Les début de l’Aérostation Compilation des articles parus dans le Journal de Paris de 1783 à 1785 de Jacques CASEMODE
Référence: L1537
32,00 €
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En faisant des recherches pour écrire l’histoire de l’Aérostation dans le Nord de la France, j’ai eu l’opportunité d’avoir accès à la collection du Journal de Paris et, en feuilletant ce quotidien, je me suis aperçu qu’il rendait compte au jour le jour des débuts de l’aérostation.
L’idée m’est donc venue de faire une compilation de tous les articles traitant de cette activité aéronautique naissante, articles parus dans ce journal depuis le 27 juillet 1783 relatant l’expérience des frères Montgolfier à Annonay en Vivarais le
5 juin 1783 (en réalité le 4 juin), jusqu’au 7 septembre 1785 et la XIVe expérience de Blanchard et du Chevalier Lespinard à Lille le 26 août 1785.
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En faisant des recherches pour écrire l’histoire de l’Aérostation dans le Nord de la France, j’ai eu l’opportunité d’avoir accès à la collection du Journal de Paris et, en feuilletant ce quotidien, je me suis aperçu qu’il rendait compte au jour le jour des débuts de l’aérostation.
L’idée m’est donc venue de faire une compilation de tous les articles traitant de cette activité aéronautique naissante, articles parus dans ce journal depuis le 27 juillet 1783 relatant l’expérience des frères Montgolfier à Annonay en Vivarais le
5 juin 1783 (en réalité le 4 juin), jusqu’au 7 septembre 1785 et la XIVe expérience de Blanchard et du Chevalier Lespinard à Lille le 26 août 1785.
Cet ouvrage survole 10 000 ans d’histoire de cette terre que l’on nomme selon ses croyances Terre Promise ou Terre Sainte. Il veut montrer que les luttes sanglantes existent depuis la nuit des temps et que, préhistoire mise à part, la Palestine a changé 13 fois de carte d’identité.
Voici un livre utile : dans l'historiographie de Saint-Mandrier et des cafards, ainsi qu'étaient naguère surnommés ses habitants, il dépoussière, trie, fait le ménage, range. Voici un livre intelligent : il indique les limites actuelles de nos connaissances, fait un état des richesses naturelles et architecturales du territoire, étudie l'évolution de la population, trace des pistes, ouvre des perspectives, donne à réfléchir. Voici un livre qui devrait être la bible des décideurs politiques ou apprentis décideurs : ils y trouveraient matière à agir pour le bien-être de la collectivité.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Pour les historiens d'aujourd'hui, l'histoire de l'Algérie débute en 1830. Que s’était-il passé précédemment ? La propagande laisse penser que la vie sur la côte des Barbaresques avant l'arrivée des Français était plus heureuse, alors que le pays était sous le joug de deux colonialismes en même temps, arabe depuis onze siècles et ottoman depuis trois cent quinze ans.
Le banquet des châtaignes a-t-il eu lieu ? Le soir du dernier jour d’octobre 1501 Cesare Borgia aurait organisé un banquet dans ses appartements du Vatican avec une cinquantaine « d’honnêtes prostituées », appelées courtisanes.
Montségur, mars 1244. Durant la nuit précédant le massacre, trois parfaits s’échappent de la citadelle perchée sur son nid d’aigle, « la synagogue de Satan » comme l’appelait le pape. Leur mission : porter à Byzance, l’ennemie de Rome, trois livres qui, rassemblés, permettraient de retrouver la cachette du trésor des cathares et des textes sacrés embarrassants pour l’Église catholique. Trois cents ans plus tard, François de Malesterre entre fortuitement en possession de l’un de ces livres. Que sont devenus les deux autres ? Pour résoudre cette énigme et par dépit amoureux, François, assisté de deux compagnons, essaiera de remonter la piste des fugitifs pour retrouver ces manuscrits qui semblent n’être jamais parvenus à leur destinataire.
Les cinq récits proposés ont un seul fil conducteur : Draguignan, à travers cinq thèmes et époques différents. Dans un climat politique menaçant a lieu, en avril 1914, une manifestation, amicale, culturelle et stratégique « en l'honneur du poète Jean Aicard et des enfants ».
Un papillon au pays des cigales. Comment un jeune officier de marine promis à un grand avenir, amateur de jolies filles, joueur de poker invétéré, passionné de chevaux et d’escrime, loup solitaire dans une société dont il n’acceptera jamais les codes, fini par commettre l’irréparable.
À Alger, la mobilisation générale avait vu les hommes de toutes conditions et de tous horizons se regrouper dans la capitale pour être envoyés vers diverses destinations. Le Maroc, mais surtout la Tunisie et l’Algérie furent des terres de prédilection pour des hommes partis la fleur au fusil, le cœur plein d’espoir ou la peur au ventre.
Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel, les trois enfants du quartier de l'Esplanade se trouvèrent subitement confrontés à la réalité de la vie et non plus à la fiction cinématographique française ou américaine que présentaient les écrans des neuf cinémas de Bab El Oued.
Ce livre, le dernier de la série Napoléon jour après jour, va nous emmener à l’île de Sainte-Hélène. Après soixante-neuf jours de traversée, Napoléon pose le pied sur cette île qui va être son carcan. Là, il va découvrir une terre peu accueillante, perdue dans l’atlantique sud, loin de tout continent. Il va devoir subir un climat qui lui sera néfaste, et vivre dans une maison rongée par l’humidité et infestée de rats. Depuis son départ de France, il est entouré de trois généraux avec leur famille, de Las Cases qui va écrire « Le mémorial » ainsi que des domestiques fidèles qui vont l’accompagner dans sa longue agonie.
Dolorès, Mère Courage exemplaire, traverse le XXe siècle, subit trois guerres, doit quitter son pays natal et son pays d’adoption et faire face aux drames familiaux qui jalonnent sa vie. Elle connaît le bonheur avec son mari, ses enfants et petits-enfants, et de nombreux malheurs qu’elle affronte tête haute, en assumant jusqu’à son dernier souffle son si prémonitoire prénom : « Dolorès » (douleurs).
Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.
Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.
Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.
Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.
En faisant des recherches pour écrire l’histoire de l’Aérostation dans le Nord de la France, j’ai eu l’opportunité d’avoir accès à la collection du Journal de Paris et, en feuilletant ce quotidien, je me suis aperçu qu’il rendait compte au jour le jour des débuts de l’aérostation.
L’idée m’est donc venue de faire une compilation de tous les articles traitant de cette activité aéronautique naissante, articles parus dans ce journal depuis le 27 juillet 1783 relatant l’expérience des frères Montgolfier à Annonay en Vivarais le
5 juin 1783 (en réalité le 4 juin), jusqu’au 7 septembre 1785 et la XIVe expérience de Blanchard et du Chevalier Lespinard à Lille le 26 août 1785.