Au cours de fouilles archéologiques dans le château de Bargème, pittoresque village médiéval du Haut-Var, l’archéologue Ambre Keruzoré découvre une énigmatique prophétie qui l’entraînera bientôt dans une bouleversante et inquiétante aventure. Percera-t-elle enfin le secret qui se cache derrière cette « vérité » stupéfiante, et qui dérange tant ? Chantage, agressions, enlèvements et mort suspecte, ne vont-ils pas fragiliser sa quête de découverte…
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Au cours de fouilles archéologiques dans le château de Bargème, pittoresque village médiéval du Haut-Var, l’archéologue Ambre Keruzoré découvre une énigmatique prophétie qui l’entraînera bientôt dans une bouleversante et inquiétante aventure. Percera-t-elle enfin le secret qui se cache derrière cette « vérité » stupéfiante, et qui dérange tant ? Chantage, agressions, enlèvements et mort suspecte, ne vont-ils pas fragiliser sa quête de découverte…
Bruno, dont le grand-père a été rapatrié du Maroc, vit dans les beaux quartiers. Chaïma vient de banlieue. Son grand-père s’est battu pour l’indépendance du Maroc. Rien : ni leur éducation, ni leurs traditions ne les destinent à se rencontrer. Pourtant, ils vont se retrouver face à face. Après s’être méfiés l’un de l’autre, ils vont se chercher et finalement s’aimer. Ils devront payer leur amour au prix fort. Sur fond de violence des banlieues, de racisme ou d’intolérance, Chaïma est avant tout l’histoire de deux jeunes qui décident, envers et contre tous, d’aller de l’avant, aussi loin que possible, ensemble. C’est aussi un témoignage réaliste sur notre époque en même temps qu’une idylle si pure et si belle qu’elle paraît démodée.
Elsa est infirmière dans une unité médicale. Robin, son mari, lui, est un médecin affecté aux urgences. Les époux s’adonnent à soigner autrui tandis que leurs horaires antagoniques dérangent leur vie privée. Néanmoins, l’amour qui les unit est manifeste. Cependant, à cause d’une maladie dégénérative contractée par Elsa, l’harmonie du ménage s’en trouvera chamboulée. Une greffe pourrait redresser la santé d’Elsa. Toutefois, une affaire de meurtre, mêlée à l’action du don d’organes, contrariera l’équilibre du couple. S’ensuit la lutte d’un avocat épaulé par un détective privé. Un récit où la culpabilité a des accents distincts. Au vrai, un sujet sensible, documenté, captivant. Un duo d’enquêteurs retors parachève ce polar fuligineux.
Le cadavre mutilé d’une jeune femme, repêché dans les eaux verdâtres d’un petit canal de Venise, sera le prélude à une série de meurtres qui s’abattra sur le paisible quartier de San Marco. Au milieu des brumes et des frimas de mars, le commissaire Matarone et son équipe devront faire appel à toute leur énergie et leur perspicacité pour tenter de résoudre cette sombre affaire. Après un parcours professionnel dans le monde de la finance et la publication d’ouvrages sur la gestion de fortune, une incursion dans le monde de la BD au travers de scénarios, Robert AUDIFFREN se consacre désormais au thriller et au roman policier.
Un auteur se suicide. On lui a volé son roman, qui connait le succès signé par un autre. La police se désintéressant du dossier, le détective Georges Amer prend le relais. Il croyait à une affaire facile. Détective revenu de très loin, Georges Amer sera confronté à un jeu de dupes où manipulateurs et manipulés se confondent, où l’on disparait souvent de mort violente.
Dans les quartiers nord de Marseille, en l’espace de quelques mois, trois personnes meurent en tombant du toit de tois tours d’immeubles. Lorsque le détective Siciliano apprend l’implication de son ami flic Bélandi et son arrestation, il décide de s’emparer de cette affaire en compagnie de ses deux fréres. Dans le déroulé de son enquête, le privé va apprendre que Bélandi partageait les bancs de l’école avec les trois victimes. Mais quel est donc le secret qui unissait cette classe de première? Un architecte connaît le fin mot de l’histoire, mais tout ingénieux qu’il soit, le malin meurt toujours de la main de l’idiot…
Un homme égorgé dans les toilettes du TGV Nice-Paris. Une polémique qui défraye la chronique en Provence : la ligne à grande vitesse doit traverser le beau pays varois et, pour certains, dénaturer ses paysages typiques. Un gros bonnet de la mafia russe qui tire d’étranges ficelles. Un tueur en série qui n’en est peut-être pas vraiment un. Enquête difficile pour le capitaine Félicien Aubin et ses adjoints de la PJ toulonnaise, marqués par un terrible drame lors d’une affaire précédente. Dans ce 5e opus de la série, on retrouve les personnages familiers, attachants. Ils évoluent dans des lieux bien réels (la côte varoise et l’arrière-pays) et dans un contexte sociétal d’actualité (le projet de ligne à grande vitesse entre Marseille et Nice).
Anna a vingt ans. L’âge de la liberté. Sa vie lui appartient et elle compte bien mettre à profit l’insouciance de sa jeunesse pour découvrir d’autres univers. Sa décision est prise : partir seule pendant ses vacances annuelles pour se rendre en Provence chez son amie Pauline, puis découvrir l’Italie, pays de ses rêves depuis son enfance. Mais elle n’y arrivera jamais… En effet, Anna disparaît et une enquête commence alors pour la retrouver. Amour, suspense, vengeance et rebondissements sont les maîtres-mots d’une histoire contrastée qui se déroule dans des paysages somptueux, théâtres où évoluent aussi les personnages les plus sombres.
Sous le soleil de Provence, au pays de la sieste et de la galéjade, se rencontrent aussi dans l’ombre des proies et des criminels. Mais cette affaire-là est loin d’être ordinaire. Antonin Taormine, flic marseillais quinqua à qui on ne la fait pas, et la débordante Juliette, Parisienne délurée qui fait tout ce qu’on ne doit pas faire, se lancent à corps perdus sur les traces d’un assassin artiste qui les mène en bateau, en galère, sur le Pont d’Avignon, dans les recoins de Toulon, par les rues belles d’Aix, sur les eaux de Marseille, au large des Îles d’Hyères, au fil d’un scénario saignant qu’éclairent écrivains, compositeurs et peintres.
Un frère jumeau, disparu mystérieusement dans un accident, désire ardemment que justice soit faite. Mais pour cela, il doit solliciter l’aide d’un terrien. Il décide de choisir son frère. Dans ce petit village, les assassinats se multiplient et les circonstances sont inexplicables ; à tel point que les enquêteurs de police s’y perdent.
Aiguisé, tranchant comme une lame pourrait-on ajouter. À l’image de ce polar noir qui se déroule dans la ville de Lyon. Pas celle de la fête des lumières. Mais plutôt l’autre face de la capitale des Gaules, plus sombre, plus glauque. Une atmosphère lourde et pesante qui va donner lieu à une lutte d’influence entre deux flics. Un sacré baptême du feu pour le commissaire principal Maxime Bertrand, récemment muté depuis Paris qui va devoir faire ses preuves dans un contexte déjà compliqué tout en évitant les pièges d’un collègue « ripou ». Avec en toile de fond le port marchand Édouard Herriot et tout le corollaire de va-et-vient que cela suppose. Manipulation, coups de pression et trafic d’influence pour un suspense maximal.
Le Baltika Sun, un lotissement pour riches… Tout y est conçu pour la sécurité, l’agrément et la douceur de vivre de ses résidents… le paradis sur terre ! Hugo Berggren le pense sincèrement en y emménageant avec Camilla, sa charmante épouse. Hélas ! L’Éden se transformera bien vite en enfer ! Hugo devra batailler pour essayer de se disculper d’une accusation de meurtre. Coupable, non coupable… même ses proches en viendront à douter ! Le Jugement dernier sera sans pitié !
Julien Martini, nouvellement nommé à la police de Carcassonne, est appelé à résoudre une enquête sur une série de meurtres liés à la construction d’une route traversant le pays cathare.
Les travaux du chantier mettent en évidence les restes du squelette d’un homme assassiné plusieurs centaines d’années plus tôt.
Valérie Konzielaski, membre de l’Institut d’Archéologie Préventive va travailler sur ce meurtre et découvrir que son enquête rejoint celle du capitaine Martini.
Le policier et l’archéologue devront coopérer pour résoudre ces deux affaires quand ils comprendront qu’elles ont le même mobile : « la réincarnation des Cathares exécutés dans l’Ariège, à Montségur le 16 mars 1244 ».