Parlez-vous le sud ? d'Yves PUJOL, Éric MALET et Patric DEUS
Référence: L2308
10,00 €
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Bougnette, dégun, gobie, cachemaille, etc. Chaque région possède son propre langage avec ses expressions typiques au service de son patois local. Et qui mieux qu’Yves Pujol pour expliquer celui du Sud ? Après le succès populaire de la pastille télévisuelle sur France 3, le leader du groupe « Aïoli » a pris la plume pour enfoncer le clou. À l’image de ce petit recueil gorgé de soleil qui lève le voile sur les mots du Sud en dévoilant leur histoire, leur origine et leur parcours.
Alors bonne lecture et “Demande-moi quand tu sais pas !”
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Bougnette, dégun, gobie, cachemaille, etc. Chaque région possède son propre langage avec ses expressions typiques au service de son patois local. Et qui mieux qu’Yves Pujol pour expliquer celui du Sud ? Après le succès populaire de la pastille télévisuelle sur France 3, le leader du groupe « Aïoli » a pris la plume pour enfoncer le clou. À l’image de ce petit recueil gorgé de soleil qui lève le voile sur les mots du Sud en dévoilant leur histoire, leur origine et leur parcours.
Alors bonne lecture et “Demande-moi quand tu sais pas !”
Après le succès de la saison 1, voici la suite avec l’entrée en lice de cacou, mariole, tafanari et bien d’autres mots issus de notre belle Provence. Chaque région possède son propre langage et qui mieux qu’Yves Pujol pour expliquer celui du Sud ? Dans le sillage de la pastille télévisuelle diffusée sur France 3, le leader du groupe Aïoli nous gratifie, avec ses acolytes Éric Malet et Odile Bertrand, d’un second volume tout aussi savoureux que le premier. Découvrez avec nous le sens du mot ravan, l’origine de brêle, les racines de tête d’ail, etc. Alors bonne lecture et n’oublie pas : “Demande-moi quand tu sais pas !”
Au travers d’une intrigue, l’auteur vous fait partager sa passion entre deux territoires qui lui sont chers. Le PIEMONT, berceau de ses parents, plus encore la Val Varaita “bella d’estate e stupenda d’inverno”, avec ses bergers et leur mélodieux “mazzolin dei fiori”, où, enfant, il jouait pendant ses vacances d’été. Et sa PROVENCE, aux oliviers et figuiers aromatisés par les senteurs de thym et de lavande, sous le chant des cigales, où le soleil, poussé par l’accent du mistral, réchauffe les coeurs à l’envi, en entonnant un vibrant “coupo santo” !
L’histoire de Peyrolles-en-Provence est intimement liée à celle de la Durance, comme l’origine de son nom ancien « Petrolis » qui trouve ses racines dans le mot latin désignant les galets du fleuve provençal. Peyrolles-en-Provence occupe depuis toujours une position privilégiée sur la route des Alpes qui se profilent au-delà du défilé de Mirabeau. À son époque, le Roi René en fit sa résidence d’été et contribua à sa fortification et son embellissement. Vous découvrirez son château, sa chapelle du Saint Sépulcre, ses autres monuments et la vie de cette cité depuis ses origines. Ainsi l’histoire de notre village se transmettra à nos futures générations.
Ce recueil n’a pas la prétention de livrer une vue exhaustive de Toulon. Il n’est pas non plus une visite des plus beaux sites de la ville, encore moins une exposition de clichés artistiques. Il est le révélateur du beau au quotidien pour qui sait regarder. A travers ces photos, le lecteur percevra l’âme de la cité toulonnaise teintée de multiples couleurs… Le bleu de la mer et du ciel, le blanc des tenues d'apparat des marins, le rouge et noir qui fait la fierté de ses habitants. Entre sa maison et son lieu de travail, l’homme qui s’expose en ces pages se transforme au fil des jours en photographe-habitant pour saisir à la volée le parcours de sa réalité au cœur de la vieille ville et de sa rade.
Après avoir rappelé les épisodes les plus marquants de l’histoire mouvementée de Toulon, l’auteur – qui s’exprime en tant que citoyen lambda - raconte ses souvenirs liés à la ville, depuis son enfance pendant la guerre, et sa scolarité au « lycée de Toulon », qui est devenu le collège Peiresc.
Il rappelle les grandes lignes de la reconstruction de l’après-guerre et les développements qui ont suivi jusqu’à ce jour. Au passage, il s’exprime avec une totale liberté en donnant quelques coups de griffe à la classe politique tout en distribuant des satisfecit mérités.
De 1667 à 2015 l’édifice occupé par les pénitents de Compostelle s’est très vite orienté vers l’aide, l’assistance et l’enseignement qu’il fallait apporter à ceux qui le souhaitaient. Les Pères blancs, les sœurs religieuses de Saint-Joseph de Gap puis de Lyon, mademoiselle Alphonsine Cazeaux, d’autres sœurs religieuses, et enfin directrices et directeurs se sont succédé dans le respect de la doctrine : transmettre à la jeunesse d’Ollioules les clés du Savoir. Ce livre est dédié à toutes celles et ceux qui, sous le sourire protecteur de sainte Geneviève, se sont employés et s’emploient encore aujourd’hui à instruire à tout prix en terre ollioulaise.
Depuis 1922, de nombreux clubs de rugby ont vu le jour sur l’aire toulonnaise. Certains évoluent toujours dans les différents championnats du littoral, d’autres ont disparu. Tous, sans exception, furent des écoles de la vie grâce aux dirigeants, entraineurs, éducateurs, qui surent transmettre les valeurs rugbystiques. Aujourd’hui, lorsqu’ils gravissent les marches du mythique stade intra-muros de Mayol, ces anciens adversaires hier, amis aujourd’hui, partagent leurs souvenirs. Ils évoquent ces matches pendant lesquels ils se sont rencontrés parfois avec rudesse mais toujours avec respect. Leur Graal n’est plus de porter le cuir en terre sacrée, mais de maintenir bien haut cette amitié sportive à nulle autre pareille.
Ce troisième volume détaille l’impact des traditions et de la religion, au fil des siècles, sur la vie des Provençaux.
L’Église et ses paroissiens ont sans cesse construit ou reconstruit chapelles, églises et monastères. Ce remarquable patrimoine, présent dans chaque village, participe aujourd’hui à l’essor du tourisme culturel.
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
L’ivresse du quotidien. Ce recueil n’a pas la prétention de livrer une vue exhaustive de Toulon. Il n’est pas non plus une visite des plus beaux sites de la ville, ni seulement une exposition de clichés artistiques. Cet ouvrage est un révélateur de la beauté de la vielle ville pour qui sait regarder. Entre sa maison et son lieu de travail, l’auteur devient photographe-habitant pour saisir à la volée le parcours de sa réalité au cœur de la vieille ville. Il capte alors l’extraordinaire de sa réalité et souhaite habiter sa ville pour y percevoir le reflet de son âme. Les photos de cet ouvrage, tantôt en noir et blanc, tantôt en couleur, vibrent d’une extrême densité. Elles témoignent à elles seules que la beauté se livre à qui souhaite l’accueillir.
La liste de tous ces personnages attachants n’est évidemment pas exhaustive. J’ai connu la plupart d’entre eux dans mes jeunes années. Je les ai choisis en fonction d’une poignée de valeurs qui me touchent personnellement : l’amour, l’amitié, la famille, le travail, le respect et le souvenir. J’ai beaucoup d’admiration pour ces hommes et ces femmes, toutes époques confondues, qui s’investissent sans copter pour leur village natal ou d’adoption…
Lecteur, dans ce livre humoristique qui parle le marseillais j’ai décidé de te tutoyer, ne m’en veux pas, cela me donne l’impression de te connaitre et de mieux te faire partager mes ressentiments sur le comportement d’autrui et de moi-même dans notre quotidien. Tu découvriras le personnage de « Bendosi », petit Marseillais affublé de ce surnom par sa mère Lazarine, une pure Marseillaise. (Je t’invite à le découvrir dans mon premier roman biographique édité en 2014 aux Presses du Midi : 1945, né à l’abri des bombes. Mon village Vauban. Ma ville Marseille). Tel un triptyque, il est composé de trois parties dont la première rentre de plein fouet dans son titre, tous azimuts, sans ordre établi, on appelle ça le tout-venant du quotidien. (Volet 1).
Le département du Var, connu pour ses vastes forêts, est riche de 14 sites labellisés « Jardins remarquables » par le ministère de la Culture et de la Communication, soit près du tiers de ceux recensés dans la Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur. Outre ces sites connus, le Var peut s’enorgueillir de compter un grand nombre de jardins publics et privés, d’importances très diverses, visitables à tout moment ou sur rendez-vous, gratuits ou payants.