LA CASQUETTE DU SALUT de René RICARD
Une série de cassettes découvertes au cours d’un déménagement permettent de se remémorer un défunt racontant son existence particulière lors de la dernière guerre mondiale.
Référence: L1857
« C’est décidé je monte à Paris ! » s’était dit Paulin après avoir vu dans une galerie, les peintures de Marius Granet. Cette pensée ne le quittait plus, même dans l’atelier de menuiserie où son père l’avait placé à l’âge de 14 ans pour un travail d’ébénisterie. C’est ainsi qu’un jour il quitte sa famille et son quartier de la rue Saint-Paul à Hyères, pour rejoindre la capitale. L’arrivée à Paris est un choc. Il loge dans un immeuble misérable de la rue Saint-Marcel à deux pas de la rue où il travaille, quartier Saint-Antoine. Chaque soir après sa journée de labeur, Paulin se rend au Louvre, il y rencontre Topino-Lebrun, peintre révolutionnaire marseillais qui le présente au maître David. Tous deux l’encouragent à s’inscrire à l’école des Beaux-Arts.
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« C’est décidé je monte à Paris ! » s’était dit Paulin après avoir vu dans une galerie, les peintures de Marius Granet. Cette pensée ne le quittait plus, même dans l’atelier de menuiserie où son père l’avait placé à l’âge de 14 ans pour un travail d’ébénisterie. C’est ainsi qu’un jour il quitte sa famille et son quartier de la rue Saint-Paul à Hyères, pour rejoindre la capitale. L’arrivée à Paris est un choc. Il loge dans un immeuble misérable de la rue Saint-Marcel à deux pas de la rue où il travaille, quartier Saint-Antoine. Chaque soir après sa journée de labeur, Paulin se rend au Louvre, il y rencontre Topino-Lebrun, peintre révolutionnaire marseillais qui le présente au maître David. Tous deux l’encouragent à s’inscrire à l’école des Beaux-Arts.
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