et en contrastes. Dans une langue d’une élégance rare, il met en scène un petit village de haute montagne aux préoccupations innocentes aux prises des dures réalités de la société moderne qui le frappent de plein fouet. “ Une amanite dans le jardin ” pointe avec lucidité le problème insidieux qu’est la drogue, dont nul n’est à l’abri et l’illustre magistralement.
“ Cette affaire fit grand bruit dans toutes les chaumières valfleuraines, et servit enfin de catalyseur pour développer l’idée que tous les malheurs subis depuis quelque temps par de nombreuses familles n’étaient peut-être pas le fruit de la fatalité ni l’expression d’une vengeance céleste, mais bel et bien le fait d’une malveillance humaine entreprise pour des motifs des plus basses espèces, et certainement de celles qui ne sont peut-être pas toujours sonores, mais inévitablement trébuchantes, et quoi qu’on dise exhalant parfois une épouvantable odeur de pourriture ! “
Été 1912, toute la tribu Sénéchal se retrouve réunie à Saint-Cyr les Lecques, pour les grandes vacances. Anaïs, belle, effrontée, venant tout juste de fêter ses dix-huit ans, déborde d’énergie et de projets. Rires et jeux tapageurs animent la bande de cousins, quand soudain la vie d’Anaïs bascule, lorsqu’elle rencontre Jacques, aviateur et fiancé à sa cousine Sophie. Dès leur rencontre, l’attirance qu’éprouvent les deux jeunes gens l’un pour l’autre est si forte, que Anaïs se retrouve cruellement partagée entre l’amour pour son bien-aimé, et sa loyauté envers sa chère cousine ! Elle tente alors d’oublier Jacques, mais en aura-t-elle vraiment le courage ?
Qui est cette jeune femme ? D’où vient-elle ? Pourquoi est-elle morte à Cagnes-sur-Mer ? L’enquête démarre sur ces questions, sans pression des médias, ni de la hiérarchie qui classerait bien le dossier. Après tout, il s‘agit d’une inconnue que personne ne réclame ! Il ne reste plus que le travail de fourmi de toute une équipe pour tenter de résoudre cette affaire singulière. Et découvrir une vérité qui laissera le commissaire Dupin insatisfait.
Justine et Clara, deux sœurs au tempérament opposé, passent leur enfance dans un climat de rivalités permanentes, au grand désarroi de leurs parents. Pourtant, à l'adolescence, un fait majeur va les rapprocher et les rendre enfin complices. Que s'est-il passé de si important pour provoquer un tel bouleversement et pousser par la suite Justine à s'expatrier ? Malgré le déchirement éprouvé, celle-ci ne trouvera en effet que cette solution radicale pour parvenir à s'interroger sur le sens réel de sa vie et accomplir enfin ses rêves. Les douleurs que l’on croit enfouies remontent toujours à la surface à un moment ou à un autre. Et ce sont alors des vies qui basculent…
Si vous voulez sauver l’humanité, laissez tomber. Un seul homme en est capable. Un personnage très discret dont les aventures défient le temps. Un illustre alchimiste à l’époque de Rubens.
Familier des lieux de l’accident, le gendarme Robert Lavergne reste intrigué par la survie de l’un des protagonistes… Poussé par la curiosité, puis par ses obligations professionnelles, il va tenter de comprendre ce qu’il s’est réellement passé. La découverte du journal intime du blessé, Léo Terrisse, lui facilitera la tâche, et sa propre histoire familiale dictera sa conduite.
Dans Les Désorienté(e)s, les faits n’ont rien de mystérieux et n’ont d’ailleurs pas besoin d’être détaillés. Le roman s’intéresse plutôt à la psychologie des deux personnages principaux en explorant les thématiques de la maladie et du vieillissement, avec un intérêt particulier pour les réactions des proches.
C’est avec un intérêt passionné, traversé d’intrigues, d’allégresse et de désespoir, que l’auteur tisse une histoire tumultueuse et toute brûlante d’amour avec les tragiques évènements de Toulon pendant la Terreur, en y mêlant scrupuleusement les références authentiques, les personnages et les lieux dits.
Le corps de Musette jeté au vent, à la face du monde, traîné et ramassé, le corps de Musette nu et affamé, tremblant de froid, frissonnant de plaisir, suintant la lubricité, vorace de vie et de victoire, cinquante kilos de chair et d'os, trois quarts d'eau qui se meuvent à la surface de la terre. Le corps de Musette.
Pyte 19 ans, après avoir quitté le lycée 2 ans après la fin de seconde, obtient son premier Bac en 1961. Djo, le frère ainé, le surdoué en tout, meurt à 20 ans, Para, Major de Promo (avec un CAP de comptable) pour les Élèves Officiers de Cherchell. Génie du piano à 5 ans, il m'a appris à pianoter).
Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
Amélia forme avec sa grand-mère Cordélia, une famille exceptionnelle. Leurs personnalités hors du commun vont les aider à se battre contre les coups du sort. Dans un cadre enchanteur, dans le Finistère, à la pointe de la Bretagne, s'élève sur la falaise, le domaine de la Baie des Roses. Splendide Maison d'Hôtes, cette demeure arrivera-t-elle à faire oublier les aléas de la vie à la belle Amélia ? Réussira-t-elle à se remettre de son terrible accident ? Et pourra-t-elle de nouveau faire confiance à un homme ?
“ Cette affaire fit grand bruit dans toutes les chaumières valfleuraines, et servit enfin de catalyseur pour développer l’idée que tous les malheurs subis depuis quelque temps par de nombreuses familles n’étaient peut-être pas le fruit de la fatalité ni l’expression d’une vengeance céleste, mais bel et bien le fait d’une malveillance humaine entreprise pour des motifs des plus basses espèces, et certainement de celles qui ne sont peut-être pas toujours sonores, mais inévitablement trébuchantes, et quoi qu’on dise exhalant parfois une épouvantable odeur de pourriture ! “